Les écorchés
3 : La
MBALA 9 an
'il dit oui, bah on n'y va et dans l
fête, on ne peut pas ne pas y aller. Tout
moi je suis (bal
ès-midi avec Amanda et ses copines chez elle
parles JAMAIS, elle
demande à papa, s'il
t s'il d
s arguments pour le convai
tir un « pas tant que les résultats d
e salon en sortant de la
, trouve
s: p
ré sur la t
mes invité à un anniver
on pas tant que les résultas
nous de relâcher la pression que nous avon
ession
s cerveaux ont besoin de relâcher la pression là. Je te jure qu'Al
x semaines ! Quand je rentre, je ne vous trouve pas à la maison,
oï
e tu veux aller encore relâcher à un
o
tant de la
papa, je v
s fini de
riant):
bonne nui
ne nuit p
aiser sur la tempe avant de le lâcher . Quand elle passe devant son frère, elle lui
e: ha
dormir là-
Mbala, je ne trouve pa
o
z, récupérer tranquillement à la maison et attend
papa s'
ent. Alaël se ravise pour insister auprès de son père.
k, bonne
ne nuit,
le lit et les ye
'ai pas envie de
le choix (il ramène le drap sur sa
toi poince !
absolument sortir ce soir ! Après les résultats du bac, il y aur
! Moi je veux sort
paresser pas réalisable. Je suis donc allé contre la décision de mon père, je suis allé prendre ma douch
tu vas
tour dans la chambre des ga
ck
vais le
au moins où i
r où se trouve la fête et crois moi, to
mme il me l'avait annoncé sauf que le lendemain matin à mon réveil, les filles Ar
ant): ohhh monsie
maman, oui bonjour (souria
ien dormis ? Elle é
): écouter m
colère de ton père ? D'ailleurs comment ç
nt légèrement):
on lit, il
e ne m'en suis p
es les as pas
vu
ton père e
ant les yeux
ne t'avait pas trouvé dans la chambre, alors il
étonné): je n'
la chambre pour retro
: A
oui ma
père ce matin ?
e:
le salon)
ne mais qui se dirig
urais croisé papa
on pas
souvenue qu'à aucun moment dans la nuit je mettais réveillée, il était évident que j
Je ne mangeais plus, ne dormais plus et passais le plus claire de mon temps à
e ma congrégation de l'église car je n'en pouvais plus de rester à la maison sans rien faire
pas seul dans la voiture, il n'
ri.... Votre mari n'a pas survécu au choc
ne fois de plus. J'étais veuve et j'avais un fils qui avait la vie qui ne tenait qu'à un fil. En plus de ça,
qu'à présent je me demande bien comment je suis parvenue à me t
si violemment. Tu vas é-nor-mé-ment nous MANQUER A TOUS ! bébé, tu laisses un vide si immense derrière toi ! Ta famille, les enfants et moi. Tu restes un regret éternel ! Je n'arrive pas à me faire à l'idée de ne plus te laisser seul au salon devant la télé, te faire ton bouillon de crabe ou de te préparer ton Nkumu. Yaël, devant ta dépouille, je suis si faible, si vulnérable et so
aël mais aussi me réorganiser par rapport à nos autre enfants. Mon seul réconfort vint quand mon fils commença à montrer de réels signe
vre son master à Nancy à continuer à l'UOB afin que nous restions ensemble et soudés, Aloïs ne se voyait pas aller également en France sans son frère alors que tout deux avaient obtenu leur bac. Mais aussi partir et me laisser ne lui semblait pas proba
eule raison de vivre était mes enfants. Cependant il eut pas mal d'homme qui ont tenté leur chance avec moi, a commencé par notre voisin Guy-orphée, déjà que du vivant de mon
es enfants et en particulier Aloïs. A qui je me confiais énormément lorsque j'en avais beaucoup sur le coeu
l et le menaça d'aller à la police s'i
és par la disparition de leur père mais plus particulièrement elle. Yaëlle était la dernière et elle avait nouée un lien particulier avec Yaël. Et j'étais bien plus peinée pour mon bébé, car elle avait perdu un père, un confident, un gr