Les chant des loup
happer de sa poitrine et ses yeux s'affolent en scrutant chaque recoin de sa chambre. Que vient-il de se passer ? Faire des
-elle la mâchoire crispée.
e début de matinée puisqu'il atterrit sur l'horloge offerte par sa mère et affichant quatre heures du matin. Pest
lle essaie de passer outre sa peur, l'angoisse que ce loup apparaisse de la pénombre est bel et bien présente dans ses veines. C'est donc sur ses gardes que Phœbé fait le tour du quartier jusqu'à ce que le sol
, rouspète sa mère en déposant une assiette de p
nd même pas, trop oc
de si bonne heure ? poursuit son p
t je ne réussis jamais à me
perche ne lui est tendue ou si tout simplement, il s'aperçoit que l'envie d'en parler n'est pas d'actualité. Terminant son petit-déjeuner en quatrième de vitesse, Phœ
on père et s'engage dans l'allée de l'université. Les regards sur elle sont nouveaux. Ils ne présentent aucun mépri
n resserrant sa poigne sur
le n'a pas pris de l'ampleur. La sonnerie retentit sur le campus et tous les étudiants se rendent à leur salle de cours. Ce matin, Phœbé a
l'accompagnent. Ils leur font face et bizarrement leurs regards, à tous les deux, se posent sur Phœbé. Ces regards ne durent pas plus de quelques secondes, mais les autres élèves, les ayant remarqués, suivent cette traje