Pourquoi pas moi ?

4 – Face

écro

« Al

devant le bistrot du Régent seu

, plus je voulais y aller. Puis, à dix minutes avant le rendez-vous, je décidai d’y aller. Je me levai, pris mon sac et sortis de l’appartement. Un vent assez frais me glaça le sang. J’entamai une marche assez rapide. Sur la route, quelque chose me fit ralentir le pas, enfin plutôt quelqu’un. J’aperçus Cody, accompagné d’une pétasse. Ils riaient aux éclats. Au bout d’un moment, il entoura ses épaules avec son bras et l’embrassa sur le front. Tout ça se passait sous mes yeux. J’avais envi de pleurer, de

– « A

omment pe

mie, il ne se passe rien e

e te croire après avoi

C’est u

est ça ? » me deman

« C’es

de toi et que du bien ! Tu as de la chance de l

. Bon, je dois

attends ! » Il m’

Je dois

et le scannai du regard. Mais je n’aperçus aucune personne qui m’était familière. Qui était la personne que j’avais eue au téléphone ? Je commençai sérieusement à m’inquiéter, c’était peut-être un piège. Je décidai de sortir en vitesse du bistro et pressai le pas pour rentrer chez moi. Mais, à peine avoir fait deux mètres, une main se p

ieuse dans ta vie ? Et j’ai un

on, je te prie. Et c’es

un numéro inconnu, déformer ta voix pour pas que je la reconnaisse et tout ça

ie. Tu cours un très grand danger ici, à Londres. On suit des faits et gestes, il faut que tu fasses

’en ai pour au moins trois ans minimum. Le danger, je connais, je l’ai déjà

e dans peu de temps et surtout trahie par une personne. Tu dois sûrement te demander comment je sais tout ça ? Pour la simple

? Oh Emily ! On n’est pas dans un film américain ! Là, c’est la vraie vie ! Une personne auss

de ce qu’il peut t’arriver. Ces personnes-là ne sont pas là pou

bande. Ecoute Emily, je n’ai pas besoin de te

Comme tu l

re que quelqu’un était à, tout près de moi. Pour prouver mon ressentiment, je décidai de changer de trottoir et il s’avérait qu’une personne avec un grand manteau beige, des lunettes de soleil ainsi qu’un chapeau derrière moi changea aussi. Je mordis nerveusement la lèvre. Bordel, qu’est-ce que j’allais faire ? Une grande avenue de magasin s’offrait à moi. Je m’arrêtai devant une vitrine, faisant semblant de regarder le contenu. Je me tournai légèrement, apercevant la personne arrêtée devant un kiosque de journaux, se cachant derrière un journal. Je ne pus voir qui c’était. Je repris ma m

» remarquai-je

– « Co

T’étais où putain ces derniers jours ? Je

dû régler quelq

nes juste ça comme explication ? Tu te fous de moi, j’espère ? Et en plus de ça, tu me suis ? E

arler avec l’autre fille tout à l’heure. Je

je sais qui c’est. C’

« Séri

ue pas rien. Pourquoi tu me s

aut que tu cas

intenant, excuse-moi mais je dois rentrer à l’appart

là. Il fallait que je la nettoie un jour ou l’autre. Mais en ce moment, je n’avais ni la tête ni l’envie de le faire. Je m’assis sur mon canapé, me laissant tomber

t-ce que tu ve

bonnes vieilles habit

veux quoi,

ez moi. Il faut

« Maint

Mainte

’hôtel et elles attendent que je sorte pour avoir un autographe ou un

uille-toi. »

, tu fais ch

i aussi je

’eus l’impression d’avoir 16 ans, d’être à King College avec Josh.