Une Douce Vengeance
irait mon visage. Tout me faisait mal, je ne voulais pas ou
ler et quand je l'ai fait, j'ai vu mon cousin
urmuré. Je suis heureu
vante. Il m'a répondu
paupières se sont bais
ital, nous sommes tous les deux vivants et je suis vraiment à tes côtés.
ent." J'ai à peine souri,
mon visage, j'ai senti un contact doux sur mes lèvres, un baiser,
r que je ressentais dans toutes les parties de mon corps l'était. La souffrance, à la fois phy
de nouvea
nolente, j'ai pu regarder autour de moi pendant quelques minutes, je ne voyais que des lumières e
t. Cependant, à tout moment, deux de ses hommes de confiance étaient à mes côtés, Hugo et Ivan. Chaque fo
ujours fatigué. Ils étaient toujours à mes côtés, même s'ils ne parlaient pas beaucoup, car chaque fois que quelqu'un leur disait quelque chose, ils hochaient la tête ou niaient, et il était très rare
u'un aux renseignements qui écoute les dernières nouvelles), qu'ils avaient donné mon adresse, qu'ils étaient allés voir ce qui se passait, que la maison é
festement un hôpital, mais assez luxueux, la chambre est spacieuse, confortable, avec la télévision p
x. Je ne pouvais pas beaucoup parler parce que j'étais sous anesthésie la plupart du temps et à
t impossible de le sauver." C
forte. C'était logique, avec les coups que j'avais reçus, mais cela me faisait très mal à l'âme, j'étais tr
ale avaient été fracturées, bien que les médecins aient déjà tout redressé, j'avais encore des bleus partout, de différentes couleurs, formant un ar
rraient faire de la chirurgie plastique et que je serais comme neuf. Mais peut-on dire que
aurait été mieux, cela m'aurait évité beaucoup de souffrances et maintenant je serais avec Na
s de chirurgie reconstructive, à nouveau la douleur de la convalescence, et le pire, quand toutes les opérations ont été terminées,
s saillantes, mes yeux un peu plus bridés, mes lèvres un peu plus pulpeuses et plus définies. Oui, je ne pouvais pas nier que les médecins avaient fait un excellent tr
ssé à l'hôpital, à souffrir, à p
ment phys
. J'imaginais Liam et Juliet souffrir, avoir un accid
ntasme le plus
r leur sang couler et eux crier pitié, comme ils l'ont fait avec moi, comme Roberto me l'a
lus qu'une thérapie physique et psychologique. Après plusieurs mois de torture personnelle dans la douleur et
quelque chose auquel j'avais déjà pensé, mais
et en payant pour tout ça." Ils se sont regardés, "Mais si ça ne te dérange pas, si ce n'est pas trop abuser, il y a quelque chose d'autre que j'aimerais te demander." Ils se sont tus, comme toujours, attendant q
e nous fassions, ma
ils m'entraînent, qu'ils m'apprennent à me défendre, à frapper, les techniques de torture, tout ce qui concerne la mafia.
t la tête et sourient de satisfaction. Quelques jours plus tard, je suis libéré et j