MON PETIT COMPAGNON
de vue
à propos de cette nuit-là. La nuit où j'ai perdu tout et tout le
peser. Il fallait que je chasse quelque chose et que je l'attrape cette fois. Je suis vr
che de quelque chose. J'aperçois l'ode
et à courir. Je grogne et me lance à sa poursuite, me poussant aussi vite
s en m'
ête vers le son pour voir d'autres loups. De gros loups mâles.
ent quand l'un d'eux saute, m'envoyant au sol. J'essaie de me débattre, m
les yeux, attendant qu'ils me tuent. Mais ils n
x et regarde un homme en short. Un cor
s humain se sent faible. L'homme s'approche et je me recroqueville, mais tout ce qu'il fait, c'est me donner une chemise. Deux autres restent sous leur f
sir. J'essaie de le repousser, mais il roule des yeux et me soulève à l
s'emballe. Les alphas tuent leurs propres enfants
là. Je ferme les yeux et je murmure "pas l'alpha" encore et e
mmence à pleurer. Pas l'Alpha ! N
ersonne sort et je me calme un peu, mais elle revie
dre l'Alpha".
e murmure. "Pas l'Alpha." Je ferm
... Je vais
oins ce qu
de vue
erritoire. Un membre de la meute en pa
Je grogne. Stupides voyous. D'habitude, je m'en occupe moi-m
que je devais trouver mon compagnon. Mais peu à peu, je perdais espoir. Personne dans ma meute n'était mon c
is qu'elle était là, mais où ? Ali entre dans mon bureau
rit. Ali est belle, gentille et ferait une excellente Luna. Mais elle n'est pas ma co
n père était en train de me harcele
compagnon. Il est dans une autre meute. J'ai eu besoin d'
Bon, c'est un mensonge, mon air impassible n'a fait qu'a
la tête en signe de respect
rik, fait le lien. Elle devient un peu folle. Elle
claquant la porte. Erik était mon seul v
éapparaissons, elle ne parle plus, elle devient silencieuse. Il faut que le médecin de la meute vienne ici, quand on l'a
meute pour qu'il s'occupe de ses blessures'.
rnier endroit avant
vons un problè
? Je
s que quelqu'un entre dans la cellule, elle se met à brailler et à crier. Je n
"maudits voyous" sous ma respiration
comme une sorte de vanille naturelle. J'accélère de cette façon, le parf
e la meute, Calder et Erik sont là. Lilian, la compagne d'Erik,
que couverte de terre, est pâle, comme si la couche de terre la protégeait du soleil. Ses che
dans un coin, les larmes commençant à couler follement le long de ses joues. J'ouv
ur qu'elle se tienne debout. "A moi". Je murmure
ne coupure. Sans doute une marque de griffes. La chemise qu'on lui a donnée doit être celle d'un membre de la meute et elle n'avait pas de pantalon.
alder la soigne. Je craque, furieu