Déluge
ois. Heureusement je connais la forêt dans les moindres recoins, le moindre buisson et je n'ai aucun mal à échapper à leur vigilance. Vite ! Escalader les treilles jusqu'à la terrasse de mes appartements est en revanche bien moins aisé. Toutefois je peux compter
pond Cyrène, mon autre suivante, née le même jour que
La Reine exige sa pr
e proteste si peu vêtue que je parai
t donc ce
é mes bruits de l'intérieur. Une vraie maniaque du rangement ! C'était un peu osé et da
nent les deux messagères. La
rume... dis-je fa
ceinture, pré
forte pour émettre toute protestation. Jamais je n'ai été prête si vite. C'est à peine si une sourde angoisse m'étreint lorsque je revêts ma ceinture de remèdes et de poisons. Je laisse mes compagnes pour suivre les envoyées royales. Un cheval m'attend. Nous dévalons la colline du temple pour traverser la première enceinte des palais, puis la grande rue de la cité qui commence à s'animer. Les sons du port
i a quitté le temple depuis quatre ans déjà pour diriger celui des guerrières m'attend devant le plus grand des navires. Le port semble désert. Je l'ai déjà observé par-delà les murailles : il est effervescent d'habitude, exubérant de cris, d'agitation. Là, le silence règne en maître. Je sens alors, dans mon dos, les archères déployées vers le quai, arcs bandés, flèches pointées le long des créneaux. Je comprends vite que tout homme qui osera tenter de m'apercevoir sera immédiatemen
escaliers blancs jusqu'à une grande salle où sont étendus des guerriers gémissants. L
urgie de nulle part. Ne montre jam
e encore s'étrang
m'avoir f
pointant son doigt vers un panneau
sombre et caverneuse cachée derrière ce paravent.
tente de dominer ma peur, im
ins, excellents dans bien des arts, sont démunis face aux secrets de ces plantes et de leur mé
êlé d'une frayeur primaire, me saisit. Moi ? Seule face à tout cela ? Comment veulent-ils que je sauve ces hommes ?
as, m'encour
'ai pas le droit d
gravement. Ce ne sont pas des
st temps de me ressaisir. Je suis une Amazone. La mort nem'effraie pas. S'il me manque des ingrédients, le temple me les fera parvenir.Avant tout, je dois découvrir la teneur et la composition de ce poison. Les Hyksôs,chasseurs comme nous, utilisent souvent des m
ois. Heureusement je connais la forêt dans les moindres recoins, le moindre buisson et je n'ai aucun mal à échapper à leur vigilance. Vite ! Escalader les treilles jusqu'à la terrasse de mes appartements est en revanche bien moins aisé. Toutefois je peux compter
pond Cyrène, mon autre suivante, née le même jour que
La Reine exige sa pr
e proteste si peu vêtue que je parai
t donc ce
é mes bruits de l'intérieur. Une vraie maniaque du rangement ! C'était un peu osé et da
nent les deux messagères. La
rume... dis-je fa
ceinture, pré
forte pour émettre toute protestation. Jamais je n'ai été prête si vite. C'est à peine si une sourde angoisse m'étreint lorsque je revêts ma ceinture de remèdes et de poisons. Je laisse mes compagnes pour suivre les envoyées royales. Un cheval m'attend. Nous dévalons la colline du temple pour traverser la première enceinte des palais, puis la grande rue de la cité qui commence à s'animer. Les sons du port
i a quitté le temple depuis quatre ans déjà pour diriger celui des guerrières m'attend devant le plus grand des navires. Le port semble désert. Je l'ai déjà observé par-delà les murailles : il est effervescent d'habitude, exubérant de cris, d'agitation. Là, le silence règne en maître. Je sens alors, dans mon dos, les archères déployées vers le quai, arcs bandés, flèches pointées le long des créneaux. Je comprends vite que tout homme qui osera tenter de m'apercevoir sera immédiatemen
escaliers blancs jusqu'à une grande salle où sont étendus des guerriers gémissants. L
urgie de nulle part. Ne montre jam
e encore s'étrang
m'avoir f
pointant son doigt vers un panneau
sombre et caverneuse cachée derrière ce paravent.
tente de dominer ma peur, im
ins, excellents dans bien des arts, sont démunis face aux secrets de ces plantes et de leur mé
êlé d'une frayeur primaire, me saisit. Moi ? Seule face à tout cela ? Comment veulent-ils que je sauve ces hommes ?
as, m'encour
'ai pas le droit d
gravement. Ce ne sont pas des
st temps de me ressaisir. Je suis une Amazone. La mort nem'effraie pas. S'il me manque des ingrédients, le temple me les fera parvenir.Avant tout, je dois découvrir la teneur et la composition de ce poison. Les Hyksôs,chasseurs comme nous, utilisent souvent des m
ois. Heureusement je connais la forêt dans les moindres recoins, le moindre buisson et je n'ai aucun mal à échapper à leur vigilance. Vite ! Escalader les treilles jusqu'à la terrasse de mes appartements est en revanche bien moins aisé. Toutefois je peux compter
pond Cyrène, mon autre suivante, née le même jour que
La Reine exige sa pr
e proteste si peu vêtue que je parai
t donc ce
é mes bruits de l'intérieur. Une vraie maniaque du rangement ! C'était un peu osé et da
nent les deux messagères. La
rume... dis-je fa
ceinture, pré
forte pour émettre toute protestation. Jamais je n'ai été prête si vite. C'est à peine si une sourde angoisse m'étreint lorsque je revêts ma ceinture de remèdes et de poisons. Je laisse mes compagnes pour suivre les envoyées royales. Un cheval m'attend. Nous dévalons la colline du temple pour traverser la première enceinte des palais, puis la grande rue de la cité qui commence à s'animer. Les sons du port
i a quitté le temple depuis quatre ans déjà pour diriger celui des guerrières m'attend devant le plus grand des navires. Le port semble désert. Je l'ai déjà observé par-delà les murailles : il est effervescent d'habitude, exubérant de cris, d'agitation. Là, le silence règne en maître. Je sens alors, dans mon dos, les archères déployées vers le quai, arcs bandés, flèches pointées le long des créneaux. Je comprends vite que tout homme qui osera tenter de m'apercevoir sera immédiatemen
escaliers blancs jusqu'à une grande salle où sont étendus des guerriers gémissants. L
urgie de nulle part. Ne montre jam
e encore s'étrang
m'avoir f
pointant son doigt vers un panneau
sombre et caverneuse cachée derrière ce paravent.
tente de dominer ma peur, im
ins, excellents dans bien des arts, sont démunis face aux secrets de ces plantes et de leur mé
êlé d'une frayeur primaire, me saisit. Moi ? Seule face à tout cela ? Comment veulent-ils que je sauve ces hommes ?
as, m'encour
'ai pas le droit d
gravement. Ce ne sont pas des
st temps de me ressaisir. Je suis une Amazone. La mort nem'effraie pas. S'il me manque des ingrédients, le temple me les fera parvenir.Avant tout, je dois découvrir la teneur et la composition de ce poison. Les Hyksôs,chasseurs comme nous, utilisent souvent des m
ois. Heureusement je connais la forêt dans les moindres recoins, le moindre buisson et je n'ai aucun mal à échapper à leur vigilance. Vite ! Escalader les treilles jusqu'à la terrasse de mes appartements est en revanche bien moins aisé. Toutefois je peux compter
pond Cyrène, mon autre suivante, née le même jour que
La Reine exige sa pr
e proteste si peu vêtue que je parai
t donc ce
é mes bruits de l'intérieur. Une vraie maniaque du rangement ! C'était un peu osé et da
nent les deux messagères. La
rume... dis-je fa
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forte pour émettre toute protestation. Jamais je n'ai été prête si vite. C'est à peine si une sourde angoisse m'étreint lorsque je revêts ma ceinture de remèdes et de poisons. Je laisse mes compagnes pour suivre les envoyées royales. Un cheval m'attend. Nous dévalons la colline du temple pour traverser la première enceinte des palais, puis la grande rue de la cité qui commence à s'animer. Les sons du port
i a quitté le temple depuis quatre ans déjà pour diriger celui des guerrières m'attend devant le plus grand des navires. Le port semble désert. Je l'ai déjà observé par-delà les murailles : il est effervescent d'habitude, exubérant de cris, d'agitation. Là, le silence règne en maître. Je sens alors, dans mon dos, les archères déployées vers le quai, arcs bandés, flèches pointées le long des créneaux. Je comprends vite que tout homme qui osera tenter de m'apercevoir sera immédiatemen
escaliers blancs jusqu'à une grande salle où sont étendus des guerriers gémissants. L
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ois. Heureusement je connais la forêt dans les moindres recoins, le moindre buisson et je n'ai aucun mal à échapper à leur vigilance. Vite ! Escalader les treilles jusqu'à la terrasse de mes appartements est en revanche bien moins aisé. Toutefois je peux compter
pond Cyrène, mon autre suivante, née le même jour que
La Reine exige sa pr
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i a quitté le temple depuis quatre ans déjà pour diriger celui des guerrières m'attend devant le plus grand des navires. Le port semble désert. Je l'ai déjà observé par-delà les murailles : il est effervescent d'habitude, exubérant de cris, d'agitation. Là, le silence règne en maître. Je sens alors, dans mon dos, les archères déployées vers le quai, arcs bandés, flèches pointées le long des créneaux. Je comprends vite que tout homme qui osera tenter de m'apercevoir sera immédiatemen
escaliers blancs jusqu'à une grande salle où sont étendus des guerriers gémissants. L
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sombre et caverneuse cachée derrière ce paravent.
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êlé d'une frayeur primaire, me saisit. Moi ? Seule face à tout cela ? Comment veulent-ils que je sauve ces hommes ?
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st temps de me ressaisir. Je suis une Amazone. La mort nem'effraie pas. S'il me manque des ingrédients, le temple me les fera parvenir.Avant tout, je dois découvrir la teneur et la composition de ce poison. Les Hyksôs,chasseurs comme nous, utilisent souvent des m