Il prit l'un de ses côtes
rt
e n'eus que la force de lui dire : Je veux juste mourir, qu'on me laisse mourir en paix, dites-leur de me laisser mourir... Il essayait de me consoler et je continuais : vous ne comprenez pas, vous ne savez pas et vous
, vous souffrez tellement ici que vous voulez mourir, mais si vous ne faites pas la paix avec votre cré
s'arrêtera d
er, mais tout dépend de
e Dois-j
Christ comme votre
tête faiblement, e
sur la croix pour le pardon de mes péchés. J'ai dirigé jusqu'à présent ma propre vie et j'ai péché contre toi en ne te reconnaissant pas comme le Dieu de ma vie, mais maintenant je m'en repends et veux la vivre pour toi, veuille m'a
bouée de sauvetage puis ce fut le trou noir... j'ent
bouche sèche, il se leva et me fit boire de l'eau. Il me dit j'appelle les infirmières. Dans la minute la chambre était pleine de monde. On m'examina
ui était en phase terminale d'un cancer. Elle était décédée, en début de soirée... Non il n'était pas triste parce qu'elle était entrée dans la lumière de son sauveur. Mais il s'inquiétait pour m
ns ma situation. Je lui fis comprendre que j'étais fatiguée mais qu'il ne fallait pas que l'homme
u confesser mes péchés, il m'écouta, sans me juger. Il pria pour que Dieu panse mes blessures et qu'il me donne la force de sortir de là. Il partit ce soir-là, je pensais ne plus le revoir, mais il revint. Il m'exhorta à lutter pour recouvrer la santé. Il me rappela mes enfants,
ession, que je ne les avais pas impliqué. Il s'entretenait longuement avec les médecins, il voulait me ramener chez lui, les médecins ne cédaient pas. Une assistante sociale vint
trop de question et que cela devenait difficile de tenir, mais que je craignais qu'Hilda ne recommence avec ses mauvais traitements alors que je n'étais pas bien remise. J'appris à cette occasion qu'Hilda
it fait mettre un lit d'appoint dans la nurserie et je pouvais dormir avec eux. JE repris des forces. Eric avait presque l'air humain, mais p
est l'heure du dîner... Je continuerais à la
rt
ur Pau
taurant pour le dîner. Mon cœur bat à 200 à l'heure, j'espère plus que tout qu'elle dînerait av
qu'on avait fait tout ceci, ou du moins à quelqu'un de très proche de moi... Je ne sais pas quoi faire... J'ouvre mes yeux et je me rends compte que la
ant de longues minutes. Je sors de la douche, ah le confort mine de rien c'est agréable. Juste le temps de me revêtir que le room service tape. Mon sandw
lle vient. Les blancs, avec leur Evangile « normal »là, qui me croira si je parle d'une vision ? Humm est ce qu'ils ne vont pas penser que je suis du mê
, mais la présence de Dieu est palpable. Et je me laisse envahir par sa douce présence. Je sens mon assurance grandir... Mais déjà le moment tire à sa fin... Il est 23 h 20 quand je reprends l'ascenseur. En arrivant sur mon pallier je croise des pasteurs de la Fra
Donc les blancs font veillées de prière ??? En tout ca
l n'y a plus de barrières de langues. Avant que nous allions le temps de sentir la fatigue il est presque 3h du matin. L'équipe qui do
st
r un pasteur noir améri
speak e
me dis qu'il veut me de
nglophone, est ce que je peux te parler ?
message. « La moisson du Seigneur est grande, mais il n'y a pas beaucoup d'ouvrier ! Ils ont prié pour que j'envoie de
nse que je ne comprends pas son
bien c
n, demande au Seigneur, car il n'y a que lui seul qui a l'
'est ce que je dois faire et surtout pourquoi j'ai aussi mal quand je pense à ce que Cassandra a vécu
un jeune et prière avec les anciens et les responsables pour me soutenir. Il me connait il ne pose pas de question, ça sera fait et il raccroche. Je
eins
rçois la délégation de Cassandra. Sans elle... Je fouille dans ma mémoire à la recherche de quelques mots
aide. C'est très profond, et ça me permets de comprendre bon nombre d'expérience que j'ai eu, pourquoi certaines avaient abouti à un
ation de Cassandra me rejoint... J'esquisse un sourire et dans mon cœur je dis merci Seigneur. Nous essayons d'échanger timidement e
es se pr