L'alpha tout-puissant reconquiert sa compagne
Divorcée et mariée à un chef de guerre
Mon nouvel amant est un mystérieux magnat
Le retour de l'héritière adorée
Les regrets de mon ex-mari
Le retour de l'héritière délaissée
Choyée par le chef de la mafia
Une danse avec trois princes
Le retour de l'épouse indésirable
Son retour en grande pompe
Ne serait-ce qu'avant hier et bien après une journée épuisante où je devais bien filer sous la douche, prendre un bain et me mettre au lit pour un bon sommeil réparateur. Ce fut pat le plus pire de mes cauchemar que mon propriétaire se présenta à ma porte. Je crue bien en un premier temps qu'il serait encore une fois question d'une avancement d'une part de la somme de mon loyer mais non, la grande surprise était qu'elle voulait d'une oreille attentif. Elle ne voulait que discuter.
Je fut bien surpris et étonné qu'une femme de la trentaine et fermé la plus part du temps sur elle même voulait discuter avec le mec dont elle ne laisse même pas son fils s'approcher. Elle s'appelait Rose Mickson, jeune femme célibataire ou je devrais dire jeune mère célibataire, issue d'une famille modeste ayant hérité de la maison de ses parents après leur décès, en pleine ville et en parlant de ville ce n'était pas n'importe quelle ville, s'était bien la grande ville de New York. Je pourrai dire une fortuné compte tenu de l'emplacement de son héritage mais elle ne voulait vendre pour aller en acheter autre un peu loin dans une autre ville où la chèreté du court de la vie n'est encore si élevée. Mais dommage, elle y avait trop de souvenirs rattachée à cette ville où elle était née, la même ville ou je vis aussi le jour. J'aurais dire que cette maison était tout ce qui importait dans ça vie à part son enfant que l'irresponsable de mari qu'elle avait le lui ait délaissé. Mais par compartion vue ma misérable situation après que la banque ait saisi la maison de mes parents ou j'habitais avec ma mère, et oui mon père y avait mis un hypothèque et ce t'hypothèque venait juste en échéance quelque jours à après la mort de ma mère. Cela me fit bien un grand plaisir qu'elle n'était encore vivant pour vivre un telle enfer qui pourrait bien la donné un infarctus même si l'amertume, le regret et tout ces chagrin liés à sa mort me rongeait de l'intérieur. Et comme je le disais par compartion Rose ne pouvait rester indifférent à ma situation, d'après tout j'étais le fils de ça Mareine, elle me devait rien mais son geste, elle le devait bien à ma mère quand la banque fut venir pour la saisit de la maison. Rose me recueilli près il y avait cinq ans de cela et me fit comprise qu'après huit mois je devais bien commencer par la payé un loyer chaque fin du mois pour pouvoir assurer ma présence dans ces locaux et de la je devins son colocataire en partageant l'appartement d'en face avec qu'elle en contre partie d'une somme de cinq cents cinquante dollars américain (550$). Je ne pouvais ni contester, ni rien dire puisqu'elle n'était pas riche ou si riche que ses parents, elle n'était qu'une couturière dans une société de mode de la place. Et ce soir à onze heures (11h), après avoir entre-ouvert ma porte, je me retrouve derrière mon dos avec cette voix autoritaire.
-Jackson.... Jack... Jacki....
Cela me fit bien des frissons en un premier temps mais je finis par émis un soupir de ..........uuuh.! Puisque là je venais le plus vite que possible de savoir qui s'était, et bien s'était Rose.
Que me voulait-elle je ne pouvais savoir en un premier temps.
-Le lui lançai-je, ce n'est point encore la fin du mois, il en reste encore deux semaines si je ne me trompe Rose.