La Chaleur de L'est

s, on pouvait voir le chagrin et la grande souffrance q

kh, chacun s'y rendait tour à tour pour lui rendre hommage et exprimer sa peine, certaines femmes laissaient s'é

ait pas de pleurer, tandis que Zahir lui offrait l'abri de ses bras, il était

serviteurs, il se tourna p

que tout

, votre peuple est soigné, tous ceux qui sont à

rdres étaient exécutés. La vérité est que techniquement, il n'était pas le cheikh, ou ne le serait pas avant deux jours, lorsqu'il prê

oie informer que vous allez emmene

nde aux servantes de ne pas le laisse

z, Votre Altesse. Av

sont arrivés avec leurs robes rouges et or, beaucoup d'entre eux

res, il demanda à chacun de se tair

ns d'amour et de respect pour mon père, maintenant je demande que nous puissions observer une minute

r la main devant son peuple et d'assumer officiellement sa position de Cheikh, les inquiétudes étaient déjà présentes, les lois du Norusakistan établissent que si au moment d'un descendant accédant au trô

emplir dans un délai de six mois, mais il n'y faisait pas confiance, Zahir avait amplement démontré qu'il n'était pas disposé à assumer les responsabilités du trône, il ne voulait pas se marier et avec les deux héritiers possibles dans cette situation, le trône

voulait pas et Allah savait qu'il en était ainsi, mais pour accomplir

i soutenaient son cousin et qui ne le connaissaient pas comme Souverain. Il doit régler la sit

auter- tout est arrangé comme vous l'av

, quitta ses chambres, se d

con et regarda les

té, je jure de donner ma vie pour mon peuple, je jure de leur accorder bientôt une reine et un héritier, je jure de perpétuer mon sang et mon héritage, je jure fidélité et fidélité à mes coutumes et à mes lois, je jure être aussi bon souverain que l'était mon père. Je le ju

pièce plongé dans ses pe

cellence, votre cousin, M. Esquizbel Moubarack. " Zabdiel fronça les sourcils

d'une voix moqueuse e

épondit-il, tu

'un air narquois- Merci beaucou

s la voix de son cousin. L'homme tourna les talons et par

n s'asseyant sur une chaise qui contenait de nombre

s êtes venu rendre hommage

les dents jusqu'à ce qu'il sente que tout son visage lui faisait mal, et ses doigts s'étaient serrés et formaient deux poings. Son cousin t

uizbel ? " Sa voi

ommencé pour vous," sourit-il, précisant q

ône sont très minces, » lui r

tré aucun signe de choisir une épouse, bien qu'il se murmure

gentille quand ils le font- menaça-t-il en gar

les deux sourcils, « cela donnerait lieu à de nombreuses rumeurs

es mains sur les richesses du N

ent- s'affaire à chercher une épouse, c

te de caresser les richesses de Norusakistana, mais non, il ne le permettra