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Le piège de l'amour

Le piège de l'amour

Auteur: DVN
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Chapitre 1 Prologue

Nombre de mots : 1663    |    Mis à jour : 20/11/2023

log

dre les seuls parents qui nous restaient l'homme qui après la mort de maman s'évertuait a ce que l'on ne ressente pas l'absence de celle-ci. L'homme qui m'a soutenu et chérit comme la plus belle merveille au monde. Et tout cet amour avait doublé depuis la mort de maman. Mes larmes coulaient je ne pouvais parler soudain mes pensées furent stoppés net lorsque je vis ma sœur venir. Les larmes augmentaient a la vue de cette petite fille de 11ans qui venait de perdre elle aussi son papa. Gnilane la pauvre elle est si jeune et pourtant doit faire face a temps d'adversités depui

tant de haine dans le regard d'une gamine me faisait frémir. En même temps on pouvait comprendre. Tata Mariama était une femme plein de vices, sournoise matérialiste ambitieuse très méchante mais surtout très hypocrites car

ofitait de l'argent de papa comme si tout lui était acquis et son ambition était démesurée. Bien sur mon père le considérait comme son fils depuis qu'il s'était marié a nouveau. Mansour travaillait dans l'entreprise familiale . J'aurais pu tolérer leur attitude si j'étais sur qu'il aimait mon père mais ce dont j'étais sur c'est que l'in

les funérailles du coté de ma maman sa famille était présente mes oncles et tante m'ont sout

e mangeait pas a notre faim .je devait me débrouiller pour aller à l'école et fallait que je me débrouille pour gnilane également. Donc j'économisais l'argent que mariama nous donnait pour les dépenses de ma sœur .c'était qu'une gamine et elle rien ne l'oblige a subir tout ce que je subissais. Je ne pouvais en parler a personne car mariama était notre tutrice legale après la mort de papa et ceci lui donnait tout les droits. La famille de ma mère étant une famille modeste je ne pouvais me permettre de leur

ur l'avoir je me suis battue et heureusement j'avais réussi haut la main ces épreuves et j'a

valé les escaliers .les cris provenaient de la chambre de Mansour. Je fus choqué j'avais la haine, la scène qui s'offrait a moi était une abomination, gnilane en pleurs ces habits déchirés ces ch

comment a tu pus ce n'est qu'une gamine bordel, elle n'a que 14 ans je

nt fait pire

t ce qu'il a fai

ansour que le plan avait marché et que mon père se trouvait entre la vie et la mort. Alors celui-ci a ensuite appelé quelqu'un po

fallait que j'agisse donc sans réfléchir je pris les draps, preuves ir

lle acquiesça, je fis de même une fois que j'étais dans la ch

is nos valises. Lorsque c

de rien tenter con

s toiser de haut en bas puis je franchis

érer avant ce drame. J'avais dix huit ans depuis bientôt un an et j'ai pu débloquer mon compte d'épargne que papa avait inscrit

euille traduire son fils en justice mais je n'en fis rien et s'était pas dans mon programme. Tout ce que je voula

justice. L'heure vient de sonner ce soir je rentre au Sénégal pour le plus long calver de Mansour Camara et mariama. Ils m'ont maltraité, ont bafoué ma dignité, ont volé la fortune qui m'était destinée, ont pris l'honneur et la vertu de ma sœur, mais surtout on tué la personne que j'aimais le plus sur cette terre .il est temps de tout leur prendre a eux .et je ne m'arrête

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