Émilie
l est temps d'
urchauffait son crâne, malgré l'étonnement des passants qu'elle rencont
rect devant ses sœurs et sa mère médusées vu l'état
*
eule à la maison, alors qu'elle nettoyait la salle
ie :
se présenta d
jour, vous vo
veux voir ya Raissa
chuip, elle
lière. Le jeune homme ne comprit pas la fru
s repartir sur Ntoum d'urgence... mais voilà pourquoi je suis chez toi là... je laisse ca ici ? bon je donne ca à ta m
nfin et se tou
: tiens ca c'est
OI
*
ois. Pendant qu'elle coupait son oseille, elle réfléchissait déjà comment elle allait ramasser Raïssa. Elle fut sortie de ses pensées par le ron
toi qui dit à tes gens
cette manière car c'était la première fois, ne dit
est à moi qu
igo qui est venu ici là que je suis ta ménagère, Toi là t
ui-même qui a imaginé, en même temps qu
maison, Emilie contrôlait sa colère, elle se décharge
'allais bien te cogner » avait
tard Raïssa réapparu
u as-tu mis
lie
que je parle non ? o
va demander ca à ton impoli de commissionnaire que tu a
uoi ? Tu as
lie
m'apporte les médicaments traditionnelles, tu ne prends pas tu le fou dehors, alors que c'est dev
à Ntoum, tu peux même reste
auvaise femme, c'est pour ca q
u ca, elle passa du
pas que j'ai un couteau dans les mai
t comment elle criait à son mari au téléphone qu'Emilie avait c
as la tête quand elle reçut le premier coup dans le visage, sa bassine, son oseille et son couteau volèrent dans les
st ma femme ou bien mon
Edouard tu
out de suite tu quittes ma m
je ne bouge pas, tu vas devoir me tuer
end je va
nt comme une boxeuse : o
ait avec un homme. Chaque nouveau coup l'affaiblissait un peu plus, Emilie compris que si elle ne réagissait pas elle perdrait la vie.
ssine et tomba, elle vu le couteau au so
Charles-Edouard n'approche pas sin
le poignarda et pas qu'une fois. Le premier coup était un acte de défense
e son acte quand elle vu
Raïssa en larme, elle partit en cour
.
taxi pour la transporter à l'hôpital. Elles avaient toute cru qu'Emilie
es-Edouard, j'ai t
Hein ! tu
rant : J'ai tué mon m
es sur qu'i
il est vivant, vous allez l'emmener à l'hôpi
tu l'a poignard
pas j'ai seuleme
ire ? Cassandre appelle le voir s'il décroche ou b
protester en disait qu'on devait d'abord aller voir son mari et le soigner s'il était toujours en vie. L
? Tu as pu l'avoir au téléphone
à Emi : il est vivant
me ça ? Toi tu aimes tout prendre à la légère. S'il mourrait tu ne sais p
de boxe, je sais que c'est lui qui a fait ca. Elle est bien touchée et lui il sort de l'hôpital avec 12 point de suture, 7 à une plaie et 5 à un
is déjà énervée, n'en rajout
rlé avec lui-même
c lui-même, il est blessé à
*
tie. Elle avait un lot de médicament à prendre majoritairement des antidouleurs. Charles-Edouard l'
à rencontrer le mari de sa fille. Ça tombait bien, il voulai
etenir. Ca criait, vociférait, menaçait. Mais Emilie et ses deux sœurs avaient reçu comme consigne de leur mère de ne p
-E prit
Emilie rentre prendre tes bagages est sort de ma vie que ça s'arrête là. Mama Fely v
dote pourquoi ? Elle doit rembou
'est bon, je vais entamer la procédure de divorce. Maintena
arles-Edouard,
grand donc les blessures ne sont pas prof
une femme épanouie, elle étudiait et avait un boulot en parallèle. C'était une femme belle, travaill
vivait cette époque faste de la vie de sa fi
, mais celle qu'on ne voit pas ? Les blessures internes qui va la soigner ? Tu as détruit ma fille. Elle t'a aimé d'un amour inconditionnel, elle a tout laissé pour toi, son travail, ses amis, sa vie sociale, ses
prit so
poignardé parce qu'elle voulait vivre. Il a battu ma fille à sang, elle a voulu se défendre. Charles-Edouard, tu rejettes ma fille aujourd'hui parce que dis-tu elle ne te fait pas d'enfant. Ton erreur a été de la juger en fonction de ce qu'elle ne t'a pas donné et qu'as-t
n Emilie aussi e
C'est la raison pour laquelle de la même façon que mon défunt mari et moi t avions accordé la main de m
maman me
nds rien, tu veux pou
avait jute mal. quand vint l'heure de prendre ses médicaments, elle en prit un de plus, puis deux, puis trois... elle finit par vid
ngea et fer
.