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Le désordre de ma vie

Chapitre 5 05

Nombre de mots : 4379    |    Mis à jour : 23/08/2023

11 : Me

ndis que Fanta et moi nous fusillions du regard. Celle-ci avait revêtu un tailleur bleu de nuit très classe et avait mis des chaussures jaunes, ce qui donnait beaucoup d'harmonie et de gaieté à sa toilette. Ses cheveux étaient relevés en un chignon haut et elle avait encore mis son exécrable rouge à lèvres vif qui lui donnait une vraie bouche de peste. Dans son regar

cherches non ? Sors de là si t'es une fille ? Al

gérante qui ne comprenait rien de ce qui se pass

d'histoire ici, maintenant partez ou j'appel

rquoi tu me harcèles de la sorte ! Je dis sors kéé ! Et vous poussez-vous ! fis-je en bo

Fanta. Immobilisant mes deux mains, elle m'entraîna avec elle dans sa retraite pendant que Fanta

vais la défoncer ! Fis-je en la gr

appai pour rattraper Fanta qui venait

violemment les cheveux tandis qu'elle essayait de rentrer dans sa voiture. Je remarquai dan

le portrait ! Je ne peux pas croire que tu sois Fanta, non seulement ce n'était pas une mauviette mais elle n'aurait jamais agi c

out ce que tu m'as fait endurer j'allais t'accueillir gentiment comme si de rien n'était ? Je te jure que

raîtresse ? répétai-je tandis que je me rua

cria Fanta qui parvint à se retourner et tira sur

passants s'arrêtaient pour regarder la scène et d'autres allèrent plus loin en émettant des remarques très vicieuses du genre « Xalé bi patiakhh nga deii ( tu es trop bonne toi

e chérie ! Je t'avais prévenue, c'

avait réussi à prendre le volant ralentit en arriv

is une affaire personnelle. Je te conseille de bien surv

et Habib vous pouvez bien aller vous faire fo

rêta son châle avant de héler un taxi. Quel gâchis, la robe était complètement fichue à présent et je venais de me ridiculiser devant tout le monde à cau

u'elle te haïsse de la sorte. D'habitude, je ne prends pas les menaces des gens au séri

la un autre jour ? Crois-moi, j

veux. De toute façon tu sais

intenant rentrons, ajoutai-je tandis que j'

olle furieuse mais je méritai amplement tout ce qu'elle me faisait subir en ce moment. Force m'était en effet de reconnaître que j'avais vraiment déconné en Seconde en l'accusant à tort et en la privant indirectement de l'usage de ses yeux. Mais l'heure des regrets éta

aconté p

d'ailleurs le nom. Après 10 ans de mariage, ces derniers avaient divorcé lorsque tatie Kadia avait appris que son mari menait une double vie et était déjà marié à une autre lorsqu'ils s'étaient rencontrés. Malgré cela, mon père affectionnait particulièrement Alexandre et ne manquait jamais d'ailleurs de me rappeler sa préférence pour lui ! Il était 6 heures passées quand nous sommes rentrés à la maison et

ès bon ! Qu'est-ce que tu

e sais pas qu'un homme doit dire bonjour le matin avant toute chose

arlers ! Si elle espérait me sortir de m

i. J'ai rendez-vous avec la fille que je t'avais présentée la d

es cette fille ! Elle ne me dit rien et puis elle a la manie de couper la parole aux gens, surtout aux

A ce que je sache, toi aussi tu as commis pas mal d'erreurs ! La preuve, Alex

ton, c'est compris? intervint Alexandre qui venai

elle tenait quelques minutes plus tôt et se

la suite, cliqu

suite? C'est

: L'heure

e-toi ! Intervint Kadia qui s

? Tu t'es pris pour qui toi ? Répète ça devant moi si tu es un homme ! Termi

urdement. Tout ce qui est ici m'appartient, et si vous ne me croyez pas, demandez lui! C'est maman qui avait acheté cette maison et elle me l'a léguée à sa mort, donc je vous conseille de ne

toi ! Gronda alors Alexandre dont le po

. Kadia s'empara alors d'un gros pilon et menaça Habib avec, ce qui eut pour effet de le stopper net dans son élan. Relâchant son demi-frère, il bredouilla de vague

la prochaine fois n'interviens pas. Il faut le comprendre aussi, il n'a toujours pas fait le deuil de sa mère et il

i donne pas le droit de te traiter de la sorte

s mon bureau, avec une mine abattue pour que je sache l'horreur de la relation dans laquelle je m'étais embarquée...Son fils nous avait surpris une fois tous les deux

cela? S'énerva Alexandre qui commençait

e à la disparition de sa mère. Pour lui,

nir t'installer ici après sa mort ? Je n'aurais jamais cru pouvoir

fermer dans sa chambre sans un mot tandis qu'Alexandre se remettait péniblement de ces aveux. Il connaissait sa mère et savait qu'elle culpabilisait, mais aucun d'eux

...........................

conté par

nstater avec effroi l'énorme décalage qui subsistait entre mes actions et mes intentions primaires. Assise dans mon lit et parée pour la circonstance, je tenais dans mes mains le cadeau d'anniversaire de Habib, que j'espérais assez original et plaisant. J'avais hâte de le lui reme

t plus en paix. J'espérais qu'il me pardonnerait et reprendrait ses esprits avant qu'il ne soit trop tard...Un bruit de

a, tu e

n sac, fis-je avant de l

tu vas affronter le diable en personne, lança Ndèye

diable je te signale,

Je suis fière de toi rajouta Bibi qui avait senti mon ma

très agréable nous introduisait dans la salle de réception. « Je vous laisse ici mesdames, je dois m'occuper des autres invités qui arrivent. Si vous voulez bien m'excuser »... Tirant une profonde révérence, cette dernière s'éclipsa nous laissant en compagnie des autres hôtes. L'endroit était époustouflant pour ainsi dire, tout avait été décoré avec goût : des assiettes en

dions ! -Samrane, laisse-moi te dire que tu es spl

n'êtes pas en reste ! Voici ma sœur Bibi, je ne

autres demoiselles ne piquent une jalousie envers vous ce soir ! C'est incroyable comme vous leur d

salle, ma sœur qui avait perçu mon anxiété me

! Allô

y a encore ? Ré

tu cherches, il es

ien vite lorsque j'aperçus la sulfureuse Fanta qui pendait à son bras, moulée dans une de ces robes excentriques dont je commençais à avoir l'habitude. Que diable faisait-elle ici et pourquoi étaient-ils enlacés comme s'ils formaient un couple? L'air me manqua à ce moment là et je

voilà ? Ma bonne vi

i à ma place tandis que je m

vité, elle entraîna alors Ndèye Yata un peu plus loin pour me laisser seule à seuls avec Habib et Fanta. Ça alors, elle n'avait vraiment pas perdu de temps pour l'attirer dans ses filets ! Accusant le coup, j'essaya

! Fanta..., fis-je en la sa

soir ! C'est pour moi le cadeau ? Fit Ha

ller. Il manque juste une touche et il est à

l'ambiance ne te plaît pas ? Humm ? Ajo

maintenant, il s'était mis avec Fanta... J'essuyai furtivement une larme traîtresse et tandis que je rebroussai chemin, une main très chaude vint se placer au creux de mes reins à ce moment là, me faisant

avais caché celle-là ? Tu nous pré

exandre, Alex je t

connaissance Samrane. Tu

l se pencha vers moi et me

notes de musique d'un slow commençaient à envahir

bien sûr, a

me parcoururent tandis que mon cavalier qui me serrait la taille un peu trop à mon goût s'empressait de me guider sur la piste de danse. Lorsque nous passâmes devant Ndèye Yata, je lui lançai un regard navré et lui fit des signes pour qu'elle se tienne prête le moment venu. Bien que déçue par le tour que pre

approcher de moi et me cognai contre son superbe corps d'athlète. Manquant tomber, il m'attrapa de justesse et m'intima de le suivre sans se départir de son calme. Malgré la pointe d'agressivité que j'avais sentie dans sa voix, je le suivis quand même, mue par je ne sais quelle force mystérieuse qui me

e te rayer de ma vie. Mais j'essaie juste de te comprendre... Pourq

i mais j'ai vraiment

m'avais préparé et que tu projetais

uvoir inventer cette fois-ci comme excuse ? De plus en plus nerveuse, je me

e de son contenu, pourquoi me l

ournal et que tu me détestais de toutes tes forces et maintenant que je m'apprête à franchi

egardais et comme elle semblait heureuse. Je veux sincèrement ton bonheur et je pense

'es-tu demandé ce que toi tu voulais ? Ce que moi je veux? Répondit-il avant

ta devant moi comme si de rien n'était et là tu veux me faire croire que tu res

a entre nous, jusqu'à quand comptes-tu m'évit

voilà la vérité ! C'est vrai, j

tu es tellement nerveuse que tu m'agrippes la cra

ésolée,

t un baiser profond, possessif, exigeant, de ceux que ni le temps ni une mémoire défaillante ne pouvaient effacer. Pour la première fois, je me laissai aller et goûtai au bonheur d'être dans les bras de l'être aimé. Ses caresses s'intensifièrent me rendant folle de

es-tu ?

la suite, cliqu

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