Les larmes d'Andromaque: Tome II — Promenades napolitaines
son pyjama. Il sortit de la chambre en évitant de faire du bruit et en contournant les me
avon. Après s'être séché rapidement avec une serviette de bain, il avisa de s'examiner devant la glace. Le visage un peu fatigué que lui renvoya le miroir le laissa perplexe.
nt son temps. Après s'être suffisamment vaporisé d'eau de to
était assez étroit et qui menait au grand salon. Les marc
re bourgeois et ordonné de l'appartement qui correspondait assez bien au caractère sobre et exigeant de Cécile. Un magazine de mode était déployé sur
très proche. Cette lecture intéressante l'absorba pendant un cert
de son cou. Elle commença à le couvrir de petits baisers. Hisham sentit contre lui un corps souple, ferme et tendremen
arcelait avec ses agaceries d'une sensualité affolante et ses gamineries de petite fille espiègle. Secrètement flat
nt, il marqua un
jeux à plus tard, on n'a pas e
nsidéra avec
éri ? Tu n'apprécies pl
main fraîche d
satisfaire et voilà comment tu me parles. Tu n'es qu'un ingrat et moi une petite sotte a
a tira v
d on est réellement amo
éclatant qui découvrit une mag
pas un mot le matin, j'en déduis q
sa ses doigts amoureux sur ses cheveux courts et mouillés. Hisham éprouvait une attirance particulière pour les cheveux de Cécile. Il aimait les caresser, les ébouriffer. Il
t comme une cha
ue... j'
arta ge
ces enfantillages. Surtout
rire. Un rire c
ça ! Tu es un
vois rie
tention. Il y avait une pointe de malice au fond des yeux clairs et pe
e con
une odalisque, allongée sur le lit comme une Orientale repue et passive, n'est-ce pas mon amour ? Mais tu préfères
ts, Hisham préfér
m'analyser. Tu sais bien que le matin, je ne suis jamais en f
nda ironi
sucre ? Avec du lait ou sans lait ? Il faut
chaque matin un café au lait avec deux morceaux de sucre, à jeun. Ma
sitôt et lança sur
s mieux servi que par soi-même. Tu fais trop d'histoire
r la manche et le f
eu, mais tu es trop grognon. Je vais te le préparer ton café. Je t'apporterai
i ressemblait à un gémissement. Hisham sourit maladroit
a poitrine souple gonflait la soie de son peignoir.
e voix un p
. J'ai envie d
tu n'étais pas en
t rafraîchissant. Ses yeux clairs brillaient d'une j
pend de
sa sa tête contre son épaule. Su
e tu m'aime
sserra so
le café. Je te r
ui lança
o ! J'aurais dû me méfier la première fois que je t'ai renco
sou
Je suis Arabe, ne l'oublie pas. Et c'est bien connu,
n'es ni violent ni inculte. Tu es seulement un macho un
onguement ses membres engourdis,
es magnifiques. La vision de ce corps vigoureux, parfaitement proportionné déclenc
vivre auprès d'une fille aussi splendide que Cécile, mais en même temps, il ressentait
ue lui inspirait ce confort bourgeois et douillet dans lequel il s'était installé. Par prudence, Hisham avait gardé une r
p d'habitudes qui devenaient, peu à peu et à son insu, autant de chaînes
e leur relation, il devinait que les choses évoluaie
e demandait rien. Elle négligeait sa propre religion pour apprendre le soufisme. Ce n'était pas du goût d'Hish
lait connaître les siens. Tout cela, c'étaient des signes qui