L'inattendu d'une rencontre
oi !) Il se retourne et s'en va. Je me sens obligé d'aller le voir. D'où il parle comme ça à ses parents ?! Et pourquoi il
me ça à ton père ? Et ta mère la pauvre ! Il serre la mâchoire et ferme les yeux, quand il les rouvres, je vois que son regard n'a jamais été aussi noir que maintenant. -A, regard noir : Je leur parle comme je veux ! Tu sais rien de cette famille alors ne te mêle pas ! N'oublie juste pas pourquoi t'es là ! Depuis que je le connais il m'a toujours parler très mal, mais là il a lâcher ces mots tels du venin. Je m'y attendais pas à ce
enfermé. Qu'il est tout seul. Il fait confiance à personne. Alors qu'il ait une copine ça me choque vraiment. Je ne dis rien. Je ne peux rien dire de toute façon puisque je ne connais rien de Amir. Si j'ouvre ma bouche, je risquerai de dire quelque chose qui mettrai à mal la condition qu'il m'a imposer. -Elle, en me souriant : En tout cas je suis contente. Elle se tourne et commence à s'en aller. -Elle, en se retournant : Et au faite, je m'appelle Imane. Je
se un accident de voiture qui a eu lieu sur la A7 qu'Allah nous en préserve. Trois enfants et une maman sont très grièvement blessés. Le papa est mort. Ça fait vraiment trop de la peine. Les enfants se retrouvent orphelins...de quoi donner les larmes aux yeux. Je me retourne quand j'entends mon père soupirer. -Moi : Q
ds des médicaments. Moi j'étais encore petite quand mon père a eu cet accident. Mais c'est depuis cet accident, que tout a changé. Plus les années sont passées et plus j'ai compris que mon père avait de grosses chances de mourir Allah y ster. Tout ça à cause de cet accident. Ça nous a détruit la vie. Parce que bien sûre ma mère a du commencer à travailler. Elle était un peu moins présente à la maison pour pouvoir payer les médicaments à mon père. On ne pouvait plus faire des sorties comme avant. Aller jouer au parc, voyager loin de chez nous, non, rien. Après j'ai du aller moi même tr
: Fais attention sur la route, tamam mi ? (D'accord ?) -Moi : Merak etme. (T'inquiète pas) Je m'en vais. À vrai dire la conversation de tout à l'heure m'a un peu refroidi, ça m'a rappeler des choses dont je n'ai pas envie de me souvenir. Je décide de ne pas rentrer chez moi, il faut que je prenne l'air. Je vais alors dans un parc, enfin c'est un jardin public où tu peux marcher tranquille. Donc vous inquiétez pas on est pas dans la
. -A : Mais c'est pas grave, tout le monde s'en bat les cou*lles de ma vie. Je fronçe les sourcils. Comment ça tout le monde s'en bat les cou*lle de sa vie ? Il a sa famille, une soeur, un neveu. Je sais pas mais ca me semble -Moi : Pourquoi tu dis ça ? -A : Parce que c'est la vérité. Bref, tant que t'es là, viens. Il se lève et commence à sortir du parc
s. On monte dans sa voiture d'ailleurs qui est très belle. Ça m'étonne pas. On prends ensuite la route. -Moi : Comment ça ton neveu fait que me demander ? -A : Je sais pas. Il fait que dire je veux voir la fille qui était la tout à l'heure. Il m'a péter le crâne ce morveux. Il est trop mimi ce petit. -Moi : Mais il sera en train de dormir non ? -A : Non. Il dort jamais ce gamin, c'est une pile. Je lève les yeux aux ciels. Une foi
visage s'est détendu. Je pense qu'on joue assez bien le jeu. **DANS LA PEAU DE MR REDOUANE** Je passe à côte de la fenêtre et j'aperçois qu'Amir vient d'arriver. C'est bizzare. D'habitude il fait tout pour rester le plus possible dehors. Je vois qu'il va ouvrir la portière côté passager, et vois Irma, sa copine descendre. -H : Ach kat chouf ? (Tu regardes quoi ?) -Moi : Amir dkhol bekri lioum. (Amir est rentré tôt aujourd'hui.) -H : Besah ? (C'est vrai ?) -Moi : Eh. (Oui). Elle se lève me rejoindre et remarque elle aussi Amir et sa copine en train de venir main dans la main. Elle est en train de rigoler et lui a l'air détendu. Ils ont