Chacun sa chacune
LOG
sha EB
ce jour que le Dieu tout puissant qui vie dans les cieux a décidé de me faire venir dans ce monde qui a été créé
s. Avec maman et jores on doit aller chez Mami passer la journée, En vrai je sais, ma Mami m'a organiser
he à l'orange que ma grand-mère m'a acheté, je verse une petite quantité s
uvaises odeurs parce-que mes poils commencent à sortir. Je me rince,rince mon gant puis je me frotte encore pour une deux
r la corde qui se trouve dehors quand je vais terminer de me laver. J'attac
je me lave les dents devant le miroir. Je termi
ant): oh ton
te tombe à
ouriant): je t'a
nt): Tu es
t bizarrement): oui .je re
:
ns avec un sourire malicieux ):
masse vite et l'attache. Tonton Marcus me regarde toujou
t de
ement en courant presque et
est pas bon de détester les gens >> mais malgré ses mots, je force, je n'arrive toujours pas à l'aimer. Doit t'on me forcé à aimer quelqu
sque l'on tape su
ceau dans la douche . Tonton Marcus passe devant moi et me caresse le br
oi tonton Marcus était devant la po
ne savais pas qu'il était là jojo,
aï je ne l'aime pa
mais Mami a dit de ne pas détester
i et c'était la grosse fête ! Tous m
lais plus le lâcher et jores aussi, ça fait trop longtemps, papa n'est pas venu nous voir depuis un bon moment et lor
r de pensé à lui, parce-qu'il nous a
dant): mes bébés
rant): reste
ore resté
pe dans le deuxième cadeau maï, tu connais c
larmes
) : ok mon bébé. Arrête
'est difficile papo
dans ses bras): vo
enveloppe pour nous aider si il y'a un besoin com
te dépêches de passer dans la
ami): non je v
nniversaire ! laisse-les passer la nuit ici
est tout. C'est toi qui passe ton temps à dire 'ou
pirant): t
: votre père attend
notre père ! Mon père s'appelle M
nous rega
ans sa chambre pour me calmer en me disant qu'elle nous
mme elle était de garde, elle travaille au CHUL (centre hospitalier uni
é et nous sommes allés dor
porte de notr
de se
de se
C T
rir la porte à tonton Marcus qui e
ha , 2
ose d' important à me dire, yorick se prése
ssise au mayena comme une maboule et toujours pas de Mr OGOULA en Vu. Le
règle ma note, soulèves mon sac à main
poto électrique, d'ailleurs je ne suis jamais d'humeur à l
pas D'abor
e est trop acide, les mots qui sortent de ma bouche sont très piquants et s
s directement en me disant, monsieur a une urgence et tout, j'arrive i
remière proposition et ce dernier me
mettant son
abitude entrain de lire sa bible . Je tire une chaise à la terrasse et je vais la rejoindre . c'est tout l
n de mon tailleur): v
tête): EBONG, Ô
les jambes en avant): je su
(Tu vas bien ?) La
journée était pass
sa Bible): gloi
tes nombreux enfants son
geant): EBONG tu
rire)
secrétaire de qui ici ? Lorsqu'ils sortent de ma maison ils me disent où ils se rendent
oh je n'ai fais que
'est sortir tous les jours et faire la fête pendant une semaine, à boire le vin on dirait des trous ! J'ai déjà dis à
a tes règles ou
rrrr imbécil
de chercher les hommes ? Avec toute la beau
é minenga ! (vilaine
cas on se ressemblent trop mon cœ
babouche): regarde mo
i
cette femme ! Tout d'un coup
ur me rendre dans mon petit stu
puis le salon, d'aller les rangés dans la chambre, de posé mon sac à main, de me déshabiller e
isation en marche avant de me jette sur
ethnies fang de père et de mère . Plutôt Pas très grande de taille, pleine de corpulence et de peau
d'enfants mais j'ai mon petit frère de vingt ans à ma charge de
petit bébé
res, l'argent de poche et tout ce dont un parent fait à son enfant c'est moi maïsha qui le fait pour lui. Papa nous aide et be
nt à lui demander son argent. Je dis sa mère parce-qu'il y'a bien longtemps que je ne considère
es nombreuses copines de mon père. J'étais encore une enfant mais j'é
aujourd'hui. Un matin j'avais pris mon petit frère de cinq ans, quelques vêtements et deux chaussures rangé dans un petit sa
ts ont construit au moins huit maisons en dehors
ns dix [rire] Étant la plus grande des filles, maman m'a donné un studi
ie de t
résente au mayena et moi je devais rester l
ie de t
ie de t
ie de t
huitièmes appels
ne posé sur
grave): maïsh
lme): c
es chez toi pendant
:
il veu
ng
egarder, je sais
ie de t
ins de visage, gommage, masque, shampooing épilation tout le nécessaire. Je lave mes sous-vêtements les installe sur mon petit
ng
ment yorick est assi
l'ouvrir la p
temps, ou c'est parce-que je ne fais plus de tapage qu'il pense me berner, je remarqu
la maison il fait chaud. Je tire mes cheveux en chignon haut, met du déodoran
s marches d'escaliers, je laisse la porte ouv
.
rmer ma porte. ce n'est pas à cause d'un fou
e): je veux
as suivie): eu
je veux mette un ter
lme): a
our les futilités . Il veut a
is quoi là maïsha ? Ok ? C'est u
é quelle partie
regardan
re c'est terminé entre nous et
eux , maintenant de faire quoi ? De pleuré ? De m'allonger ? De
omportement de cochon ? Tu penses qu'un autre homme peu encore te supporter comme moi je l'ai fais maïsha ?
ée) : ah
omme voudrait épousé une
nt, les gémissements, les positions pornographiques, les couinements,les orgasmes, le
froideur ! L'arrogance ! La fierté ! La bipolarité ! La suffisance ! La jalousie ! La possessivité ! La colère ! La nervosité ! L'agressivité ! La violen
:
e tes fesses tu penses être la plus belle de Li
CHEZ moi OGOULA ! Tu te prends pour qui et pour combien pour te permettre de venir élevé la voix ic
ck :
euilleuse ? Fière ? Suffisante ? Jalouse ? Nerveuse ? Colérique ? Violente et tout le reste ? C'est au
ck :
n'étais pas sauvage n'est-ce pas? Me prendre dans toutes les positions, dans toutes les pièces et sur tous les meubles de ta maison chaque jour
noir): tu me com
c'est à base de " je me prends pour qui ?" mais je
-que je ne cour pas derrière toi ? Je vais d'abord commencer par
mains aux
ce temps ? Qui t'a demandé de rester à mes côtés ? Je vais te supplier parce que j'ai tué qui ? À
maïsha ne refait
chose en le regardan
par le cou et me plaque au