Lady Coralie ~The Royal Baby

16 ju

che

de notre voyage de noce mais il ne m'avais jamais réellement dit où est ce qu'il allait m'emmener pour célébrer notre mariage mais maintenant que nous étions arrivé et que j'avais bien profité de ce voyage pour le chercher et lui faire part de tout mes fantasmes, kio était chaud comme de la brais

e regretter d'une manière qui personnellement... ne me faisait pas pe

t les délicates fleurs qui perdaient leur pollen à cause du vent, ce coin me semblait être le paradis et semblait sortir d'un rêve, c'était juste magnifique et je ne pouvais pas m'empêcher de sourire, c'était impossible. Kio m'avait fait la surprise de m'emmener ici pour notre voyage de noce et j'avais encore du mal

voyant kio descendre de la Calèche en faisant bien sur attention à son costume princier qui le mettait parfaitement en valeur, je ne pouvais pas m'empêcher de

s s'inclinèrent devant nous pour nous souhaiter la bienvenue, ils étaient toujours souriant et voulaient toujours que nous soyons en permanence satisfait de leur servi

enez no

ie mais il ne devait pas oublier que ces certitude étaient des personnes comme lui et comme moi, il devait les respecter et un petit s'il vous plaît n'était pas de refus, ils travaillaient assez dur pour qu'on soit poli avec lui et en voyant mon

tants, mes parents m'avaient bien élevé et certes la plupart des rois et reines étaient méchante et désagréab

. s'il vou

face au sourire satisfait que je lui avais adressé. J'étais fière de le faire en quelques sorte changer envers son personnel et même si je savais que ça allait prendre du temps pour qu'il le dise de manière naturelle, je savais qu'il était sur la bonne voie, lui même voulait paraître plus gentil et res

avait face aux gardes mais en voyant l'intérieur de ce château qui était encore plus sublime que l'extérieur, je n'arrivais pas à sortir une seule phrase d'encouragement ou de fierté, j'étais ébahis par la beauté des murs, du sol, des tableaux... la tapisserie ancienne à moitié en bois et en sublimes dessins laissai

ment magnifiqu

it il y'a bien 500

l est toujour

ssi beau que toi mon co

l y avait de l'amour, de la passion, une flamme qui brûlait en nous de seconde en seconde et qui se consumait un peu plus dès qu'il m'embrassait ou qu'il le regardait intensément. Devant lui j'étais une poupée de chiffon, il pouvait me faire perdre la tête en quelques seconde à peine et je pouvais rester des heures et des dures a le contempler sans qu'un mot ne sorte de ma bouche, regarder avec les yeux et admirer sa beauté... j'adorais ne rien faire et juste le contempler qu'il s

était autour de moi était resplendissant, la tapisserie avait encore changé et les lustres qui donnaient une couleur éclatante et magnifique à la pièce étaient toujours aussi luxueux et incroyable. Ce château était tout simplement divin et je ne savais plus du tout où donner de la tête, les tapis du couloirs étaient rouge, somptueux,

at baiser qui le laissa fermer les yeux en attrapant fermement mes hanches afin de me coller à lui. Je sentais sa chaleur et son excitation rien qu'à travers ce baiser, il était lent, intense, langoureux, sensuel, trop de mots me venait à l'esprits pour le

d'aller voir n

e bien nous

s ainsi mais surtout, je voyais tout l'amour qu'il me portait, je sentais son désir pour moi mais aussi la volonté de me chérir et de prendre soin de moi toute sa vie, c'était tellement intense que sans que je ne puisse le contrôler, je sentis peu à peu arriver des papillons dans mon ventre, Je me sentais vulnérable, fragile voir même faible quand je ressentais cette sensation

t pour nous, les murs étaient grand, couverts de tapisserie clair et somptueuse alors que les draps, étaient rouge vif, ils étaient biens fait et me donnaient bizarrement envie de les tester sur le champ, Avec Kio, lui contre moi, sa peau chaude contre la mienne, ses lèvres dans mon cou ou sur mon corp, je recommençais à divaguer, je divaguais tellement que je ne vis même pas arriver Kio qui m'a

ue... dis-je avec les

que ça allait t

ent bien parce qu'el

hambre m'appelait, je ne pouvais pas ne pas la regarder, je ne pouvais pas interdire à mon regard de contempler cette chambre où de nombreu

à la séduction de cet homme et ne pas l'embrasser là tout de suite aurai été un sacré pêché que j'aurai du confesser... ses lèvres, sa bouche, son corp, ses abdos, Kio m'appelait, il m'appelait tellement fort que je sentais en moi une sorte de lubrifiant se fabriquer naturellement, je voulais coucher avec lui, la, maintenant, ici, sans aucune retenue, sans faire attention aux gardes et aux dames de com

combien de

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ue, dis-je en souriant tout

magnifique reine... répondit-il en

chez moi se mit en place. Que sa soit la fermeture progressive de mes paupières à la lubrification incontrôlée de mon vagin, tout se faisait uniquement à cause de le dateur déclencheur, la voix intense et sensuel de mon mari, je ne po

vie et de désir puis lentement et langoureusement, je laissa glisser somptueusement mes lèvres sur celles de kio qui s'étendirent en un sublime sourire entre deux

gts, Je vins retirer quelques bouton en laissant glisser ma main sur sa peau chaude qui se raidit de suite au contact de mes

ettes qui le firent si puis-je dire, gémir délicatement dans mes oreilles. C'était un son agréable à entendre et surtout très flatteur mais sans pour autant abandonner mes petites pressions lentes et délicates, j'entendais une nouvelle fois sa voix résonne

te chambre? Dit-il en me poussant petit à pet

Dis-je en

.. ajouta-t-il sensuellement en m'allongeant délicate

reine? Repondis

tre deux baisers délicats dans mon cou tout

etre a notre

sur le point de se dévêtir et se faire l'amour pendant de longues minutes mais avant de passer à l'acte, je voulais profiter de la douceur de chaque geste de Kio, de ses caresses

tement et sensuellement qu'un petit gémissement sorti de ma bouche sans que je n'ai le moindre contrôle, je ne contrôlais pas ce qui sortait de ma bouche, les petits gémissements venaient quand Kio m'embrassait le cou, le corp, les fesses, les seins, quand il e

j'étais nue, En dessous de kio qui petit à petit, Descendait progressivement ses lèvres vers ma poitrine, c'était tellement doux et délicat que je ne contrôlais rien, mes yeux étaient fermés, ma respiration était rapide et mes mains, se baladaient lentement et sensuellement que le corp chaud et musclé de kio qui contre moi, ne faisait plus qu'un, nous étions en parfaite symbiose et sans que je ne puisse prévoir, Kio entra