Seul
ania, Brés
Je respire profondément et mon visage s'engourdit, il y a deux autres points de lumière qui éclairent également du sol au plafond, le reste est dans l'obscurité. Je cherche mon téléphone portable dans ma poche et je comprends que la lumière mystérieuse devant moi est mon téléphone. Je le
ra,
allongé sous le loquet, il marmonne quelque chose mais ne bouge pas. Je me traîne et m'agenouille sur lui, j'attrape le loquet, mais je n'ai pas la force de tirer, il bouge et je reste suspendue en tenant le l
h p
te s'éclaircir et je vois les mains de Lipe sur la porte. La porte s'ouvre enfin. Et la
a se r
ide et nous l'emmenons dehors, elle se réveille
ont le
et vois une veste en jean. Je suis encore un peu étourdi, mais j'ai l'impression que c'est la veste que portait le monstre qui nous tirait dessus. Laura se lève lentement.
-tu m
resté silencieu
ent as-tu fait pour frapper une bouteille à cette distance ? Pourquoi fais-tu ça? Quel genre de personnes sont ces gars-là ? Connaissez-vous ces gars-là ? Qu'est-ce que ces v
prend
re mon
ra pense définitivement que je suis
même pas ce q
rde Laura s
rie
affaires avec des gens,
des psychopathes
ts que tu as utilisés fonctionnent aussi, mon dern
ui appell
nter la putain d
éso
e ou d'une autre, il m'a trouvé et ça s'est passé comme ça. Je ne voulais pas t'embarquer
e. Nous marchâmes lentement vers la sortie. Une odeur de fumée flotte
s cette
a ré
de l'ex
ndit le
ux derri
je regarde Lipe et je ne
quoi un
ntrer chez vous
eule paire de
se ret
is me r
impression difficile à expliquer, c'est presque maléfique ce que je vois dans ses yeux, le mêm
devient
en vanter, le prix de la peur de l'année est déjà le mien. Nous nous di
ais y
e l'arme e
est la veuve noire ?
me taire, mais elle ne
ut v
sens quand je sors du bâtiment, c'est
chaus
lon de Lipe est toujours collé à
ue personne n'ait pu
vrai
que chose qui
he lentement d
mme
seule issue
e s
antalon et mes baskets et ils sont exacte
'arme vers l'e
s d'ici
lève la rambarde, je passe puis je tiens la rambarde pour qu'il passe, Laura sort la dernière, regar
c'est sur les deux sorties, les
e crie
ns par où nous som
e de la ruelle, Laura avan
tai
maisons, des hangars à l'arrière, des maisons sur des dalles, jusqu'à ce que toute la colline soit devenue un amas de bâtiments. Et ce que nous voyons maintenant, c'est ce même amas de bâtiments complètement en feu, non pas une ou deux maisons, mais tous ensemble, toute la colline.
iers ? Pourquoi pe
arme et me pre
artir de là, allons sur l'autor
sons de chez nous explose et envoie des débris, du feu et de la fumée partout, tout ce que j'entends c'est un fort bourdonnement dans mes oreilles, Laura me tire du sol, c'est la