Fullmetal Alchemist Perfect T15

Salut je m’appelle Adelys Hinata Kouamé je suis issue d’une famille de 4 enfants plus mon père ça fait 5. Mon frère Augustin 20 ans, moi 17 ans, mon petit frère Cédric 15 ans et ma petite sœur Herya 9 ans. Nous vivions à Yamoussoukro quand mes parents ont décider d’emménager pour de bon à Abidjan. Ça n’a pas été une partie de plaisir j’ai dû tout laisser derrière moi. Ma vie n’était pas mieux avant mon ex petit amis Steve avait rompu avec moi parce-qu’il me trouvais ennuyeuse à vrai dire je n’avais pas d’amie mais bon c’était mon environnement. Une vraie torture.

Issue d’une famille riche je vit comme une vrai pauvre parce que ma mère estime que l’argent ne tombe pas du ciel.

Comme le dit mon oncle Stéphane pourquoi tu te presse quand il vont mourir tu pourras acheter la rue Princesse. Donc je m’attarde pas trop sur la façons de ma mère de voir la vie. Dans ma nouvelle chambre les murs était bien trop fade à mon goût. Reine de la décoration ma maman Nia Céli avait fait de son mieux pour rendre la pièce agréable en la transformant en une chambre typique d’une fille de 17 ans. Loin d’être très bavarde plutôt calme et désintéresser je suis une fille assez ordinaire. Avant la rentrer des classes ma mère tenait absolument à faire les magasins avec moi pour me présenter les bons arguments de la capitale. J’accepte pour ne pas la vexée. En faisant nos course maman attire mon attention sur une affiche qui disait que mon équipe de basket préférée allait jouer dans six mois a Abidjan la seul chose positive depuis que nous sommes dans cette ville. Elle m’achète deux tickets en disant

Nia : Une pour toi et une pour ta future meilleur amie.

Pauvre de moi je n’ai jamais voulu me faire des amies il faut toujours s’occuper d’eux, les rencontrer, sortir blabla c’était pas mon truc. Je comptais faire comme dans mon ancien lycée passer inaperçue. Si à Yamoussoukro de quelques milliers d’habitant j’ai pû rester dans l’ombre c’est pas à Abidjan avec ces millions d’habitants que quelqu’un va me remarquer. C’est avec un grand sourire généreux que je remercie maman pour les Tickets. De retour à la maison je vais juste repasser mon uniforme scolaire et traîner. Le jour de la rentrée des classes était là mon frère me dépose devant le lycée. En voyant la taille de cet école je suis soulager personnes ne va faire attention à ma petite personne.

Manque de chance ils vont tous faire attention a moi car j’étais là seul nouvelle élève dans l’établissement quel poisse. Devant ma classe je vois les anciens et anciennes élèves se saluer entre eux. Brusquement une fille vient me taper sur l’épaule c’était Vicky la fille de notre voisine je l’avais vu une où 2 fois par la fenêtre de ma chambre sans jamais lui adresser la parole. Sa mère qui était devenue amie avec ma maman lui avait demander de garder un œil sur moi. Vicky Azou était tout mon contraire. Elle était bavarde et très apprécier de ces camarades de classe elle rêvait de devenir une chanteuse. Vicky me présentera à tout le monde. Comment ont peut être heureux aussi tôt le matin? Un lundi matin de surcroît. Peu importe où cette fille passait elle repend la joie de vivre.

Dans quoi ma mère m’avait encore mise. Cela veut dire que je suis obliger de sourire comme un singe de 8h à 16h. Bonjour, salut, j’ai du me présenter à toute ma classe j’avais mal au visage, ma mâchoire me faisait mal. Sourire est un travail a plein temps.J’ai survécu à cette semaine le week-end je ne voulais qu’une chose dormir, faux projets Vicky va débarquer chez moi à 9h du matin. Qui est déjà réveiller a 9h qu’est ce qui ne va pas chez cette fille? Pour faire plaisir a ma mère et Daniella la maman de Vicky je me voit obliger de passer mon maigre beau samedi avec cette fille et ces copines. Daniella était non seulement la propriétaire du club de tennis mais elle était aussi le chef du comité des femmes du quartier la femme la plus importante du coin. Bref la femme parfaite un mari riche, de beaux enfants blabla.

IL n’y avait qu’une seul chose qui me donnait la joie ce match de basket-ball qui s’annonce. Le lundi suivant Vicky et ces 2 copines m’invitent à nous infiltrer illégalement dans une fête au début je voulais refuser après j’accepte si seulement je savais. 2 semaines plus tard le vendredi soir venue nous nous rendons toutes les 4 devant un club brancher de la ville The Blue Nightclub. Nous passons par l’arrière cour du club un gars sort Vicky lui donne 30 milles francs et nous passons très discrètement dans son dos, nous voilà dans la boîte de nuit la plus brancher de tout le pays. Loin de ces clubs pour adolescents The Blue était un autre monde. Pour la première fois de ma vie je vais profiter d’une soirée. Pendant que je dansait un garçon me bouscule quand je me retourne je m’excuse et il sourit

Adelys : Désoler

Yannick : Ça va ? Je te connais tu est Adelys Kouamé n’est ce pas ?

Adelys : Oui comment se fait il que tu me connaissent ?

Yannick : Tu est dans la même classe que mon petit frère Kenji.

Adelys : Désolé je le connais pas !

On va plus se quitter de la soirée a un moment je me souviens des filles je regarde l’heure il était bientôt 1h du matin j’avais encore 30 min pour rentrer. Je m’excuse et je vais chercher les filles mais elle ne veulent pas. Contrairement à moi elle pouvait rester dehors jusqu’à 3 h du matin. Je ne voulais pas subir la foudre de mon grand frère alors je décide de rentrer sans elles a la maison. Arriver dehors je me tourne pour chercher un taxi mais rien je marche jusqu’au rond point. Je vois une voiture de luxe s’arrêter à mon niveau. Conduite par Yan il me propose de me déposer j’hésite mais en voyant l’heure je finirai par accepter. J’avais demander par sms à Augustin si Kenji avait un frère aîné il confirme et m’envoie une photo de Yannick. Nous arrivons à 2 pas de chez moi je ne rentre pas je ne voulais pas que les filles ai des problèmes. On avaient promis de rester ensemble. Pour ne pas inquiéter ma mère je lui dit que j’étais devant la porte.

Entrain de regarder un feuilleton avec les femmes du quartier ma mère lance un regard par la fenêtre pour se rassurer elle ne dira plus rien. C’est aux filles que j’envoie un message plus tard pour qu’on puisse rentrer ensemble. Réponse de Vicky ok. Yannick se met à rire en disant

Yannick : Si ma mère regarde un feuilleton avec ta mère c’est quelle n’est pas aussi malade qu’elle a voulu me le faire croire.

Adelys : Pourquoi elle te ferait croire qu’elle est malade ?

Yan : Je ne vit plus à la maison on ne se voit plus. Elle a plusieurs tactiques pour me faire rentrer.

Adelys : Je vois ! Pourquoi vous ne skyper pas une fois par jours c’est pas mieux ?

Yan : Elle ne sais pas utiliser son ordi alors elle préfère me voir. Si elle savait que je suis ici dehors finit les novelas sérieux !

Adelys : Ta maman est comme mon papa il fait des crises d’angoisse quand il ne me vois pas a croire que j’ai 3 ans

Yan : J’ai 18 ans, je travaille, j’ai une maison mais ma mère est sur et certaine que je ne mange pas assez bien chez moi

Adelys : Je croyais être la seul ma mère cri souvent mange tu est trop mince tu risque de t’envoler un jour !

Nous allons rester là a discuter jusqu’à 4 h du matin on a pas vu le temps passer. Quelqu’un frappe a la fenêtre de la voiture je me tourne c’était Vicky. En disant au-revoir a Yannick je ne savais pas que je ne le reverrai plus avant un bon moment. Le lundi suivant Vicky semble m’ignorer la pauvre si seulement elle savait que ce genre de chose ne me disais rien. Je l’ignore a mon tour. Pendant la pose a la cantine Kenji viens s’asseoir à ma table avec son meilleur amis. C’est la moitié du lycée qui avait les yeux braquer sur moi je ne comprenais rien du tout.

Kenji : Salut je suis Kenji et lui c’est Fūka

Adelys : Salut tu peu m’expliquer pourquoi tout le monde me regarde ? Je suis un peu confuse

Kenji : Laisse ils sont toujours comme ça quand ils entendent le nom de mon frère. Cela te dirait de venir avec nous cet après midi a l’usine ?

Adelys : L’usine ?