QUI M'A TUÉ ?
M'A
sod
me dire qu'une âme bienveilla
haitais devenir une femme rema
minutie et y insuffler tout
iens encore comme si c'était hi
chaque fois, je lui rétorquais
Oh, ma chère maman, avait-je s
rizon. Je te vois devant moi,
es qui s'échappent, impuissant
? Où su
Mai 2009, et je me réveille
de la maison de mon père. Mai
on de perplexité. Je jette un c
endues dans le temps. Quelle heu
otre demeure? Je m'approche ve
uatre-vingts, son visage orné
sorber la lumière, et son reg
e respe
ir mon
. Répondit-il d'u
gner sur l'heure qu'il
t une heure et qu
s-je, surprise de voir autant d
tardive. Je remerciai le jeune
nt sur la scène qui se déploya
s et de femmes du quartier, de
Mais que se tramait-t-il ? Il y
un chemin, jusqu'à ce que je r
égèreté m'envahit. Que se passa
chercher frénétiquement au mi
me hâtai de m'a
nt de monde à la maison ? » d
Je remarquai alors que des larmes silencieuses coulaient le l
. Mais à ma grande stupeur, ma
i encore et encore la question
toucher ma mère ? Pourquoi ét
ient dans mon esprit tourmenté
et constatai une atmosphère r
es qui se trouvaient à ma porté
'est à ce moment-là que me re
eu plus tôt. Comment pouvait-t
ionnai-je. Je m'empressai de le
es belles musiques religie
nsoir
Répondit-il avec un
rquoi vous êtes le seul à me
nce, alors que je les vois to
les toucher. Qu
ette question ? Demanda-t
ul à me voir. Rétorqua-je,
gisais il y a un instant ?
où je m'étais réveillée il y a
d'un cercueil. «Un cercue
d'une voix calme, semblant c
mb
er! N'est-ce pas ? M'exclamai
nne
ma belle. Tu es
uand ? Où ? Mai