De l'amour à la haine : Résurgence
s jamais trouver satisfaction. Il savait qu'une touche finale manquait, celle d'un regard autre que sien. Il desserra et resserra sa cravate, enlèva et remit la veste, r
uxueuses... À mon temps on se mirait lorsqu'on rencontrait une flaque
l'aider à être plus présentable. Elle savait son père vieux d'une quarantaine d'années et ne comprenait pas pour
endras qu'à ton époque, le miroir existait déjà depuis plus de cinquante ans
oir ? Et puis où se trouve ta mère ? Je suis obligé de m'habiller seul comme ça à cause d'elle. Elle
C'est toi même qui a dit qu'on d
tôt que de m'habiller ? Tout ça parce qu'
les femmes de service qu'on prend ici. Il faut un peu changer ce compor
alouse. Et puis même pourquoi est-ce que tu t'en melles ? Ça te concern
rochaine. Moi même je vais m'assurer que tu te tiennes
artout qui chôment, vous voulez mettre une mère dans ma maison ? Ta mère ne me la
es beaucoup mieux ainsi. On doit déjà partir. M
Je discute un peu avec ta mère et on vous rej
e faut pas oublier de prend
t sa fille et souriait au ciel, heureux de la voir heureuse. Sa conversation avec son épouse concernai
ge battue au toit empaillé, aux deux minuscules fenêtres en bois et à la mince porte basse, viva
ante dans la contrée et d'autre part le résultat d'une paresse sans égale de cette jeune dame aux co
sage froissé et une colère qui grimpait de plus en plus. Elle se murmurait sa rage à elle même en faig
avec le couteau. Tout ça pour que je n'aille pas à la fête de tout à l'heure alors qu'on m'a donné une invitation pour venir être serveuse. Un pointage comme ça,
ne, encore pimpante et répondante, était la mère de Robyn et de trois autres enfants cadets. Après avoir collé son oreille à la minuscule fenêtre de l'intérieur pour en
TU N'IRAS PAS À CETTE SOIRÉE. OU JE SUIS TA MÈRE, OU JE NE SUIS PAS TA MÈRE. C'EST PAR MES FESSES QUE TU ES SORTI, C'EST DANS MON VENT
in qu'elle s'était tranchée le doigt. Elle avait tout de suite lâché l'ustensile av
GRANDE FAMILLE, ILS SONT RICHES ET TRÈS RESPECTUEUX. IMAGINE ON ME PREND LÀ-BAS, ON NE VA PLUS JAMAIS MANQUER DE NOURRITURE. ON AURA PLUS À MANGER UNIQUEMENT LE
ES ? LES MIETTES QUE JE T'AI NOURI AVEC ? LES MIETTES QUE JE NOUR
d pas ça comme ça... Je ne v
dans la nature humaine. Attends que ton père rentre du travaille, je vais tout lui raconter. Moi ta mère, je te parle et toi tu ré
é. Elle abrégea la conversation qui venait de tourner au vinaigre et se mit à couper les herbes en pensant à sa vie sans dessus de
ans sans géniteur, ou plutôt au géniteur perdu dans la nature. Le cœur de la jeune dame saignait à chaque fois qu'elle se commémorait sa petite histoire d'amour. Jusqu'à ce jour, elle n'avait toujours
lusieurs jours. Elle se revoyait, à ses vingt ans, se donner à lui au petit matin de quatre heures, jouissant de toutes les promesses qu'il murmurait dans son oreille en
s autour de son cou. Avant qu'elle n'eut le temps de se retourner, le petit enfant avait bondi sur son dos, hu
'ai déjà dit de ne pas me déranger quand je
fait comme le cheval. Un jour je vais acheter une gros gros gros che
rme de son géniteur. En lui, elle le voyait. Elle aurait pu le détester mais le trop plein d'amour d'une mère ava
mon dos pour quelques min
ais fabriquer l'échelle pour aller chercher
ider à tailler mes herbe
Me laver? Yoill maman... Ça va enlever tout le remède de
escend al
e vais me laver mais
posa, essoufflée. Il prenait de l'âge et du poids. Il n'était plus le petit e
dos. Maintenant, tu dois travailler avec mo
tait pour les ressentir, sous le regard attristé de sa mère. Elle avait beau serrer le cœur pour vivre avec, elle ne c
Pourtant je t'ai déjà dit que même si je ne vois pas avec mes yeux, je peux voir avec toutes les autres parties de mon
lle avait rendu la grande cour plus propre que jamais. Alors qu'il fallait couper les toutes dernières herbes, le t
elles n'étaient pas épineuses. Dans l'excitation de finir le travail pour obtenir des applaudissements de la part de sa mère, il avait envoyé les mains dans la touffes d'épines. La déchirure sur les mains l'avait
NNN J'AI DÉCO
i. Découvrant que les mains de son fils signaient en abondance, elle l'avait
NS VITE... Bobi... Qu'est-ce que
teau. Je ne voyais même pas et c'est venu m
illir les herbes qu'il fallait. Elle les mâcha et dès qu'elle fut devant l'enfant, elle les
ai pourtant i
e les miettes et dès que tu as un petit problème, on en
éloignaient un à un lorsque le regard foudroyant de Ma'a Jacqueli
? Vous n'avez pas de vie ? On vous a
ertains, un peu plus têtus,
êtes toujours là ? je