Que personne ne sépare

ol

coup d'oeil à ma montre me rassure, je suis dans les temps pour attraper mon train. Je décide d'appeler Raïssa, ma fiancée pour lui annoncer la bonne nouvelle. Un regard circulaire dans le

Al

s, Raïssa, nous allons en

tu as tes

e viens de récupé

Et quand est ce que tu

mon train est d

rôle, tout va bie

. Tu pourras pa

un cours moment, tu sai

r, tenons bo

ussi, j

tourne la tête et le jeune homme à côté de moi est en larmes.... Ah le travail ne s'arrête jamais, je l'encourag

tudie à l'université Biblique de New-York . Ma vie n'est pas un long fleuve tranquille mais Dieu est ma boussole et je ne suis point dans

lisse juste à temps dans le wagon, direction New Haven, Connecticut. J

heures

ette. Je range mon manteau, troque mes chaussures pleines de boue contre des chaussons en rentrant dans l'unique pièce de l'appartement. Elle se retourne et me fait un gra

chauffantes, mon dîner risque de brûler. A contre coeur nous nous séparons et je

nombreux rendez-vous pour fournir des pièces à n'en plus finir, puis j'ai vu la décision du juge qui était annexée au courrier. J'ai donc essayé de tout caler pour aujourd'hui, la visite à l

ière de toi, alors qu

urrais aménager, et je prends officiellem

a date, le pasteur Adams est

avec les nouvelles donnes, la si

père. Nous feron

oi ta

n stage au cabinet, je ne pe

foi, Dieu

rde comment il nous

plaques chauffan

eçu de l'attiéké d'abidjan... Je

ait oublier la faim et le froid, mais en réalité j'ai très faim et le menu est

e de la laisser partir, mais il nous faut être raisonnable, surtout que je m'apprête pour la qu

t de lui souhaiter bonne nuit. je regarde le taxi partir et je remonte dans mon studio. Je prends une assiette, je sers mon dîner, je m'assois et je bénis le Seigneur, car Dieu seul sait que même un plat de pâte au fromage ce s

divine pour manger samedi et dimanche en attendant que la paie de la semaine prochaine. Je mange en passant en revue ma journée m

ouver l'unique amour de ma vie. Raïssa, ma Raï. Je l'ai rencontré il y a 8 ans, elle était élève au cours Lamartine une école française, dans le quartier de mon enfance, à Marcory TSF. Je l'ai observé pendant presqu'un an

je m'occupais en faisant des photocopies dans un business center en face de Lamartine pour avoir un peu d'argent de poche, pour me permettre de tenir durant l'année scolaire . Quand le mois de Septembre est arrivé, les élèves des établissements français ont repris les cou

four de son école, apparemment son chauffeur avait du retard, elle est venue spontanément vers moi pour me saluer... Je suis devenu l'ami, avec qui elle acceptait d'échanger quelques mots une fois en passant. J'ai vécu des heures sombres cette année là, quand je me suis rendu compte qu'elle avait un petit am

c, je lui ai avoué ma flamme. Mais ayant donné ma vie à Jésus j'ai souhaité bien faire les choses, et ne pas la fréq

sé comme un malpropre de leur maison, je n'ai pas eu de nouvelles d'elle pendant les grandes vacances, j'attendais la rentrée avec impatience... Mais je n'ai eu que mes yeux pour ple

commencé à diriger le groupe de jeune et à quelque occasions j'ai eu à pêcher au culte du dimanche. J'ai pri

de nombreuses tentatives vaines, j'ai été pris en stage dans une maison d'assurance de la place à Abidjan, puis j'ai signé un CDD. Et un matin en allant appor

ose lever les yeux sur sa fille et qu'elle soit consentante. Il l'y a envoyée, et elle n'a eu le droit de venir à Abidjan qu'une fois le Bac en poche. Elle n'avait personne vers qui se tourn

ls, mais pour l'heure je dois prendre ma douche et me concentrer p

hat

ïs

pauvre maman. Voilà quatre ans que les médecins lui ont diagnostiqué un cancer du sang, la leucémie, quelle maladie. Mon père, employé de l'ambassade des USA a demandé son affectation immédiate ici, et depuis nous luttons en famille contre cette maladie. Le diagnosti

remonte délicatement la couverture, quand je vois

ent va

tenu sa Green Card aujourd

loué, il com

s la remise

it que c'ét

en, dans le

nu une femme, et bientôt tu

core que pap

a la bonne, aie

i ma

mangé av

ulais rentre

eras donc de tenir comp

'es pas vieil

princesse de mes parents. Après mon Yvan, mon grand frère, ils ont attendu 10 ans pour que je naisse. Ils ont concentré toute leur attention sur moi et n'ont pas vite compris qu'Yvan perdait pied. Il était au Lycée International Jean Mermoz et a commencé à fumer de l'

-vous, quell

ndema

la

dans l'arrière cour en train de boire mon café quand je repense au jeune h

suis Roland, tu te souv

e que tu

aut que tu t'accroches, ça va aller, fait confian

unesse ce soir? ça pourrait te faire du bien d'ê

st Church, 4580 162nd St. D'accord Yann,

que je repren