Mon patron milliardaire est un vampire
frémis, attrapant son épaule en corde et enfonçant mes ongles. Il relâche la pression, traçant la ligne de
ent viendrait. J'ai toujours vou
re contre ma joue.
corps. Pour plonger dans mes replis intérieurs. Mes seins se remplissent et se pressent cont
e vais d'abord profiter
vrai. Té
ule en coupe. Je halete. Il sourit contre mon vi
ce qu'il frappe réellement le point dur de mon monticule. Je porte m
uste sa
serre mes cuisses, ajoutant une pression
n, en ajoutant un autre doigt. M
i. Mon corps se crispe. « Quel
is derrière les
té ? J'entends le sourire dans
e son bras. J'essaie de me souvenir de mon no
so. Ave
« Est-ce que tu vas me
"Tu veux
lice ? Sa voix est basse et ferme dans l'obscurité. « Quelqu'un a-t
s expériences sexuelles, la mienne avait été plutôt vanille jusqu
ant des vibrations de besoin dans tout mon corps. « Déc
nt sa main au même rythme régulier. Je suis tellement mouillé, et je n'inonde enc
pour me concentrer, mais il écarte ma mâchoire. Empêcher
votre genou sur ma hanche, pui
l incline son poignet et met son pouce en place. J'expire mon souffle et je po
es sur mon front. "Voule
mble. Accroché au bord de. . . q
age pendant que je m'accroche à lui et trem
e suis tellement rassasié. Si serré. Tellement lisse. J'entends le son
ix résonne contre moi.
iennent dans ma tête. « Putain
sorte de marionnette, puis son autre main s'écarte sous mon chemisier sur mo
t pousse de l'intérieur. Et puis je crie et me tords autour de l
en millions
nous vers
temps, attendant de
TACUL
vision surnaturelle. C'est la plus belle créature qu
ntact, l'amenant au bord encore et encore, lui permettant de franchir la crête et de tomber d
t mal de ne plus être en elle, mais son sang coule en moi maintenant, réchauffant mo
confuse d'un donneur vivant d'un club sportif. Certainement pas la boisson aigre et rem
divin. Doux et
. Déli
sou
e. Elle va avoir mal après ça. Peu importe sa force, pe
e et aspire la goutte de grenat de ma chair. Elle gémit et le son traverse mon corps jusqu'à
faire ça quand m
et fais-la en redemander. Je veux la baiser jus
u fil des siècles, c'est qu'il n'est jamais nécessaire de se
ût de mon sang fait son travail
au tiède. Habituellement, la puissance du lever du soleil m'endort dan
ès une bois
ntention de dor
ssurée se reflète sur la