Le monstre de Syrcas
mme si j'étais un monstre et j'ai de plus en plus de mal à l'encaisser, mais ont-ils vraiment tort ? Et je râle lorsque quelqu'un me traite comme un gosse, mais finale
s nocives. Mes parents m'ont laissé ici quand j'avais douze ans à la suite d'un grave incident que j'avais provoqué. Ils acceptèrent de me confier au cirque à l'époque d'Illiam car je devenais ingérable. Ils pensaient qu'ici je trouverais ma place et serais enfin capable de maîtriser mes pouvoirs. Pour être honnête, l'idée n'était pas mauvaise, car les abominations comme moi sont plutôt bien accueillies – surtout à l'époque – et po
t sa taille puisqu'il fait à peu près la même que moi, soit presque un mètre quatre-vingts. Mais à l'instar de son grand ami, c'est une véritable armoire à glace, je n'ai pourtant pas à rougir de ma corpulence, mais à côté de l
s emmène ! Je suppose que
n sourire gêné, il compr
er. Si tu pouvais t'occuper des assiettes, couverts et verres, ce serait sympa. Et
er les assiettes pour les poser sur la grande table placée devant les cuisines. Entre les artistes, costumières et j'en passe, nous sommes presque cent à manger ce soir, comme à chaque repas. Je vais devoir en
mbes ? C'est plus ce que c'étaient le
ne fois pour toutes ce qu'il en coûte de s'en prendre constamment à moi. Je me relève d'un bond, prêt à lui coller mon poing entre les yeux,
e ça ic
is i
se à son commis. Toi tu dé
être fait virer par Meltéoc qui me fait face. Mais agacé
t'as pris s
claque derrière la tête à laquelle je ne m'attendai
is, j'lui aurais pas dit de dégager. C'est pas
? Il me fait tomber et t
me ça, ça va partir en bagarre dans ma cuisine et personne ne mange
No
oublie pas. Maintenant remets-toi au boulot. Et l
e abruti ne moufte pas, cela dit, il n'a pas intérêt. Tout le monde s'affaire en cuisine et je finis mon boulot tout seul, tranquille. Ça n'en a pas l'air, mais en fin de compte ce n'est pas une sinécure,
ils commence
igu et observe Melteoc pris dans un
u as peur ? Je devrais te faire peur
as
n plus tu m
un petit sourire semb
gamin, je te trouve
? Ça te regarde pas,
ps d'arrêt, il fronce les
l'aurais pas remarqué, je ne suis pas Tharel
rouve seul à l'entrée du réfectoire comme un idiot, deux minutes plus tard il revien
ens
hauteur il me tend une assiette bien garni
des. Mais tu as bien bossé, le peu que tu as fait nous a bien aid
... et
pour cet
vient s'asseoir à côté de moi. Il se pose aussi délicatement que possible, du moins je crois, car je tressaille et manque d'avaler ma fourchette. Il est suivi de près par Awena, une ordinaire et
s vu sous le chapiteau, q
me ca
n. Suis-je sérieux, ou est-ce que je me joue d'elle ? Après tout, ce ne s
ai cru, me dit-ell
voi
est pas si incroyable de pens
sûr q
s pas du genre à esquiv
, mais les gens, nuance. En plus je te mets au défi de disparaître ave
sa satisfaction. Et c'est avec fi
un te remette dans le droi
t il va dire que je l'empêche de travailler
eux, figure-toi, tu n'as pas idée du nombre de costumes et
? s'offus
t ses justifications irrece
en à voir ! C'est so
ue je dois être présent po
ux éclats face à sa ré
nt de temps que ça, mais ce qu'il oublie de te dire, c'est que j'en
que je porte, je dois être sûr de choi
entre trois pantalons. Finalement c'est pas plus mal que
méchante ! P
nde qu'il s'empresse d'avaler et nous finissons par rire ensem
faires sont prêtes cette
Ou
iction ça d
n'ai aucune question à me poser, si personne n
des vêtement
es trop souvent avec Th
! cri
emps me faire la morale est son activité
uvais côtés. C'est parce qu'il déteint sur moi
Qu
ns ta loge, prop
'était pas à t
is t'aider
e elle développe
ailleurs ou sur les nerfs. Alors je te l'accorde, c'est pas grand-chose, mais c'est ça de mo
is pas quo
erci s
ci, A
t'en
rvient, brisant
quillité, les en