La pourvoyeuse du Diable
sueur coulait le long de sa tempe. Malgré la température plutôt fra
t confiance, mais en ce début de matinée, elle é
« L'eau de rose », elle n'aimait pas l'expression, le parfum non plus d'ailleurs ! Et que dire des roses sinon qu
remiers rayons lui donnaient la sensation d'être sur un petit nuage. Elle ouvrit sa vitre et passa la tête pour ne pas rouler dans
e. Faire le moins de bruit possible et laisse
parades amoureuses offraient à souhait un joyeux tohu-boh
tait a
ue avec Grégory. Venue, le mot était faible. Elle l'avait attiré ici,
t son canif, cadeau de Charlotte pour son anniversaire
ets de t'aimer toujours
mon petit père ! le reprit-elle avec u
'aime quand même
n'était pas pour rien qu'elle l'avait attiré ici. Le matin, sa toilette avait été un peu plus longue que d'habitu
r n'était plus. Sa chair s'animai
. De beaux dessous, achetés à l'insu de sa mère, un parfum de rose, et un corsage
gory, leurs lèvres s'unirent,
sayait de masquer son trouble mais n'y parvint pas. C'était pour lui aussi la pr
tte se prit à lui dire : « en parlant de chêne, tu t'y
traire, se cris
il passa au rang de me
a dans le rega
rd le bouleau où le cœur avait été gravé. Il avait bien grandi, cet arbre, et elle dut se hisser sur la
étaient
a. Un animal, sans doute un chevreuil, d
t appris à surm
e mais à l'action. Charlotte rejoig
Comment aurait-il p