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Mon beau-père a tué mon père

Mon beau-père a tué mon père

König Apetovi

5.0
avis
536
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30
Chapitres

Adia était une femme très battante qui goûtait le fruit de la souffrance depuis la mort de son mari. Cette dernière avait mis au monde un joli garçon et ensemble ils continuaient la souffrance. Par la grâce de Dieu, cet enfant a été aidé par le directeur de son école et il avait rencontré une fille au lycée après son obtention du diplôme de BEPC. Il était tombé sous le charme de cette dernière, mais par malheur la fille lui détestait beaucoup. Ce garçon avait fait tout possible pour conquérir la fille, mais c’était toujours en vain ses efforts. Heureusement, ils s’étaient rencontrés encore aux États-Unis et ils s’étaient mis en relation. Ils étaient quittés aux États-Unis pour aller faire leur mariage au pays et c’était en ce moment, le garçon se rendait compte que son beau-père soit le responsable de la mort de son père.

Chapitre 1 L’achat du terrain

Moi c’est Evans, l’homme le plus riche du village de Sevagan grâce aux héritages de mes parents. Ces derniers étaient morts et je suis l’unique enfant pour eux. Mon père avait acheté des lots du terrain dans notre village et c’était ce qui me permettait d’être le plus riche, car je ne faisais que vendre ces terrains. Quatre ans après la mort de mes parents, j’avais presque vendu tous les terrains et il ne restait qu’un seul lot. Heureusement pour moi, je ne faisais pas des dépenses inutiles. J’avais acheté une voiture et j’étais dans ma propre maison. Un jour, je m’étais réveillé dans la bonne humeur et j’avais décidé de vendre le reste du terrain. Tous mes projets étaient dans la main de ma femme, donc je lui mettais au courant de tout ce que je fasse. Après avoir me débarbouillé dans la salle de bain, j’étais allé chez ma femme dans la cuisine. Vraiment, Aïcha était une bénédiction dans ma vie. Elle était une femme très battante. Elle s’était concentrée sur la vaisselle en chantant et je marchais lentement derrière elle en cachant son beau visage avec mes deux mains.

Aïcha : Ce n’est plus la peine de demander le nom de la personne qui est derrière moi.

Sûrement, elle avait senti l’odeur de mon parfum. Bon, moi aussi je ne pouvais rien faire encore que d’enlever mes mains.

_ Comment as-tu su que c’était moi ?

Aïcha : as-tu oublié l’odeur de ton parfum ?

_ Je te comprends maintenant. Chérie, je veux te partager une idée.

Aïcha : une idée ? Ok je t’écoute.

_ Bon, ce n’est rien de très compliqué. C’est juste pour t’informer que je vais vendre le reste du terrain.

Aïcha : je n’ai pas bien écouté ce que tu as dit. Maintenant , vas-y, je suis chez toi !

_ Avant, tu étais où ?

Aïcha : hahahaha, ce n’est pas important de le savoir.

_ hum ok, je disais que je vais ventre un lot restant.

Aïcha : s’il te plaît chéri, pourquoi tu ne veux qu’on laisse ce lot à nos enfants comme un héritage ?

_ Nos enfants mêmes vont travailler. D’ailleurs, pourquoi on perd notre temps à parler des enfants ? On n’a pas encore aucun enfant et tu me dis ça ?

Aïcha : si on n’a pas encore eu des enfants, c’est parce que le moment n’est pas encore venu et cela ne veut pas dire qu’on n’aura pas des enfants.

_ Ok je sais bel et bien également qu’on aura des enfants… Il faut qu’on vive nos temps présents comme il faut et le lendemain va s’en charger de lui-même.

Aïcha : on ne manque plus de rien dans cette maison, mais pourquoi tu veux vendre ce terrain encore ?

_ Chérie, je ne suis pas venu ici pour critiquer ça avec toi. Moi je suis juste là pour partager cette idée avec toi afin de voir ton avis. J’ai déjà vu ton point de vue, donc ce n’est plus nécessaire de parler de ça encore. En plus, je te demande pardon de ne plus mettre ta bouche dans cette affaire, car c’est l’héritage de mon père et non le tien.

Aïcha : hum, je suis désolée.

J’étais dans la bonne humeur avant de me rendre chez ma femme, mais elle m’avait mis dans un autre monde à cause de ses bla-bla. J’avais pris la direction de la salle de bain pour me laver avant de partir. Quelques minutes après, j’étais sorti dans la salle et je portais mon chemise sur mon pantalon jeans. J’étais prêt pour aller sur le terrain en question. J’avais fait mon entrée dans le garage et ma femme se tenait debout derrière moi.

_ Il y a quoi encore ?

Aïcha : c’est vrai que tu vas vendre ce terrain ?

_ Si tu veux, allons ensemble pour que tu puisses bien voir ce que je vais écrire sur le terrain avec tes propres yeux.

Aïcha : chéri….

Je n’avais plus accordé aucune importance aux mots de ma femme et j’étais quitté la maison. Quelques minutes après, j’étais arrivé sur le terrain. Waouh, on dirait qu’un seul lot était devenu deux, car c’était un peu large sous mes yeux plus qu’avant. J’avais vite fait ce qui m’avait conduit sur le terrain et j’avais pris la direction pour me rendre dans un bar très chic du village.

Je m’étais mariée avec le plus riche du village et c’était une grande fierté et une dignité pour moi. Comme d’habitude, je me réveillais très tôt le matin pour faire la vaisselle et autres avant de me reposer. Un jour, j’étais encore dans la cuisine en lavant les assiettes et mon mari était venu me raconter quelque chose que je n’avais pas du tout aimé. Il avait presque vendu tous les bienfaits de ses parents et un seul lot qui restait, il voulait vendre ça aussi. Vraiment moi, j’étais dans la triste à cause de ce qu’il m’avait dit. J’étais allée dans la douche pour me laver et me reposer un peu avant son retour. Quelques minutes après, j’avais senti une petite douleur sur ma joue droite. J’avais ouvert mes yeux et c’était mon mari qui s’était assis devant moi.

_ Sois le bienvenu !

Evans : merci bien ! As-tu préparé quelque chose ?

_ Oui, allons au salon pour que je t’apporte la nourriture.

Nous étions allés au salon ensemble. Une fois arrivés, j’étais allée dans la cuisine pour lui apporter sa nourriture. Il dégustais le plat avec un bon appétit. Je voulais m’adresser à lui à propos de la vente du terrain, mais je ne savais pas par quel moyen, je pouvais passer. C’était plus fort que moi et finalement, j’avais dit :

_ Chéri, quoi de neuf concernant le terrain ?

Evans : je suis allé voir mon démarcheur et j’espère que dans peu de temps, il va me trouver une personne pour l’achat du terrain.

_ Hum, moi je te préviens quand même hein. En tout cas, je ne vais plus mettre ma bouche dans ça.

Evans : merci beaucoup, car c’est le bon choix que tu ailles faire.

Je vivais dans une maison familiale et chaque jour, il y avait des problèmes par ici et par là. Finalement , moi j’avais décidé de me battre très fort pour acheter un terrain afin de me démanger dans cette maison familiale. Ce qui me rendait très triste dans tout ça, était que tout le monde détestait ma femme, pourtant c’était une femme très dynamique.

Adia : Cheri, pourquoi tu as l’air de quelqu’un qui est triste ?

_ Adia, est-ce que tu m’aimes sincèrement ?

Adia : tu as déjà la réponse à ta question, donc ce n’est plus la peine de te répondre encore.

_ Ok je t’encourage d’être toujours comme ça. Mes frères et sœurs te haïssent, mais il ne faut pas t’inquiéter, dans peu de temps, je ferai tout possible pour qu’on puisse aller dans notre propre maison.

Adia : je te remercie infiniment. Je te promets que je vais t’aimer pour toujours dans le pire moment comme le bon.

_ Merci beaucoup ! Je ne vais jamais te laisser, malgré tout ce que ma famille aille me dire.

Adia : j’ai mille confiance en toi de ce côté.

Je me suis rendu chez un ami avec qui on travaillait ensemble. J’étais un grand électricien dans le village et il n’y avait aucune autre personne comparable à moi dans ce domaine.

Quelques mois plus tard.

Moi j’avais hâte de ventre ce terrain, mais malheureusement je ne trouvais aucune personne qui voulait acheter ça. Les gens ne voulaient pas faire l’achat sur mon prix. Ils ne faisaient que me parler d’un prix très bas. Je me demandais si c’était ma femme qui était allée chez un féticheur pour que je ne vende plus ce terrain ou quoi ? Oh non, elle ne pouvait jamais faire une telle chose. Ah voilà, elle-même était venue chez moi.

_ Tu es encore très belle ce matin hein.

Aïcha : merci ! Qu’est-ce que tu fais ici ? Tu ne vas plus prendre ton petit déjeuner ?

_ J’arrive dans peu de temps.

Aïcha : qu’est-ce que tu me caches ? J’ai constaté que tu me caches quelque chose ces derniers temps. Chéri, qu’est-ce qu’il ne va pas ?

_ Ne t’inquiète pas, tout va bien.

Aïcha : non, tu me trompes. S’il te plaît, parle-moi honnêtement si tu m’aimes vraiment.

_ C’est concernant le terrain. Depuis ce jour jusqu’à maintenant, je n’ai pas encore trouvé aucune personne qui veut acheter ça.

Aïcha : là, tu devrais te réjouir au lieu d’être dans cet état. J’ai l’impression que tes parents ne veulent pas que tu vendes ça, c’est pourquoi tu ne trouves aucune personne. Il faut au moins garder ça à nos enfants comme un héritage de leur grand-père.

_ Hahahaha, tu me fais trop rire ce matin. Je t’avais bien dit que nos enfants mêmes aillent travailler pour être riche et non de compter sur l’héritage de mon père.

Ma femme avait gardé sa bouche silencieuse et nous prenions la direction du salon. Je buvais mon thé tout en pensant à la vente du terrain. Mon téléphone se mettait à sonner, je l’avais fait sortir dans ma poche. Waouh, c’était mon démarcheur qui m’appelait. J’espèrerais qu’il avait une bonne nouvelle pour moi.

_ Allô Prince !

Prince : oui mon DG, il faut qu’on prie pour ne pas rater cette dernière opportunité.

_ As-tu trouvé une autre personne ?

Prince : bien-sûr mon DG ! Il dit qu’il aille me contacter dès qu’il sera prêt.

_ D’accord, j’espère bien qu’il aille acheter ça. J’ai la foi cette fois-ci.

J’avais raccroché l’appel et je sursautais trois fois. Ma femme était venue chez moi encore et je savais bien ce qu’il aille me dire. Elle s’était assise et moi je ne faisais que me concentrer sur mon thé.

Aïcha : tu es enfin content ?

_ Je vais te donner cent mille, donc il faut prier pour moi.

Aïcha : je n’ai pas besoin de cet argent. Chéri, ne fais rien qui va te mettre dans le regret après hein.

_ Haha, on dirait que tu es une comédienne. Elle ne parlait plus et me regardait avec ses magnifiques petits yeux.

Elle était encore plus belle à mes yeux et j’avais envie de lui faire voyager. Après avoir bu le thé, je m’approchais d’elle pour lui faire des petites caresses. Une minute après, nous étions sur le lit, mais je ne me rendais pas compte comment on avait fait pour arriver à ce lieu. Je lui avais aidé très vite à se déshabiller et voilà elle était nue devant moi. Je lui avais poussé sur le lit et elle s’était allongée en laissant ses seins à l’air libre. Je mettais directement ma bouche sur le côté gauche et je suçais ça comme si j’étais un enfant. Quelques minutes après, j’avais décidé de lui pénétrer afin de lui faire voyager au septième ciel. Elle avait poussé un grand cri et moi-même je savais pourquoi elle avait fait ça.

_ Ça te fait mal ?

Aïcha : un peu mal, mais je n’ai pas d’autre. Vas-y doucement !

_ D’accord, j’ai compris.

Quelques mois plus tard, mon mari avait fait beaucoup d’efforts pour trouver l’argent du terrain. J’étais à la maison et il était allé chez le démarcheur pour discuter avec lui à propos de l’achat. Une heure de temps après, j’étais toujours à la maison et il était de retour.

_ Tu as pu trouvé la personne ?

Stan : si, j’ai discuté avec lui et on a décidé de se rencontrer la semaine prochaine.

_ J’ai tellement hâte de quitter dans cette maison familiale.

Stan : le bon Dieu est en train de faire un joli plan pour nous, donc soyons toujours patients et marchons sur sa volonté !

_ Tu as tout dit. J’ai tellement aimé.

Stan : heureusement pour moi est que tu sois une femme très compréhensible, sinon on allait se séparer depuis.

_ Moi je ne peux jamais faire une telle chose, car j’étais prête avant de me marier avec toi. Une bonne femme devrait être capable de supporter tout dans son foyer, malgré tout ce qui va se passer. Une femme qui n’a jamais souffert dans son foyer ne va jamais accorder une importance à ça.

Stan : merci beaucoup !

Une semaine après.

Je m’étais réveillé avec une grande joie qui envahissait mon cœur. Oui, j’étais content, car j’allais chez le démarcheur pour acheter le terrain. Je prenais ma douche et ma femme était venue me rejoindre. Je lui avais serré contre moi et du coup, nos bouches s’étaient mis en contact. Waouh, on dirait que ma femme avait bu le miel ce matin, car ses lèvres étaient très douces plus que le miel même.

_ Allons sur le lit !

Adia : on risque d’être en retard, donc il faut qu’on laisse ce qu’on fasse. On pourra faire ça dans la soirée.

_ Ok, je te comprends. Je compte même débuter la construction le mois prochain.

Adia : vraiment, on doit remercier Dieu pour cette bénédiction. Dans quelques mois seulement, il t’a aidé immensément.

_ Lui-même nous voit, donc il a également écouté nos cris.

Cette petite conversation avait mis fin à notre baiser, mais bon, je n’avais pas d’autre choix. Quelques heures plus tard, nous étions allés chez monsieur Prince pour acheter le terrain. On avait bel et bien rencontré le propriétaire du terrain et tout était passé très bien. Après avoir signé les papiers nécessaires, on avait décidé de leur fausser compagnie.

Evans : monsieur Stan, merci beaucoup pour cet achat !

_ C’est plutôt moi qui devrais te remercier pour ta gentillesse.

Prince : si quelqu’un d’autre voulait également faire des achats, n’hésites pas de me contacter hein !

_ D’accord !

Nous étions quittés chez eux avec beaucoup de joie.

À suivre….

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