JE SUIS TOMBE AMOUREUX DE MON ENNEMI
pit
mbre
ins frêles, puis m
de me l'arraché. J'avais faim et terriblement soif. Je manquais de sommeil, je sentais
vie était devenue un enfer, sans compter les mois
les choses avait commencer à changée. L'arriver de cette homme au
pour être pointé du doigt. Le regard des gens avait changer, leurs attitudes envers nous n'était plus la même. Même des gens que l'on
vec ça, le brassard qui montrer
s, jusqu'aux trottoirs. Même ça nous n'y avions plus droit. Comme si
devenu un handicap
u le choix, il y'a donc f
out pourquoi tout le monde laissait faire
ir. Je me souvenais comme je me plaignait à l'époque, de ne pas pouvoir aller voir
j'avais tout. J
ill
Ma mère fus abattu devant mes ye
lus que moi, en
Le jour ou l'on s'est fait arrêter mes parents et moi, Ez
s pas encore rentré quand les
e ne savais pas si ils s'étaient fait
e, et pouvoir peut être le retrouver. Mais il semblait hélas,
. J'avais été arrachée à la ville où j'étais née comm
it la ville o
aisée et je ne
docteur Levy. Maman elle avait une
ine de pommiers et d'arbustes. Ah la compote de maman, qu'e
u'a ce jour où nous commencions à e
ifs seraient bientôt envoyés d
doutions pas une seconde
de temps tou
jours mes mains,
chaque soir après le travail. Je me demandais continuellement : Pourquoi ? Pourquoi je me retrouvais ici
́tait blanc, la neige tombait à grands flocons. Je ne sentais plus mes
Ar
Ou
́tait ici avec sa sœur de dix-huit ans qui s'appelait Nina. Elles aussi avaient perdu leurs
taires, des uniformes de prisonniers,
e faire les tranchées, décharger d'innombrables wagons pleins de sacs
aient une couturière, c'e
s du métier. C'est là que j'ai rencontré Sarah et Nin
et toute la nuit. Pas le travaille le plus agréabl
, la surveillante
encore pour
! Dis-je
je sentais le blizzard s'introduire sou mon vêteme
atelier. Je vis dehors les autres femmes faire ce que
nous nous mettions to
ombrables coups d'aiguilles ce qui me donnait de
était vraiment de
é place à des cheveux rêches
s'étaient dissoutes à
t blafard, des cer
voir avec la fille qu
ille très coquette
s jolis nœuds dans mes cheveux, mon rêve av
urs robes avec l'aide de ma mère.
aucoup de compliments
it mon goût de créer des vête
lions. Nous n'avions même pas le droit à
sée hier ! Me dit
! Alors comme
arçon que Sarah a
naissaient. Une fois par semaine les h
it arrivé
sse mieux que tous les p
n'en a eu
. Je sais que c'est pas l'endroit pour vivre une histoir
Hurla la s
tre travail sans d
x heures
ça aller d
isais à quoi b
sobéir et ils me fu
à supporter cett
'était le visage d'Ezra qui m'
in et débrouillard comme il était, puis je me plaisais a
ais garder espoir que cette guerre finisse, et qu'o
tre retrouver la famil