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Le Tribut des Innocents

Chapitre 3 No.3

Nombre de mots : 1444    |    Mis à jour : 22/12/2023

des victimes. Une dizaine de personnes étaient déjà présentes, chacune affublée de la même combinaison, des mêmes surchaussures, de la même charlotte et du

e chaque centimètre carré de la pièce de vie où la mort s’était invitée. Des flashes crépitaient dans tous les sens. J-C détailla la salle rapidement. Les baies vitrées donnaient sur un jardin sans vis-à-vis. La partie droite de la pièce correspondait au sal

e, à chaque fois qu’il se rendait sur une scène de crime. Le métier voulait ça. Il avait déjà participé à quelques enquêtes sur des infanticides. Chacune d’entre elles était une de trop. C’était toujours dur à avaler, de voir des gamins réduits à néant par la folie des hommes… Mais là, il y avait quelque chose d’autre. Quelque chose de pire. J-C n’avait jamais vu un acharnement pareil. Les visages des gamins étaient méconnaissables. On ne distinguait plus aucun trait. Le nez, les lèvres, les sourcils, les joues… Tout n’était

côté de la table à manger, de l’autre côté de la pièce. Autour d’elle étaient agenouillés le médecin légiste

e ou sur les lieux du crime par l’équipe scientifique. Il retranscrivait les auditions et les interrogatoires. Il couchait sur le papier chaque détail de l’enquête. Un travail titanesque qui ne pardonnait auc

ncle, un général qui avait des relations dans les Hauts-De-France. Son teint mat, ses cheveux noirs et ses yeux châtaigne trahissaient ses origines iraniennes. Elle récoltait les indices et photographiait tout ce que rele

aphiaient tout. Les paparazzi de la mort. Ça pouvait sembler déplacé, mais la justice avait besoin d’un maximum de détails pour pouvoir faire une reconstituti

ins attachées dans son dos, une corde épaisse en guise de bâillon, et des marques de lacération sur tout le haut du corps. Buste, cou et visage. L’état de l

rendus poisseux par la transpiration et le sang, était figée sur le sol. Son corps présentait de nombreuses marques de coups et de lacérations, similaires à celles de son mari, mais elles paraissaient moins profondes. Elle aussi avait été torturée, mais pas de la même façon. Il semblait à l’enquêteur que le meurtrier a

nt à Lucille ce qu’ils

s marques de sang qui correspondent aux blessures infligées au visage. Elle a été déshabillée, mais à première vue il n’y a pas de trace de viol ou de sévices sexuels. Bâi

e des coups infligés après l’autopsie, mais l’idée est là : elle a d’abord été frappée contre le mur à plusieurs reprises, puis peut-

ée, mais n’a subi aucu

vue, confir

pour qu’il le voie humilier et torturer son épouse. Il voulait faire souffrir l’homme psychologiquement avant de le frapper dans sa cha

le ? Et les enfants, à quel moment avaient-ils été frappés à m

quel ordre s’étaient déroulés les événements, mais préférait attendre les résultats des autopsies avant de tirer des conclu

eur travail et reprit son inspection de la maison, avec une pensée qui

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