MARQUÉ PAR L'ALPHA

es larmes ont coulé sur son visage. Son parfum a envahi mon nez et je me suis instantanément détendue. J'ai soupiré de contentement. Je savais que ma mère ne me trahirait jam

n père s'est raclé la gorge et je me suis renfrognée. Qu'est-ce qu'il voulait cette fois ? Je me suis retournée et j'ai lancé u

qui épousait bien son corps. Ses pommettes hautes mettaient en valeur ses yeux noirs et son rouge à lèvres rouge lui donnait un air à la fois professionnel et charmant. Je lui ressemblais, sauf que mes cheveux étaient légèrement bouclés à la base, ce qui don

'hui. J'espère que ça ne vous dérange pas parce que la cérémonie aura lieu à la maison." J'ai regardé le manoir que ma mère appelait sa maison. Il était magnifique, bien sûr. Elle était riche à craquer, mais elle ne le prenait pas pour acquis. Il était haut de deux étages

i, une des servantes de ma mère, sortir et j'ai couru vers elle pour la serrer dans mes bras. Elle était comme ma tante. Elle avait de courts

ment ça va ?" Elle sourit, essayant de lisser ses cheveux. "Au fait,

te de manger ça." J'avais l'eau à la bouche en pens

usiasme, interrompant une fois de plus ma conversation.

ouées devant elle. Elle a commencé à se tourner les pouces et à se mordre la lèvre. Elle faisait souvent cela lorsqu'elle était plongée dans ses pensées ou lors

t éloignée de moi. Elle savait que lorsque j'étais tendue, j'étais en colère. Et ce n'est pas beau à voir quand je suis en colère, croyez-moi. "Je m'attendais à ce que t

rouler. Je l'ai frottée, mais cela n'a rien fait pour soulager mon épaule brûlante. Ma mère l'a remarqué et m'a re

l'épaule en grimaçant. J'ai fermé les yeux et compté jusqu'à dix, es

ffrayée pendant un moment. Je l'ai regardée avec curiosité. E

sées. Qu'est-ce qui ne va pas ? Des choses bizarr

as vécu beaucoup de choses". Elle a dit nerveusement. Je l'ai regardée avec méfiance e

aintenant et je ne pourrais pas souhaiter autre chose." Je l

i ne va pas chez moi ? Elle est bouleversée. Elle a essuyé ses larmes. J'ai senti une douleur dans ma

r enthousiaste et j'ai souri. Ces moments avec ma mère me manquaient. Les moments où il n'y avait que nous deux, que ce soit pour fa

nt de l'œil. "Et tu as une sale gueule". dit-elle en fronçant les s

. J'ai dit sarcastiquement. "En tou

ace. J'ai aussi dit des choses violentes, mais tu n'as pas besoin de les entendre". dit-elle fièrement. Elle n'aime pas que l'on s'en prenne à elle ou à

e tenant la main. Elle avait l'air désolée pour moi. Elle pensait sans doute qu'il ne me manquait que lui. À vrai dire, il me manque et je me