L'inattendu d'une rencontre
gradera pas. Mais si ça arrivait, on aurai aucun moyen d'assumer financièrement ! -Moi, en me retournant : C'est d'accord. J'accepte
out cas je ferai tout pour. -A : C'est bon tu donne ta parole ? Je savais pas que j'allais faire ça un jour. Ça me dégoûte. Mais si y'avait pas mon père der
outes les personnes de cette maison croit vraiment qu'on est ensemble. -M
e ses parents. -R : Alors c'est bon. L'histoire est réglée. -A : Oui elle est réglé. Elle travaille ici à partir de demain. -R&H, en fronça
is que ça ne se fait pas. Que vont dire les gens de nous quand ils vont voir ça ?! -A : Tu sais très bien que je m'en bats les cou*lles d
la porte. Je me sens grave coupable de ce qui vient de se passer. -Moi : Tu viens de te mettre ta fa
orrect. Je rectifie juste un truc par rappor au salaire. Si t'avais signé tout à l'heure tu aurai pas été payé le montant exact puisque mon père est un radin et qu'il propose que le salaire minimum. Euh d'accord. Ça veu
rimé : Tu peux signer. Et je signe. -A : Demain on est samedi. Si tu peux etre la à 13h30. -Moi : Je serai là. J'ouvre la porte du bureau et commence à m'en aller avec Amir qui me suit. -... : Tu comptes la laisser partir comme ça Amir ? Je m'arrête, me retourne et vois Mme Houria. -H : Yallah dekhlou neklou chihaja. (Allez rentrez pour qu'on mange quelque chose.) Je me retourne vers Amir qui est lui aussi en train de me regarder. Je comprends que notre jeu a commencer. -Moi, en souriant : Bien sur Khalt
'est le respect. Eh bah oui. Parce que c'est la mère qui vous porte et souffre pendant neuf mois. C'est elle qui vous nourris. C'est elle qui vous éduque. C'est elle qui même si toute la planète et contre vous, elle sera toujours derrière vous. C'est le père qui travaille pour vous et qui ferai tout pour que vous ne manquez de rien : Argent, nourritures, loisirs, études, voyages... C'est lui aussi qui sera fier de vous tout au long de votre enfance et même adulte. C'est lui qui pourrait tout faire pour protéger sa famille quitte à mourir pour elle. Alors les deux ensembles, ils sont d'une
bien de les voir. Je rejoins ensuite Eylül dans sa chambre. -E : Raconte wesh ! J'ai rien compris ! -Moi : J'aurai jamais du aller dans cette fichu maison vAllah ! -E : Arrête de parler pour rien et va droit au but ! Hadi ! (Allez !) -Moi : La maison dans laquelle je suis allée c'est la maison où habite Amir. -E, en ouvrant grand les yeux : Noon ! Amir le mec qui t'a... -Moi, en la coupant : Oui lui ! -E : Wesh vous faites que de vous croiser ! Mais du coup ? -Moi : Beh son père n'a pas voulu me laisser signer le contrat sous prétexte que je suis la copine de son fils. Mais je lui ai dis mille fois que c'est pas vrai et que leur fils était un menteur ! -E : Mais ta dit que tu trava
devant le portail. On a encore chercher du travail toute la soirée mais on a absolument rien trouvé. J'ai la haine. Je me fais accueillir par la femme qui m'a ouvert la porte hier. Je ne sais pas comment elle s'appelle. -Dame : Selem ma fille ! -Moi : Selem khalti ! -Dame : T'es toute jolie ! Yallah eji mhaya fel cousina. (Allez viens avec moi a la cuisine.) On se dirige à la cuisine mais en passant j'aperçois Madame Houria, Mr Redouane, une femme que je ne connais pas et un petit enfant. Je me demande c'est qui. Arrivé à la cuisine, la dame prépare des cafés tout en me par
magnifique mash'Allah. Il a l'air d'avoir environ 5 ans mais comment il est beau ! -R : Choukran benti. (Merci ma fille.) Je fais un signe de tête et prends le plateau pour retourner à la cuisine. -R : Tu peux aller dire à Amir de venir hefek ? Il est dans sa chambre normalement. Non j'ai pas envie de le voir ! -Moi : Oui bien sûre. Je vais à la cuisine pour poser le plateau
vant la porte et puis on se dirige vers le salon tranquillement. À la vue de la fille que je ne connais pas, je vois qu'il fronçe les sourcils. -Petit garçon, en courant vers Amir : Tonton ! Et maintenant je comprends. La fille que je ne connais pas et la soeur de Amir et le petit garçon son neveu. Il le prends dans ses bras. -A : Ça va bonhomme ? Le petit garçon est tout content. -R : Eji wouldi gles mhena. (Viens mon fils t'assoir avec nous.) Amir repose le garçon par terre et se retourne vers son père. -A, en
urne et s'en va. Je me sens obligé d'aller le voir. D'où il parle comme ça à ses parents ?! Et pourquoi il ne veut pas rester avec s