L'HOMME DE LA MAISON II
ÉROTI
'HOMME DE
EUR:
ME
PITR
é au milieu de la baignoire. Joachim serra mes fesses douloureuses tandis que ma langue sondait la
tre deux cou
a-c
s avoir une autre baise en lui si tôt. Il vi
i de
e tu fais là-
l
èche la chatte d
ouii. Nous sommes tous
: Mmm, j
sa langue me
s la chatte fraîchement rasée d'Aurialie, sachant que Joachim avait le même plaisir à se frotter le visage. Sa langue
se soulevaient. Jennifer gémit à côté de moi, frissonnant alors qu'elle se masturbait.
mi-sœur de vingt ans s'habillait comme une salope, exhibant ses énormes seins et portant des jeans, des pan
que Joachim l'avait ajoutée au harem,
mère et Jennifer. Il ne nous abandonnerait pas. Pas quand il me léchai
alie
ds tellement chaude. J'ai des picotemen
rra, le plaisir m'envahit. Son doigt trouva mon clitoris, le frottant, me faisant me tortiller et avoir des spasmes tandis que sa langue
e d'Aurialie. Je la regardai, regardant ses seins naissants frémir et ses doux gémissements s'éch
éborah r
t manger de la chatte. Je parie qu
répo
e le suis... Ahhhhh m
nt sur mon clitoris. Je frémis, ma chatte se serrant le long de sa langue sondeus
dans ma chatte, massant mon clitoris avec son pouce tout en plongeant son visage dans ma fente. J
rvers ! Lèche-moi, oui lèche-moi
yeux papillonnèrent. Sa colonne vertébrale s'est cambrée. Elle laissa échapper de doux et mign
ai fai
rs que son orgas
DE SŒ
Déborah
, bébé... Tellement m
alie
ans ma chatte... Ohhhhh, grande s
ifer
. Oui
s doigts de Joachim, sa langue sondant mon trou du cul. Le plaisir brûlant me traver
J'ai gémi et je suis revenu dans sa bouche léchée. Mon corps tout entier frémit. Je l'ai aimé. T
ement me traversait
m! Ohhhh, mon
enfonçant ses doigts dans et hors de ma chatte. J'ai frémi et tremblé. Mes yeux roulèren
is à gémir et à haleter, vague après vague de plaisir traversant mon corps. Mon
i ha
t'aime! Je t'aime J
qu'il soit l'homme de la mai
NIFER L
dégâts. Joachim me regardait, les bras croisés dans le peignoir qu'il portait. Nous portions tous des peignoirs en tissu épon
nettoyais mes dégâts. Il y avait une partie de moi qui voulait être une gamine. Pour dire n'importe quo
attendre quelques jours av
maison, et ensuite il devrait me donner une fessée très fort. Il me battait, me faisait du
llement mouillé ri
éritaient tous de savoir à quel point j'étais une salope désobéissante. Comme j'étais
e, petite connasse. Je devrais t'emmener aux toilettes et te faire boire le mien. Mais tu aim
de me masturbe
éborah p
euner e
n seul sandwich, dinde, laitue, tomate, avec cornichons et chips en accompagnement et le
ait même pas
faisais partie de l'équipe d'athlétisme de mon lycée. Et puis il y a eu tout ce que j'ai fait. D'
alors qu'il s'asseyait, un so
ous la table et suce-moi la bite. J'ai u
urquoi était-il l'homme
Il faisait sombre en dessous. Joachim était en bout de table, à l'opposé de l'endroit où je me suis glissé, Aurialie à sa gauche, Amen à sa droite. Tante Déborah était assise à côté d'Amen, ses lo
était à moitié dure. J'ai penché la tête en avant. Je n'avais jamais sucé de bite auparavant, mais j'étais te
ais l'avaler com
es couilles. Un soupçon de sel recouvrait son sac à noix poilu. Je les ai léchés, ma chatte se serrant. C'était tellement humiliant d
a famille, recevant des rest
bouche pour prendre sa queue. J'ai gémi en suçant, goûtant le sel du pré-jouissance. C'était aussi bon
ndu les chose
CHIM MO
oulée autour de la couronne de mon manche. La salope suçait avec une intensité affamée. Je savais que je n'allais pas jouir de
en grignotant délic
st la prochaine
grog
us tous, vous y
us fort, boug
souri
lement parce que vous appréciez to
a souri
e besoin de repos
lissant sur son nez. Avec une ai
n étalon, mais il
renf
pas besoi
fait que ri
e connaissaient, prenaient soin les uns des autres. Le pied nu d'Amen frottait le mien s
Et moi,
e, les lèvres pincées, le suçant avant
quoi nous donner l'énergie nécessaire au retou
qu'elle faisait tournoyer sa langue, soulageant la douleur douloureuse au bout de ma bite.
n acq
aucoup à Jennifer. Elle était même une gamin
UIV