Boss

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le-ci et commence à partir. Il me rattrape sans un mot, me prend violemment le bras et me reconduit dans la même salle

z à m’agacer. J

pendant que celle de droite me presse brusquement la hanche. Il rapproche encore plus ses lèvres, de façon à frôler les mien

e son chemin et atterrit sur mon cou, ses lèvres s’entre-ouvrent et sa respiration se saccade, tout comme la mienne…d un coup il enlève tout

urqu

t reprend un air sérieux tout

ard

oi je vou

us devrio

mais je me mets devant af

rnière q

les yeux

Di

m’avoir prévenue p

e si vous veniez à cette réunio

it que je va

s venez avec mo

e n’ai pas donné mo

’intéresse pas. Vous venez avec moi

t de la porte et sort. Je fais de même et le suis jusqu’à sa voi

êtes in

te vers lui. Il ne bouge pa

ard

R

erplexe face à ses mots. Je ne

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pour aller prendre ma douche. Je rentre dans la salle de bain et referme la po

regarder avant

vers moi et me décale doucement sur le mur à côté de moi, pour ouvrir la porte. Il me fait un clin d’œil et disparait. Je referme la porte derrière lui à clé et souffle enfi

moi, j’ai oubli

lavabo ou se trou

ètement nue et je dois

téléphone et part. Je referme la porte derrière lui et enlève la serviette pour me mettre enfin sous l’eau brûlante de ma douche… Je sors de la salle de bain, après avoir enfin terminée. Je me suis habillée de mon pyjama, constitué d’un gros pull et d’un short

rait trop vo

tête vers m

ère être

ite pour se rapprocher de moi et passer son bra

r il presse sa main. J’essaie de me dégager

uyez mon

N

Aly

e Je me laisse faire. Je me mets à califourchon sur lui d’un coup et rapproche encore plus ma bouche de la sienn

me. Je me rapproche encore plus, nos lèvres se touchent…nos souffles sont saccadés.

us amélio

Je

nd mon souffle. En vérité je ne

m

ain, il faut que je me rince le visage. Quand je retourne dans ma chambre je me rends compte que mon lit est trempé ! Mon plafond aussi..plus que deux solutions, soit je vai

ne dorm

ossé sur le plan de travail de la cu

retourne l

. Les gens d’au dessus o

’approche de moi. Il met sa bouche

dormir a

n me

Il me regarde av

dormir sur

chambre mais tourne sa tête et

un cauchemars…tu sais

dans sa chambre..je me suis figée rien

e si je dormais profondément. Je sens deux grands bras me soulever et me porter en princesse…il me serre contre lui et monte

s mêmes bras s’enroulent autour

s mouvements…j’essaie de me dégager mais je n’y a

er, j’arrive pas

ffle sur mon cou. Sa tête

pas tutoyer, même si ce

l me traverse les narines, il sent bon. Trop bon. Ses bras se relâchent un peu mais e resserrent presque auss

fait

le sommeil après

à, sûrement partit à un de ses rendez-vous. Je d

z une mine

i réponds avec mon majeur. Il sou

vez bien

urire

mmencez à m

res que je

ns f

et commence à prépare

ris ma j

n

, il vous faut une te

s y alle

vec vous, que ça

comme à son habitude, allonge un bras sur le dossier du canapé. Il l’enroule autour de mes épaules et pour un

profite

pas de quoi

i pas autorisé

besoin de votr

onte dans ma chambre. Quelques gouttes d’eau tombe encore..mes draps sont encore

0

parée..j’ai mis un jean cette fois, p

Ou

he, jetant un coup d

tons dans

et me regarde. I

de tai

ors, ous

mets ma veste, prends mes affaires et descends,

n y

emble bie

verre et pr

votre compagnie surtout, donc

trons dans l’ascenseur et il se met juste à côté de moi, sans lâcher ma main. Nous ne disons plus rien mais l’atmosphère n’est

ain n’est plus dans la mienne. Il l’a enlevé au moment d’entrer dans la voiture. C’est mieux comme ça…il conduit

ne dîtes

recommencé à

pour faire pre

i, me regarde et détourne

llons

mon tour la

lque

uez le mys

eut-

s m’ag

oche à la portière, ce qui le fait encore rire. Je

r, ou du mois..tous les regards de filles. Elles poussent de petits cris sur son passage. Il se retourne, s’arrête et me regarde. Une fois que je suis arrivée à son niveau. Il me souri

hoi

eut que je prenne une robe. Je lâche sa main et avance vers celles-ci, j’en effleure certaines. J’en prend

imerais bien

n’aimer

pète la même chose avec une robe noire, rouge bordeaux et blanche. Noah lâche ma hanche et me suis au cabine, il s

. Me rappelle la voix de mo

l lève le regard, me jette un rapide co

suiv

la rouge à présent…tout aussi décevante que la précédente. J’ou

N

e sur le côté et elle est ouverte sur les épaules. J’aime beaucoup mais elle ne me fais pas vibrer…j’ouvre le rid

us, trop

vous e

me caresse doucement la mâchoire, approche ses lèvres des miennes et me prend d’un coup viole

fois et je te promets que tu ne pourras plus marche

pathe ! Dès qu’il recule, je ferme le rideau et souffle. Je n’en peux plus

la robe et la mets, elle est ouverte jusqu’au bas d

ignore totalement. Il a vr

um

ose son téléphone puis s’avance vers moi. Je recu

ge. Il arbore un petit sourire en coin et rapproche ses mains de mon corps, la droite se pose sur ma ha

et elles touchent les miennes. J’ai envie de l’embrasser, tellement envie..ses mains recommencent à bouger et vien

Tu mettras fin

t en alternant son regard entre mes yeux et ma bouche. Il pense vraimen

s ferai pas

i je vais

’il presse à leur tour. Sa langue demande l’accès à ma bouche, que je refuse, je romps notre baiser et il me repose par terre en souriant. Il essaie de recommencer mais je

léphone. Noah est parti à un rendez-vous, il n’a pas insisté pou

us manq

e déj

c’est m

je faire

ses, pas forcémen

sous-e

cupée, que v

ccu

pas répondu

s non

êtes a

etourne le

is ex

minutes, prépare à

mais ce n’est pas pour autant qu

N

se le choix, j’ai super faim e

faim, préparez v

, il m’a énervée ! Je n

les escaliers, mais se dirige vers sa chambre. Il n’avait pas si faim que ça, apparemment

s…je l’ignore, deux grandes mains se posent sur mes hanches et un corps touche le mien, son souffle s’écrase sur mon cou. Il pous

aille quand soudainement, je me crispe. II ar

te fai

N

Pe

on, vos

dans le four et la croque à pleines dents devant mo

t la m

s main

eux pas lui donner de plus d’importan

affiche 14h34. Pourvu que