Morgan : Une vie de combat
1 : mon
s: M
ant la t
: ça
e suis jus
k tu as
on pas
ar la main) : vien
: no
e discute p
h et nous sommes allés nous mettre sous le manguier à l'a
eh voilà qu
oublie parfo
rdant) : comm
faire chez moi Hans tu ne 'i
rien dit, comme on avait cours que jusqu'à 12h30
14h je rentre car j'ai la cu
pas d
hez lui et manque de
: m
en que ce n'était
t pas grave, a
ou tu veux qu
toutes les mamans ne s
d il a dit cela mais après tout i
: je
e et fais-m
i
la main et
onjour m
é lui fair
trésor (me regarda
idé) : bon
est Morgan nous somm
nchanté
ns :
m'a s
bosser là je me
i
maison et j'étais av
fille l'éc
oui
premier trim
'ai été 3e
en ma fille j'aime les filles qu
i
es parents font
yer et mon père est gestionn
et tu as combien d
'ainée et la seule fille ma
et sinon
cité
rochain tu comptes in
: la
est très bi
n laisse là
e n lui ai
is je te connais
ant) : tu es
e sais O
iens on va travail
eu gênée)
lez travailler san
n Morgan doit r
avez besoin de manger un peu allez-vo
s :
on a commencé à manger c'était bo
: tu
oui be
re pour toi que quand je vais t'épouser
me met pas
a r
est où
oyage d'aff
k et to
e l'ai vu débarqu
qui me
:
nt un bisou) :
oussant) :
peur si tu sais que tu n'as ri
mais je te connai
ai toujours dit que tu n'av
égage tê
e vivre avec les sauvages de
ouai
de sauvage c'est clair que je ne pa
e) : Evan je sais
n tête de
tu s là je dois être là encore
férence de Hans qui est d'une simplicité et d'une générosité sans pareil, Evan est un gros emmerdeur, narcissique et vantard mais très gentil et très r
e contraire l'un de l'autre. Quand on eut fini. J'ai tout rincé, même si les garçons voulaient que je laisse out mais bon, chez moi je suis habituée
près nous
mince il est 16h45 (commen
tu t'
la nourriture et récupérer les g
e temps qu'est-ce q
lle est
vais pas que c'
: j'
e te rac
i
n taxi, il habite au Boulevard Ondimba 5 minutes a
entrant) :
ile tu étais
:
je t'ai posé u
l'écol
la babouche près
vrai maman j
et cuisiner pour demain ? Qui va al
:
m'entends ? Je voulais sortir à
xcuse-m
cuisine faire sortir la queue que j'ai mis à bouillir, et je suis allée récupérer l
lico et à 17h40 j'ét
oguy depuis q
usez-moi
n rigol
j'ai laissé la qu
a MO t peux me pr
oui, all
arrivé. Nous avons mangé à 19h30. J'ai fait une salade. Puis après papa était devant son journal, maman dehors avec la voisine et moi j'alternais entre la cuisine, et les devoirs et révisions des gar
onne nui
ne nuit p
mois plus ta
, je suis fière de moi, il ne manque plus qu'à décrocher mon diplôme. Nous sommes samedi, les garçons étaient chez
'en peux pl
onc j'ai besoi
s parents
chez ses cousins et
st jamais chez
née) :
lle trainer vers le terrain de basket où jouen
ut le contraire d'Hans et tu sais que dans son lycée il y
ce n'est pas de ma faute si je sui
: no
a :
s laisser les petit
ne sont plus de
: no
promets qu'on
ue une heure he
: p
avais juste un tee-
Nathan)
ant son jeu
reste là avec les petits
x
ère le lycée. Il y avait pleins de filles et d'autres garçons, mais com
: p
e te l'avais
is mais je s
ah l
Hans s'est ap
smackan
ire gênée
: ça va ma fut
risque pas d'arriver hein to
s encore prêt laisse le d
t) : pufff je
ère, il s'est ramené
a regardant genre) : hum oua
Anna l'am
connais pas (à moi)
i
le était vraiment gê
is y aller les
e viens
avec Hans t'inquiète pas je l
tu es
pas tous les jours que tu peux voir
:
je te fais la promesse qu'un jour
ieu t'en
est p
nes, je vais prendre
) : il est 17h40 déjà il
cœur après se s
i
t sa douche on a rigolé un peu, puis
ue j'y aille, i
s :
mon taxi. J'ai franchi l
IBALOU tu
avec
hein je te demande où
allés décompress
oi tu n'as rien à
i fini de réviser et j'a
aissant les enf
man je n'étai
moi que tu rép
:
mpire des Lumbus là ce n'est pas
i pas le vem
tie fatiguée, elle m'a laissé, j'avais mal partout vue qu'elle m'a frappé avec la babouche. Je me suis levée et j'ai foncé dans ma chambre, me suis déshabiller et j'ai filé me doucher, j'avais ma partout. Quand j'ai fini, je me suis habillée et j'ai fait la table pour papa