La SAGA Des Kouame Tome 1 (Nia La Prostituée du Président)
e tout était vide. Qu'est ce que j'allais devenir me voilà dans les problèmes. Un accident de la route avait arracher la vie de mes parents en nous laissant sans soutient et sans
gentille et mon père l'homme le
contenant le corps de mes parents. Les corps sont installées dans leur chambres sur le lit conjugal tout le monde
e un peu avec eux si tu a quelque cho
prendre les enveloppes d'argent que les invitées avait donner. Elle c'était poser directement devant la table des envel
avec l'argent. Dépos
je te gifle devant
oncle qui n'avait qu'une seul env
elle veut mettre la honte sur no
Je laisse tomber les enveloppes et je cours me blottir dans les bras de maman comme une gamine de 5 ans. Mes larmes coulent mais pas de caresse de papa pour les sécher, son corps était froid, pas de geste tendre comme dans son habitude, pas
ussi ma mère et mon père sont parties. J'éclate en sanglots pendant que j'avais la
iane tu fa
aisse l'argent au sol avec la porte gr
a chambre en la traînant par les cheveux. Ce petit moment d'interruption m'importait peu je ne voulais que mes parents. J'avais tellement pleurer que j'avais perdu ma voix. Vers 13h la porte s'ouvre à nouveau et je c
r pour leur dernier voyage. On arrivent au cimetière et voilà que je vois leur co
e ne vais plus rien voir, rien entendre petit a petit je perds mes sens, le sol sous mes pieds avait disparu. Je ne sais pas comment mais j'avais survécu à cette maudite journée. La nuit je n'avai
n petit frère je n'ai pas ouvert les envelopp
mais tu n'as pas en
occuper. Bon c'est a toi de savoir où garder ces env
nt mettre ces sandales
e je vais ga
i va déposer l'argent dans ta chambre. Puis tu va dans
ais cette chambre p
vées cela avait duré un peu mais j'y suis arriver. Une fois bien laver et repasser je les mets bien ranger dans une grosse valise et je les dépose a côté de l'armoire. Le soir je ramène mon petit frère de chez la sœur de papa. A mon r
rien a dire sur mon présent juste que j'espère quitter très vite la maison familiale le plutôt sera le mieux. Pour me financer je vendais du Attiêké et du poisson non loin de la maison. D
ces frères, son fils et ces enfants. Et a première vue mon père ne possédait pas grand-chose. Pour mes oncles il était hors de question de m'envoyer a l'université avec leur argent. A pars la dépendance dans lequel nous vivions avec papa dans la maison de mon grand père no
aussi vendaient de la nourriture pour survivre. À l'abris de la pluie du vent et du froid ont se tenaient compagnie entre voisins. Je ne craignais pas
téphanie. Ce dernier ne s'en cachait pas et les habitants du quartier le laissait tranquille car malgré l'homophobie qui régnait dans leur cœur
esser Stéphane il est rester hospitalisé pendant 6 jours. Dans la même semaine un petit garçon est tomber malade dans le quartier. IL y avait un monsieur qui po