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Émilie

Chapitre 4 04

Nombre de mots : 2246    |    Mis à jour : 20/08/2023

l est temps d'

urchauffait son crâne, malgré l'étonnement des passants qu'elle rencont

rect devant ses sœurs et sa mère médusées vu l'état

*

eule à la maison, alors qu'elle nettoyait la salle

ie :

se présenta d

jour, vous vo

veux voir ya Raissa

chuip, elle

lière. Le jeune homme ne comprit pas la fru

s repartir sur Ntoum d'urgence... mais voilà pourquoi je suis chez toi là... je laisse ca ici ? bon je donne ca à ta m

nfin et se tou

: tiens ca c'est

OI

*

ois. Pendant qu'elle coupait son oseille, elle réfléchissait déjà comment elle allait ramasser Raïssa. Elle fut sortie de ses pensées par le ron

toi qui dit à tes gens

cette manière car c'était la première fois, ne dit

est à moi qu

igo qui est venu ici là que je suis ta ménagère, Toi là t

ui-même qui a imaginé, en même temps qu

maison, Emilie contrôlait sa colère, elle se décharge

'allais bien te cogner » avait

tard Raïssa réapparu

u as-tu mis

lie

que je parle non ? o

va demander ca à ton impoli de commissionnaire que tu a

uoi ? Tu as

lie

m'apporte les médicaments traditionnelles, tu ne prends pas tu le fou dehors, alors que c'est dev

à Ntoum, tu peux même reste

auvaise femme, c'est pour ca q

u ca, elle passa du

pas que j'ai un couteau dans les mai

t comment elle criait à son mari au téléphone qu'Emilie avait c

as la tête quand elle reçut le premier coup dans le visage, sa bassine, son oseille et son couteau volèrent dans les

st ma femme ou bien mon

Edouard tu

out de suite tu quittes ma m

je ne bouge pas, tu vas devoir me tuer

end je va

nt comme une boxeuse : o

ait avec un homme. Chaque nouveau coup l'affaiblissait un peu plus, Emilie compris que si elle ne réagissait pas elle perdrait la vie.

ssine et tomba, elle vu le couteau au so

Charles-Edouard n'approche pas sin

le poignarda et pas qu'une fois. Le premier coup était un acte de défense

e son acte quand elle vu

Raïssa en larme, elle partit en cour

.

taxi pour la transporter à l'hôpital. Elles avaient toute cru qu'Emilie

es-Edouard, j'ai t

Hein ! tu

rant : J'ai tué mon m

es sur qu'i

il est vivant, vous allez l'emmener à l'hôpi

tu l'a poignard

pas j'ai seuleme

ire ? Cassandre appelle le voir s'il décroche ou b

protester en disait qu'on devait d'abord aller voir son mari et le soigner s'il était toujours en vie. L

? Tu as pu l'avoir au téléphone

à Emi : il est vivant

me ça ? Toi tu aimes tout prendre à la légère. S'il mourrait tu ne sais p

de boxe, je sais que c'est lui qui a fait ca. Elle est bien touchée et lui il sort de l'hôpital avec 12 point de suture, 7 à une plaie et 5 à un

is déjà énervée, n'en rajout

rlé avec lui-même

c lui-même, il est blessé à

*

tie. Elle avait un lot de médicament à prendre majoritairement des antidouleurs. Charles-Edouard l'

à rencontrer le mari de sa fille. Ça tombait bien, il voulai

etenir. Ca criait, vociférait, menaçait. Mais Emilie et ses deux sœurs avaient reçu comme consigne de leur mère de ne p

-E prit

Emilie rentre prendre tes bagages est sort de ma vie que ça s'arrête là. Mama Fely v

dote pourquoi ? Elle doit rembou

'est bon, je vais entamer la procédure de divorce. Maintena

arles-Edouard,

grand donc les blessures ne sont pas prof

une femme épanouie, elle étudiait et avait un boulot en parallèle. C'était une femme belle, travaill

vivait cette époque faste de la vie de sa fi

, mais celle qu'on ne voit pas ? Les blessures internes qui va la soigner ? Tu as détruit ma fille. Elle t'a aimé d'un amour inconditionnel, elle a tout laissé pour toi, son travail, ses amis, sa vie sociale, ses

prit so

poignardé parce qu'elle voulait vivre. Il a battu ma fille à sang, elle a voulu se défendre. Charles-Edouard, tu rejettes ma fille aujourd'hui parce que dis-tu elle ne te fait pas d'enfant. Ton erreur a été de la juger en fonction de ce qu'elle ne t'a pas donné et qu'as-t

n Emilie aussi e

C'est la raison pour laquelle de la même façon que mon défunt mari et moi t avions accordé la main de m

maman me

nds rien, tu veux pou

avait jute mal. quand vint l'heure de prendre ses médicaments, elle en prit un de plus, puis deux, puis trois... elle finit par vid

ngea et fer

.

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