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Malia, l'épouse de Jamal (MARIAGE FORCÉ)

Malia, l'épouse de Jamal (MARIAGE FORCÉ)

Jessy chro

5.0
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Malia DIARRA est une jeune femme âgée de 27ans, elle est étudiante en droits et réside à Bamako, la capitale du Mali avec sa famille. Sa petite vie qui jusqu'ici était considérée comme très paisible, prendra une autre tournure du jour au lendemain lorsque ses parents vont lui annoncer qu'elle se mariera bientôt à Jamal Issa MAHAMAT, un parfait inconnu à qui elle a été promise depuis l'enfance. Que se passera t-il dans la vie de Malia ? Acceptera t-elle le choix de ses parents ? Pour le découvrir, il suffit de lire cette histoire à couper le souffle.

Chapitre 1 La nouvelle

MALIA, l'épouse de Jamal.

#Épisode_1

Bamako ! La plus grande ville du Mali. La belle capitale du Mali. Cette ville qui regorge des millions d'habitants. Cette ville au climat tropical chaud toute l'année avec une saison sèche et une courte saison pluvieuse. La ville dont le nom signifie «marigot du crocodile».

Ah Bamako !

Je suis toujours autant émerveillée par cette ville. Je ne me lasserai jamais de faire les éloges de ma magnifique ville. Mon nom est Malia DIARRA.

Comme l'indique mon prénom "Malia", je suis de nationalité malienne et j'habite à Bamako. J'ai 27 ans et je suis étudiante en deuxième année de licence Droit. Je vis encore chez mes parents.

Nous habitons dans une concession comportant des chambres séparés. Mon père a 03 femmes, ma mère la première. Ma mère lui a donné 02 filles que sont ma sœur Amina et moi.

Quant aux deux autres, la deuxième lui a fait 01 garçon et la troisième, 02. Ces deux autres femmes de mon père se sont toujours moquées de ma mère parce qu'elle n'a pas fait de garçon à mon père.

Chaque jour qui passe, ma mère, ma sœur et moi sommes constamment victimes des insultes et des railleries de ces sorcières dans la cour mais je ne les laisse pas faire.

Elles peuvent confirmer. Tout le monde dans le quartier est au courant que Malia DIARRA, la fille de Boubacar DIARRA, ne se laisse jamais faire. D'ailleurs on m'a surnommé «la petite sauvageonne» en raison de mes bagarres répétées dans le quartier.

Lesquelles bagarres sont toujours menées avec des hommes. Ah oui je suis une petite lionne moi!

Actuellement, je suis de retour du moulin où je suis allée écraser les condiments pour le repas de ce soir. Ma petite sœur est assise sur un tabouret dans la cour.

Elle se sert d'un éventail pour attiser le feu dans le foyer de charbon. J'enlève le seau contenant les condiments écrasés de ma tête et le dépose sur le sol près du foyer.

J'entends des éclats de rire en provenance de l'intérieur. En effet, hormis les chambres des coépouses, il y a une partie de la maison qui est à part. Cette partie comporte le salon, le séjour et la salle des fêtes. Cette partie est souvent fréquentée par mon père et ses invités.

Moi (m'adressant à ma petite sœur) : Amina nous avons de la visite ?

Amina : Oui baba (papa) a des invités. Maman est avec eux.

Moi (haussant les sourcils) : Ah bon, ok vas-me chercher la casserole et tu viendras renverser les condiments écrasés dedans.

Amina : D'accord.

Elle se lève et s'en va faire ce que j'ai demandé, je prends place sur le tabouret sur lequel elle était assise quelques secondes plus tôt et me saisis de l'éventail pour attiser le feu plus fort. Bientôt, le charbon brûlait ardemment dans le foyer. Je sens que la cuisine sera rapide ce soir.

Ma mère (sortant de l'intérieur) : Malia ! Malia !

Moi (détournant mon regard en sa direction) : Oui mama.

Ma mère (courant lentement vers moi) : Malia !

Moi (me levant) : Oui je réponds mama.

Ma mère : (à mon niveau) : Devines quoi ma fille.

Moi (perplexe) : Quoi mama ?

Ma mère (ayant les étoiles dans les yeux) : Ton père a des invités prestigieux ce soir. Les invités les plus importants de ce pays. C'est le richissime et distingué homme d'affaires el-hadj Mouphtar MAHAMAT et sa femme Fatoumata DIAKITÉ.

Moi : Ah bon, je vois maman.

Ma mère (me prenant la main) : Viens allons-y. Tu vas les saluer.

Moi : Mais maman.....

Ma mère (insistante) : Allons !

Elle me tire et nous rejoignons mon père et nos hôtes dans le salon. Je m'abaisse poliment pour les saluer.

Moi : Bonsoir el-hadj Mouphtar, bonsoir el-hadja Fatoumata, soyez les bienvenus.

Mouphtar : Bonsoir ma fille comment vas-tu ?

Moi : (souriante) Je vais bien et vous.

Mouphtar : Ça va ma fille, tu es devenue toute belle.

Moi : (rougie) Merci beaucoup.

Fatoumata : Tu as raison Mouphtar, elle est magnifique. Oh que les enfants grandissent vite.

Mon père : Je ne te le fais pas dire. Quand je pense qu'elle était toute petite il y a quelques années plus tôt, le temps passe vite.

Fatoumata : (souriante) Vraiment.

Moi : Vous avez déjà bu quelque chose ?

Mon père : (répondant) Oui ils ont déjà bu, ta mère leur a déjà donné à boire ma fille. Ne t'inquiètes pas. Tu peux retourner à tes occupations.

Moi : (m'eclipsant) D'accord papa.

Je ressors et retourne à mes casseroles. Amina a déjà fait ce que je lui ai demandé. Nous avons commencé à préparer. Elle m'aide à découper le nécessaire. La cuisine est vraiment rapide ce soir.

Nous avons fini de préparer en moins de temps qu'il ne faut pour le dire. Au menu de ce soir, c'est le borokhé. Un plat fait à base de feuilles de manioc et de pâtes d'arachide.

C'est chez maman que mon père mange ce soir. Je lui ai donc servi et j'ai aussi servi ses invités. Amina et moi avions aussi mangé puis nous sommes allées nous coucher.

Elle dort avec notre mère. Quant à moi, j'ai ma chambre à part. La chambre de notre père se trouve dans l'autre partie de notre concession, ma mère le rejoint là-bas lorsque c'est son tour d'assurer les devoirs conjugaux de mon père. La même chose pour les autres femmes de mon père également, elles le rejoignent à tour de rôle.

Je n'ai jamais digéré cette manière de faire et je ne suis pas encore prête à l'accepter. Je ne comprends pas comment une femme peut cautionner le fait que son mari entretienne des rapports sexuels avec d'autres femmes en dehors d'elle. Je sais que la polygamie est autorisée en Islam mais j'ai toujours autant de mal à m'y faire.

Bref ! Ce n'est pas tout ça mais j'ai cours demain à 07 heures moi. Je prends ma douche et reviens m'habiller dans la chambre. Ma mère était assise sur mon lit. J'ai sursauté sous l'effet de surprise.

Moi : Maman tu m'as fait peur! Nos hôtes sont déjà partis?

Ma mère : Oui Malia, viens t'asseoir. Je veux te parler.

Moi : (la regardant confuse) Tout va bien ?

Ma mère : Oui asseois-toi, Malia.

Elle parle en tapotant la place à côté d'elle sur le lit.

Moi : (m'exécutant) Ok.

Je garde la serviette nouée autour de ma poitrine et prend place près d'elle sur le lit.

Moi : Je t'écoute maman.

Ma mère : (posant sa main sur la mienne) Malia tu sais à quel point ton père et moi t'aimons n'est-ce pas ?

Moi : Oui maman, je sais.

Ma mère : Ta sœur et toi êtes tout ce que je possède et je ne veux que votre bien, tu le sais au moins.

Moi : (perdue) Oui maman, pourquoi tu dis tout ça maintenant ? Il y a un problème ?

Ma mère : Tu connais les invités qui sont venus chez ton père aujourd'hui ? Au fait, je veux dire à part que Mouphtar soit l'homme d'affaire le plus riche de ce pays et que Fatoumata soit sa femme, tu connais encore quoi d'eux ?

Moi : Rien maman! C'est tout ce que je sais d'eux et si j'ai bonne mémoire, je me souviens qu'ils avaient l'habitude de venir ici lorsque j'étais encore enfant.

Ma mère : Très bien, tu as raison. Ils venaient souvent ici. Laisse-moi te dire qui ils sont vraiment pour cette famille et quelle relation ils ont avec ton père. Tu es au courant que ton père a perdu ses parents très jeunes et il a été adopté n'est ce pas ?

Moi : Oui.

Ma mère : Eh bien, c'est le père de Mouphtar qui a adopté ton père et a financé ses études. Si ton père est là en ce moment, c'est grâce au père de Mouphtar. Tu vois un peu ?

Moi : Ah d'accord, je vois maman. C'est donc le père de Mouphtar qui a adopté papa après la mort de ses parents ?

Ma mère : Oui Malia !

Moi : Je vois maman. Il devrait être un homme très bon.

Ma mère : Ah ça oui il l'était, c'était un homme très généreux paix à son âme. Ce geste qu'il a fait a énormément touché ton père au point où il a offert à la famille MAHAMAT son cadeau le plus cher.

Moi : (curieuse) Et c'est quoi ce cadeau maman ?

Ma mère : (me souriant) Ce cadeau c'est....

Moi : (souriant) Quoi maman ?

Ma mère : Ce cadeau c'est toi ma chérie.

Moi : (cessant de sourire) Quoi ! Qu'est ce que tu racontes maman ? Comment ça je suis ce cadeau ?

Ma mère : Calme-toi ma princesse, ton père pour remercier la famille MAHAMAT t'a offert en mariage au fils unique de Mouphtar et Fatoumata, Jamal Issa MAHAMAT. Tu lui as été promise depuis que vous êtes enfants. À présent, vous avez grandi et ton père ainsi que les parents de Jamal pensent qu'il est temps de vous marier.

Moi : (me levant brusquement) Quoi ! Vous avez fait quoi ? Pourquoi vous avez fait cela ? Comment vous avez pu me donner en mariage comme si j'étais une marchandise ?

Ma mère : (tirant ma main pour que je me rasseye) Calme-toi ma fille.

Moi : (retirant ma main) Ne me touche pas maman. Tu étais consentante n'est ce pas ? Tu as accepté cela, pourquoi maman. Pourquoi? Pourquoi tu ne t'es pas opposé à ça ?

Ma mère : Tu sais que, avec ton père je n'ai pas mon mot à dire. Il parle et on exécute tout simplement. Je comprend ta colère mais nous sommes tes parents et nous ne pouvons que choisir le meilleur pour toi et crois-moi, Jamal est le meilleur.

Moi : (en larmes) Et qu'est ce que je fais de mes études, de mes rêves ? De mes choix, de mon amoureux Kassim ? Qu'est ce que je fais de tout ça ? Pourquoi vous voulez détruire ma vie maman ? Pourquoi ?

Ma mère : (essayant de me calmer) Je t'en prie Malia, ne pleure pas. Je suis désolée ma princesse, mais crois-moi c'est pour ton bien ma chérie.

Moi : Sache que je ne me marierai jamais avec un homme que je n'aime pas, je me fiche de papa et de la famille MAHAMAT, je m'en contrefiche de toi aussi maman. Je préfère mourir tu m'entends ? Je préfère mourir que d'épouser un homme de force.

Ma mère : (essaie de me toucher mais je recule) Mali....

Moi : (réticente) Laisse-moi seule maman.

Ma mère : (insistant) Malia....

Moi : (ferme) S'il te plaît.

Ma mère : (se résignant) Ok, c'est comme tu voudras. Je suis désolée ma princesse.... pardonne-moi.

Elle ressort de ma chambre et je commence à hurler. Je hurle et pleure ma souffrance, je pleure mon sort. Je me croyais libre pourtant je n'étais qu'un cadeau pour certains. Un vulgaire objet dénué de sentiments. Une chose qu'on donne sans trembler.

Je casse tout dans ma chambre, tout ce qui me tombe sous la main est bon à balancer. Je crie, je sanglote, je pleure. Pourquoi moi ? C'est injuste, vraiment injuste.

Je pleure jusqu'à une heure tardive de la nuit, ce soir le sommeil refuse de me visiter, cette nouvelle a chamboulé tout mon être. Je reste éveillée jusqu'à l'aube.

******Le lendemain matin

Au premier chant du coq, je me suis levée, j'ai pris ma douche et me suis habillée pour le campus. Je n'ai même pas daigné saluer mes parents avant de partir. La nouvelle que m'a annoncé ma mère hier m'est restée au fond de la gorge.

Je suis tellement en colère contre eux, je n'ai aucune envie de voir leur tronche. Heureusement que j'ai l'argent sur moi, je vais pouvoir prendre le bus avec.

Je marche jusqu'à l'arrêt de bus et...pile à l'heure, le bus est là. Dès que l'assistant du chauffeur ouvre les portières, nous nous bousculons tous à l'intérieur.

Ceux qui vont s'asseoir se sont assis, j'ai réussi à me trouver une place au fond. Je m'asseois et observe ceux qui ont du mal à se trouver une place.

Certains d'entre eux ont finalement fini par se trouver un endroit où poser leur fesses mais d'autres non, c'est vraiment pas de chance pour eux. Ils sont obligés de faire le trajet en restant debout.

Quelques secondes plus tard, le chauffeur démarre et le bus avance. Je suis complètement ailleurs durant le trajet, les dernières phrases de ma mère ne cessent de me tourmenter.

J'ignore à quel moment mais je me suis surprise entrain de pleurer. Je sors un peu de mes pensées et passe délicatement le revers de ma main sur mon visage pour essuyer mes larmes mais celles-ci ne m'obeissent pas et commencent à couler à flot.

Je pleure à présent comme une gamine, les personnes présentes dans le bus avec moi ne cessent de me dévisager du regard se demandant sûrement ce que j'avais au point de pleurer de la sorte.

Embarassée, je fais l'effort surhumain pour me contenir. Je sens la voiture s'arrêter, nous sommes devant l'université, j'étais la première à payer le chauffeur et à ressortir du bus. J'étudie à l'UIE (l'Université Internationale d'Excellence).

Je me suis dirigée à l'intérieur du campus où je marche pour regagner l'amphithéâtre dans lequel sera dispensé le cours d'aujourd'hui.

Je me contente d'avancer sans vraiment savoir où je vais, je suis présente de corps mais mon esprit est totalement ailleurs.

Soudain, je sens des bras me serrer de dos. C'est Safiatou, ma meilleure amie.

Safiatou : Alors? Bonjour ma belle, comment ça va ce matin ?

Elle quitte mon dos et vient se placer devant moi. J'ai essayé de baisser la tête pour ne pas qu'elle voit que j'ai pleuré mais c'était peine perdue.

Elle redresse ma tête par le menton.

Safiatou : (fronçant les sourcils) Attend, je rêve ou tu pleures ? Qu'est ce qui t'arrive Mali? Pourquoi tu pleures ?

#À_suivre

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