Consternation, Djalika entend son père lui confirmer ce qu'elle craignait plus que tout : en vertu de la nouvelle alliance avec la Famille Diallo El Rahimi, elle va devoir épouser le jeune Ayem Diallo El Rahimi, cet homme arrogant et sans cœur qui ne cache pas tout le mépris qu'il a pour elle. Il s'est montré très clair : s'il l'épouse, c'est uniquement par devoir. Une fois qu'elle lui aura donné l'héritier qu'il attend, il entend bien ne plus rien avoir affaire avec elle. Bouleversée, Djalika sait néanmoins qu'elle ne pourra pas échapper à cet odieux mariage sans savoir que sa belle-mère est derrière sa souffrance aussi. La paix est à ce prix. Mais cette perspective serait sans doute moins terrifiante si Ayem n'éveillait pas en elle des sentiments inconnus et troublants. Si intenses qu'ils sont forcément dangereux car Djalika fera tout qu'elle ne suit pas la trace de sa mère qui est la soumission pour elle qui le véritable cause de sa mort.
Chapitre 1 Une guerre sans fin
Djalika était assise dans sa chambre en se souvenant de ses derniers instants avec sa défunte mère, ses dernières paroles, et ses dernières gouttent de larmes....
Sa mère était tellement malheureuse et malgré cela elle s'est jamais plain face à toutes les difficultés qu'elle traversait. Quand sa mère avait découvert que son père l'avait trahie avec sa meilleure amie, elle s'était brisé en deux comme un crayon entre les mains d'un enfant.
C'est le bruit de la porte qui l'a fit sursauté dans sa rêverie, elle essuie ses larmes rapidement quand elle remarqua la présence de sa belle-mère dans la pièce.
Elle se lève en l'ignorant complément, elle prend le chemin du jardin mais elle la poursuit en annonçant.
Mala : Djalika comme tu es insolente ?
Mais elle continue sa route sans s'arrêter tandis que sa belle mère l'arrêta en levant sa main et l'aserna une gifle magistrale.
Elle tenait sa mâchoire, elle pointa son doigt vers elle sur un ton sévère.
Mala : tu es sous mon toit alors quand je te parle, tu dois me répondre !
Elle sourit avec un visage crispé et dit...
Djalika : c'est aussi chez moi chère Belle-mère car tu as oublié je suis là fille unique de mon père.
Mala : Maintenant tu remets ma fertilité en question sale peste.
Djalika : j'ai simplement dit la vérité car ici c'est chez moi ainsi que toutes les autres propriétés de mon père.
Mala : je te ferai une belle suprise et je promets que tu n'auras rien après sa mort.
Djalika : je m'en fiche totalement de ça car la chose que je sais c'est que je vais pas te laisser me détruire comme tu l'as fait avec ma mère.
Mala : Qui va m'empêcher toi ?
Elle éclata de rire mais d'un coup elle tombe en larmes tandis qu'elle continue...
Djalika : le jour que mon père découvrira ton vrai visage... hummm !! je donnerai tout pour être là.
Elle a sursauté quand elle a entendu la voix de son père derrière elle...
Elle s'est retourné en voyant que son père était là entrain de les regarder mais sa belle mère court dans les bras de son père en larmes de crocodile.
Mala : tu as vu mon amour comment elle me parles ?
Djalika roule ses yeux en voit comment sa belle-mère manipule son père à sa guise.
Mala(en pleure):elle est toujours comme ça ,elle le nie a chaque fois.
Djalika(énervé) :je ne mens pas ,c'est toi la peste ici tu es une traîtresse comment tu as pu coucher avec le mari de ta meilleure amie ?
Moussa (en criant) :Assez ,j'en ai marre tout le temps de ces disputes sans fin.
Moussa prend le visage de sa femme et sèche ses larmes et cette scène , Djalika ne l'a pas du tout apprécier.
Moussa :écoute mon amour ,je vais parler à notre fille.
Mala quitte le jardin en regardant sa belle-fille avec un air de mesquin.
Moussa : Djalika c'est quoi ce comportement ?
Djalika :c'est elle qui a commencé !
Moussa :je ne veux pas savoir qui est la fautive dans cette histoire ,chaque jour c'est toujours la meme chanson !
Djalika :bien sûr à chaque fois pour toi c'est moi la peste.
Moussa :ce n'est pas ça,je ne comprends pas comment une femme qui t'as pratiquement élevé, tu la détestes autant.
Djalika :je la détesterai même étant morte.
Moussa :je veux que vous vous habituez à vous et ayez une bonne relation.
Djalika :c'est le comble papa, tu veux que je sois l'amie d'une femme qui a brisé ma famille et a causé la mort de ma mère ?
Moussa :cette histoire c'est du passé essaye de tourner la page et d'aller de l'avant ça fait maintenant 5 ans que ta mère n'est plus de ce monde, tu dois t'y faire ma fille.
Djalika : jamais je ne pardonnerai Mala pour cette trahison et toi aussi papa.
Djalika se lève avec tristesse et les larmes coulent inondent son visage du fait de voir comment son père a oublié sa mère aussi vite qu'elle ne le pensait.
À chaque fois qu'elle pense à sa mère ,elle pleure parce qu'elle était une femme gentille et soumise elle a fait confiance aux les mauvaises personnes. Malgré les trahisons de ses proches elle a toujours voulu reconquérir son mari, elle a tout fait pour lui juste parce qu'elle n'aime pas le divorce et voulait que sa petite fille vive dans une famille unie et elle a tout donné et n'a jamais rien reçu en retour.
Moussa :je te parle Djalika !
Elle avait la tête ailleurs car ça lui avait brisé complement le cœur....
Djalika :cette discussion est terminée, et ne t'inquiète pas bientôt je quitterai cette maison.
Moussa se lève tout énervé et lui pointa du doigt puis fiyy d'un ton menaçant...
Moussa :oh non tu quitteras cette maison que quand je vais te marier.
Djalika :et si j'aime pas l'homme que tu me proposes ?
Moussa :tu vas devoir force à l'aimer car l'amour est une plante qui chaque jour s'arrose et ainsi elle grandira de jour en jour.
Djalika :et toi tu parles de l'amour mon œil !
Moussa (en hurlant) :un peu de respect jeune fille !
Djalika : pourquoi tu ne me laisses pas choisir mon mari pour une fois dans ta vie laisse-moi faire mon choix s'il te plaît père !
Moussa :tu rêves , jamais je te laisserai choisir un pauvre tu es la fille d'un milliardaire ,tu ne peux pas marier avec n'importe qui.
Djalika :je n'ai jamais demandé à être la fille d'un milliardaire.
Moussa :alors tu te feras avec car je ne vais pas laisser mon seule enfant se marier avec n'importe qui.
Sur ces mots ,Moussa laisse sa fille avec peine et Djalika ne sait pas quoi penser et ne sait pas pourquoi son père est aussi sévère avec son unique enfant.
Elle reste clouée là pendant des secondes quand soudain une personne l'a touché c'est sa servante Jodhi qui lui parle...
Jodhi :Djalika ça va ?
Djalika :oui jodhi
Jodhi :tu as l'air si pâle ,tu es malade ma petite ?
Djalika :non ce n'est rien c'est toujours les même problèmes je déteste cette maison.
Jodhi :il faut que tu ailles te préparer.
Djalika : pourquoi ?
Jodhi : aujourd'hui ton père reçoit un invité très spécial .
Djalika :j'ai complétement oublié ce fichu dîner ,on ne va pas y aller.
Jodhi :c'est obligatoire ma belle sinon c'est moi qui vais perdre mon job.
Djalika :bon d'accord ,on y va !
Mala rentre dans la chambre en trouvant son mari, elle dit..
Mala : je suis vraiment heureuse pour cette nouvelle alliance avec le jeune Ayem Diallo El Rahimi.
Moussa : je pense cette alliance c'est un nouveau départ pour tout le monde.
Mala : Oui car j'aurai une nouvelle amie puisque je vais rejoindre sa femme.
Moussa : Désolé ma chérie le jeune Ayem n'est pas encore marier.
Elle est surprise.
Mala : vraiment ?
Moussa : bien sûr ma chérie.
Mala : Dommage
Moussa : on ferai mieux de descendre car les invités sont presque tous arrivés.
Le Chauffeur d'Ayem se gara devant l'entrée du manoir Carter, sa secrétaire lui donna ses documents....
Ayem : Merci Sophia.
Sophia : Mr Ayem vous pensez que ce dîner c'est une bonne chose surtout que ta famille est en guerre avec Les Carter depuis ces deux générations.
Ayem : tu penses pas maintenant c'est l'heure de faire la paix car ça assez duré ! je veux juste établir la paix c'est tout !
Sophia : comme vous voulez Mr Ayem.
Elle descend la voiture tandis qu'il regarde dehors à travers le vitre en lâchant....
Ayem : Mr Moussa c'est vrai on a fait la paix mais tu devras m'accorder le bénéfice du doute comme ça tu ne peux pas me trahir quand tu le souhaites.
Tout le monde se réunit au manoir Carter pour la nouvelle alliance avec la famille Diallo El Rahimi....
Tout le monde se met Débout pour recevoir la famille, Ayem avance vers Moussa et sa femme...
Moussa : Bienvenue le Jeune Ayem.
Ayem : c'est un réel plaisir !
Moussa :moi de même ,je suis très heureux de vous recevoir dans ma propriété.
Ayem :oui ,votre maison est magnifique !
Moussa :merci ,ça me fait plaisir je vous présente ma femme Mala carter N'diare.
Mala :bonsoir ,on est très heureux de vous recevoir.
Ayem se lève sur la table et il commence à discuter
Ayem :vous avez pas d'enfant
Moussa :bien sûr que oui ,j'ai une seule fille mon unique enfant.
Ayem :votre fille doit être belle comme vous madame.
Mala : malheureusement ,ce n'est pas la mienne.
Moussa :oui ,ma première épouse est décédé
Ayem : où est-elle ?
Mala et son mari se fusillent de regard mais elle dit sur un ton radieux.
Mala : excuse-moi ,je vais la chercher...
Mala se lève avec un air de dépit en allant à la recherche sa belle fille.
Elle entre dans la chambre et trouve Djalika devant son miroir.
Mala :tu as oublié l'heure du dîner ,ton père à un invité très important et toi tu t'admires dans un miroir tu es tellement égoïste sale peste !
Djalika :ces mots sont exactement pour toi ,tu te décris parfaitement chez belle sorcière !
Mala(énervée) :je t'avais interdis de m'appeler comme ça.
Djalika :je t'appelle comme je veux sorcière.
Mala :bon ,comme il y a un invité très spécial je ne vais pas me disputer avec toi.
Djalika :c'est mieux pour tous.
Mala :on va descendre gentiment comme une famille heureuse pour de vrai, car tu veux pas que ton père soit en colère contre toi encore une fois.
Elle sourit ironiquement.....
Djalika :ok ça m'arrange parfaitement.
Mala sort de la pièce et Djalika fait de même pour aller dîner avec sa famille et aussi les autres invités , elle essaie de sourire le moins possible....
Ayem était assis à côté de sa secrétaire, il parlait mais l'arrivée d'une jeune femme sublime attire subitement son attention, pas seulement le sien mais aussi des autres hommes présent dans la salle de réception.
Les deux femmes pénétrèrent dans la pièce avec un sourire radieux.
Moussa se lève de la chaise et va accueillir sa fille, il tient sa main avec délicatesse en faisant référence avec Ayem...
Lui aussi se lève sur sa chaise sans quitte des yeux la jeune fille ......
Moussa : je vous présente ma fille Djalika, Ayem !
Ayem : Enchanté Mlle Djalika.
Mais elle reste froide après avoir entendu son nom car la famille Diallo El Rahimi c'est vraiment un ennemi juré de sa famille, mais elle n'arrive pas à croire que son père a pu inviter un homme répugnant et méprisable comme Ayem Diallo El Rahimi.
Elle le salue en joignant sa main avec air méprisable et le cœur serré.
Chapitre 1 Une guerre sans fin
15/10/2022
Chapitre 2 L'alliance
15/10/2022
Chapitre 3 Proposition de mariage
15/10/2022
Chapitre 4 L'impensable mais vrai
15/10/2022
Chapitre 5 Cérémonie nuptiale
15/10/2022
Chapitre 6 La fierté
15/10/2022
Chapitre 7 Jalousie
15/10/2022
Chapitre 8 L'insolence
15/10/2022
Chapitre 9 Le choc
15/10/2022
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