LA PRINCESSE DE L'ALPHA
la prison que j'ai commencé à vaciller. J'avais été confiné dans une toute petite cellule de 5 x 6, je ne marchais pas beaucoup, ni sur de longues dist
deux derniers mois et demi de ma vie, je suis soudain devenue très anxieuse et très nauséeuse. B
s. Il s'exécuta en gloussant et je me détendis dans ses bras. Alors que nous montions les escaliers vers la partie principale de la meute, j'ai commencé à entendre d'aut
se passer, ne t'inquiète
ne pense pas... Je ne peux pas ...... Je ne suis pas..." Je me suis interr
r ou de zoner. J'avais vu mon père faire cela des milliers de fois, et je savais qu'il devait être en train de réfléchir. Nous sommes restés là quelques minutes, puis tou
couloir. Beck s'est retourné et j'ai vu que la porte par laquelle nous étions entrés se trouvait sous un immense escalier. À droite de la porte, il y avait une grande table de cuisine et un coin pour le petit-déjeuner, qui se prolongeait par une immense salle à manger. Beck est entré dans le grand hall d'entrée, orné d'un lustre en cristal, et a commencé à monter les marches. Il me
d'être dans un appartement de luxe. Il y avait deux portes-fenêtres avec le mot "Alpha" écrit en cursive argentée. Beck a poussé ces portes, qui donnaient sur un autre couloir. Je n'arriverais jamais à m'y retrouver. Il se dirigea rapide
ma chambre à la maison, une télévision à écran plat, deux canapés et un petit bureau. Les murs étaient d'un bleu marine profond et le
apportés dans la salle de bains. Il s'est promené en marmonnant tout bas, et j'ai penché la tête en sign
dégâts ? Il m'a demandé doucement. J'ai acquiescé, il m'
d ? Je serai là quand tu auras fini", dit-il en s'appuyant sur le cadre de la p
né pour me regarder. Po
ia", a-t-il répo
tandis que la saleté et le sang séché étaient nettoyés. J'ai pris le shampoing de Beck et l'ai versé dans mes cheveux. J'ai massé mon cuir chevelu et frotté mes cheveux, puis je les ai rincés et revitalisés. Il m'avait laissé
is une mine affreuse. J'avais des cernes sous les yeux, j'étais pâle et décharnée. J'étais maigre, trop maigre. Je ressemblais à un cadavre ambulant. J'ai brossé
one. Il a levé les yeux et m'a vue, il a souri et a fermé son téléphone avant de s'approcher de moi. Il s'est penché et a pressé s
r tes blessures et les nettoyer. Tu es d'
voie mes cicatrices, mes coupures et mes bleus. Elles me donnaie
eux ? Ça ne fera pas trop mal, je te le promets", a-t-il supplié, la
J'ai fait ce qu'il demandait et il s'est mis au travail. Il souleva mon sweat-shirt
mais certaines sont très profondes. Bon sang, je n'arrive pas à y croire. Regarde-toi ! Je v
les médecins. Je déteste les aiguilles. Je détest
antisceptique sur l'une de mes coupures. J'ai sifflé de douleur et il m'a regardé en s'excusant. Il continua à monter et descendre le long de mon corps, grognant de temps en temp
, d'accord ? " murmura-t-il. J'ai acquiescé, il a tiré les couvertures sur moi et a éteint la lumière. Enveloppée de sa