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Death prison

Death prison

Veryline

4.9
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Chapitres

Ça a dĂ©butĂ© il y a plusieurs annĂ©es dĂ©jĂ , le projet Ɠil X. Une arme implantĂ©e en l'homme capable sans peine de raser une ville entiĂšre. A l'origine les chercheurs Ken frizman et Frederic Cruder menĂšrent les expĂ©riences. Mais une fois le prototype achevĂ©, le rĂ©sultat fut si effroyable que l'un d'entre eux abandonna le projet et perdit toute foi en leur crĂ©ation qui initialement Ă©tait censĂ© protĂ©ger les populations. Mais peu de temps aprĂšs il disparut dans des circonstances trĂšs douteuses. L'empire ayant trĂšs vite cernĂ© le potentiel de leur dĂ©couverte dĂ©cida de donner plus de moyen Ă  sa rĂ©alisation. Par la suite la prison fantĂŽme qu'il construisit n'Ă©tait ni plus ni moins qu'une façade. Cela permettait aux chercheurs de disposer d'une ressource inĂ©puisable en cobaye. Ces derniers en utilisant les mystĂ©rieux fragments de l'arbre sacrĂ©e et avec l'aide de l'alchimiste lĂ©gendaire Quidiss Landoff construisirent divers armes en plus de l'Ă©laboration du projet lui-mĂȘme. Au fil du temps ce lieu Ă©tait devenu un vĂ©ritable antre du diable qui trĂšs bientĂŽt allait ĂȘtre au centre d'une guerre incluant le continent tout entier.

Chapitre 1 Numéro 247

C'Ă©tait un matin bien calme. Soudain le bruit assourdissant d'un aĂ©ronef Ă©blouis par les rayons d'un jour nouveau perturba le silence d'une forĂȘt hostile Ă  l'homme. L'engin volant se posa sans peine dans la cour externe de la prison au centre de la forĂȘt et au milieu de l'ile. Comme presque tous les mois, il apporta de nouveaux prisonniers (violeurs, assassins, terroristes...). Tous destinĂ©s Ă  ĂȘtre exĂ©cutĂ©s, en principe du moins. Car comme presque tout dans ce monde la prison X avait une face cachĂ©e.

Telle une main tendue vers la lumiÚre inespérée, elle promettait aux condamnés à mort l'expérience d'une vie rallongée. Mais pour cela il fallait payer le prix du sang dans un combat à mort et ainsi gagné quelques jour supplémentaire en cas de victoire.

Face Ă  la mort la barriĂšre sĂ©parant vĂ©ritĂ© et mensonge, rĂ©alitĂ© et rĂȘve, rationnel et insensĂ© n'existe plus.

Ainsi le gĂ©rant de la prison Von Starkness aprĂšs avoir passĂ© un accord tacite avec l'alchimiste lĂ©gendaire dĂ©sormais chef de la recherche scientifique, a mis en place un vĂ©ritable business qui lui rapportait trĂšs gros. Leur marchĂ© Ă©tait tout simple, chacun se mĂȘle de ses affaires tout en accomplissant ses fonctions. Car l'un comme l'autre trafiquait des affaires sordides au sein de la prison que mĂȘme les hauts dirigeants de l'empire de l'ouest ( les crĂ©ateurs et les financeurs du projet ) qui les laissaient une certaine libertĂ© ignoraient complĂštement contrairement aux gardiens et aux scientifiques de la prison. Ces derniers gardĂšrent le silence et obĂ©issaient sans poser de question car dans cette prison les accidents inhabituels Ă©taient trĂšs frĂ©quents. Et leurs proches ou leurs familles Ă  l'extĂ©rieur pouvaient en avoir Ă  tout moment. En plus ils voyaient leurs Salaires triplĂ©es Ă  la fin de chaque mois. Que de facteurs extrĂȘmement convaincants qui feront rĂ©flĂ©chir n'importe quel abruti Ă  deux fois avant de l'ouvrir.

Von Starkness organise des combats Ă  mort entre prisonnier, prisĂ©s par bon nombre de fortunĂ© venant de divers horizon sur le continent. Tous furent capable de dĂ©versĂ©s une vĂ©ritable fortune pour assister Ă  un de ces affrontements Ă  mort. Bien sĂ»r les clients ne venaient pas en chair et en os, mais les combats leur Ă©taient transmisse en direct. Et ceux via un ingĂ©nieux systĂšme dĂ©veloppĂ© au sein mĂȘme de la prison et qui par la mĂȘme occasion permettait au gĂ©rant de rĂ©cupĂ©rer son dĂ» avant chaque duel.

Cependant le vingt-quatre févier un nouveau jour se leva avec l'arrivé de quinze nouveaux prisonniers. Comme d'habitude le gérant vient en personne accueillir ses nouveaux locataires. Ainsi aprÚs une brÚve discussion avec les pilotes, l'aéronef répartit laissant les malheureux à leurs sorts tragiques.

Le torse bien bombé et avec un allure majestueux le gérant marcha de ses pas élégants en face des nouveaux arrivants (contrains de s'aligner en rang) espérant ainsi les intimidés. Tour à tour il les regarda attentivement. AprÚs le septiÚme dévisagé, il fut fortement surpris. Car le huitiÚme était en train de dormir, juste sous ses yeux. Il ronflait en plus.

- se fout-il de ma gueule ? Pensa-t-il irrité.

Plusieurs secondes passÚrent sans que nul n'émettent le moindre son quand soudain, avec un grain de colÚre le gérant cogna vigoureusement sur le jeune impudent qui s'écroula par terre bien malgré lui.

- debout sale immondice, grogna-t-il.

Dans une atmosphĂšre de terreur le prisonnier s'exĂ©cuta. Il se leva et regarda son agresseur dans les yeux, sans gĂȘne.

Etrange, trÚs étrange, ni haine ni peur ni colÚre, les yeux du jeune garçon n'exprimaient rien de cela, remarqua alors le gérant.

- normalement mĂȘme les pires criminels du continent sont envahis d'effroi rien qu'en Ă©tant informĂ© de leur transfert prochain Ă  X, la prison dont on ne revient jamais, la prison fantĂŽme, ou encore la prison de la mort. Est-il dĂ©bile, se demanda-t-il. A-t-il seulement conscience de ce qu'il y a entre ces murs ?!

Le directeur intriguĂ© s'en alla sans un mot de plus, laissant les gardiens s'occupĂ©s du reste. Par la suite le gardien en chef du Niveau1 Crual Masguener expliqua aux prisonniers quelques rĂšgles Ă  suivre. Et une fois arrivĂ© Ă  l'intĂ©rieure de la prison, au Niveau1, les prisonniers subirent un ensemble de test avant d'ĂȘtre amenĂ©s dans leurs cellules respectives.

Le bùtiment central de la prison avait la forme d'un grand entonnoir renversé, partagé en plusieurs étages. Ainsi il fut divisé en quatre grands Niveaux avec un sous-sol (laboratoire sous la direction de Dark Malfiq). Chaque Niveau contient au minimum quatre étage sous-sol y compris. Le sous-sol est aussi appelé Niveau0, les prisonniers ayant perdus plusieurs combats y sont envoyés par dizaine chaque semaine.

Les nouveaux prisonniers sont enfermés dans le Niveau1, les conditions de détentions y sont trÚs rudes. A ce Niveau, chaque prisonnier doit impérativement gagner plusieurs de ses combats. Dans le cas échéant il sera envoyé au sous-sol. De ce fait, le Niveau2 est rempli de combattants victorieux qui craignent la défaite comme la peste. Car aprÚs seulement deux défaites l'individu est renvoyé dans sa cellule d'origine au Niveau1.

Plus on gagne de combat plus on augmente de Niveau et proportionnellement les conditions de dĂ©tentions ainsi que le temps avant l'exĂ©cution augmentent graduellement. Ce qui fait que le Niveau4 est rempli de prisonnier extrĂȘmement redoutable. Ils y sont presque complĂštement libres. On y pratique divers activitĂ©s, c'est en quelque sorte le paradis des prisonniers.

La hiérarchie de la prison (le laboratoire mis à part) est trÚs simple. Chaque Niveau est dirigé par un sous-directeur chacun ayant sous ses ordres un ensemble de gardien, tous obéissant aux ordres de l'unique chef des lieux : le directeur Von Starkness.

Assis confortablement dans son bureau, il regarde les dossiers des nouveaux arrivants et sélectionne ceux qui sont d'aprÚs lui, les plus dignes de combattre dans ses arÚnes puis jette le reste en pùture aux scientifiques du sous-sol. Plus tard leurs dossiers sont transmis au sous-directeur du Niveau1 Ivan Chenoli qui est chargé de leur faire combattre.

Pour mener à bien son travail le sous- directeur doit connaitre les antécédents des prisonniers sélectionnés et évaluer leur capacité physique afin de leur choisir le meilleur adversaire possible. Parmi les quatre nouveaux arrivants sélectionnés pour se battre il y a les prisonniers mille deux cent quatre, quatre cent trois, sept cent vingt et enfin le prisonnier deux cent quarante-sept, Imperis celui frappé par le directeur plus tÎt.

Ce dernier n'Ă©tait gĂšre impressionnant mis Ă  part son dossier. C'est un gringalet aux cheveux blancs pĂąles et au regard troublant. Il Ă©tait mentionnĂ© dans son fameux dossier qu'avec l'aide de quelques hommes il avait attaquĂ© et dĂ©cimĂ© les autoritĂ©s rĂ©gent d'une ville. Le gouverneur de la dite ville Ă©tant atrocement mutilĂ© et exhibĂ© Ă  la foule jusqu'Ă  ce que mort s'en suive, il se rendit de lui-mĂȘme aux autoritĂ©s. Contrairement aux autres prisonniers il n'avait pas Ă©tĂ© incarcĂ©rĂ© dans une autre prison avant d'ĂȘtre envoyĂ© Ă  X. MalgrĂ© tout, Ivan ne comprenait pas.

- pourquoi le directeur a-t-il sélectionné ce prisonnier, il est en dessous de tout physiquement. De plus il m'a l'air bien inoffensif. Ne le sait-il pas, ce genre de déchet me complique les choses car avec eux les combats ne sont jamais divertissants puisqu'ils se terminent presque toujours en un instant.

Les muscles bien saillants, le regard fĂ©roce et la dentition en fort mal Ă©tat ce mastodonte Ă©tait principalement rĂ©putĂ© au sein de la prison pour sa cruautĂ© disproportionnĂ©e. Crual le bourreau, ainsi le surnommait les prisonniers. ArrĂȘtĂ© prĂšs de son chef dans son bureau, il dĂ©tourna le regard vers le dossier sans pour autant montrĂ© trop d'intĂ©rĂȘt au sujet abordĂ©.

- c'est vrai qu'il m'a l'air d'ĂȘtre un grand minable, mais je pense qu'il doit savoir se battre vu son regard prĂ©tentieux et surtout plein d'arrogance. A mon avis, il maitrise le Flux. Seulement ici cela ne lui sera d'aucune utilitĂ© (car avant mĂȘme d'entrĂ© dans la prison des cristaux verts sont implantĂ©s dans le corps de chaque arrivant ce qui rompt l'Ă©quilibre psychique de l'individu et donc son Flux).

Emu le sous-directeur ricana en usant du rire machiavélique dont lui seul avait le secret.

- c'est vrai tu as peut-ĂȘtre raison, rĂ©pondit-il enfin. Je me servirai donc de ce dĂ©chet comme faire valoir.

Quelques heures passĂšrent, n'ayant nullement le temps de s'habituer Ă  son nouveau appartement Imperis fut amenĂ© par deux gardiens dans une salle extrĂȘmement bruyante, lugubre, sinistre et soutenue par d'Ă©normes piliers. Il n'y avait aucune prĂ©sence humaine. En regardant plus attentivement sur les murs et sur les piliers, Imperis y remarqua de nombreux transmetteur ainsi que des traces de sang. Soudain la porte devant lui s'ouvrit, un homme assez corpulent portant aussi une tĂ©nue de prisonnier se dirigea alors vers lui. AussitĂŽt des voix rĂ©sonnĂšrent dans la salle:

<>!!

L'individu s'arrĂȘta Ă  moins d'un mĂštre d'Imperis tout en le regardant d'un air hautain.

- désolé p'tit, je n'ai rien contre toi seulement c'est une question de survie, tu comprends ? Tu vas devoir mourir ici, déclara-t-il cru.

Sans sourciller le moins du monde, Ă  son tour Imperis le fixa sourire aux lĂšvres.

Soudain, <> dis une personne Ă  travers un haut-parleur. Joh l'ancien tueur Ă  gage s'en donna alors Ă  cƓur joie. Il laissa parler toute sa rage en se jetant sur le petit gringalet au visage d'ange. Coups de poings, coups de pieds, balayages tous manquĂšrent leur cible. Le garçon rĂ©ussi Ă  les Ă©vitĂ©s avec une aisance dĂ©concertante. Mais aprĂšs plusieurs tentatives Joh rĂ©ussi Ă  l'acculer dans un coin de la salle. Comme il le dit toujours << les efforts fournit pour abattre une proie ne sont jamais vains>>.

Avançant à toute allure vers Imperis, poing serré en l'air, il sourit croyant la victoire déjà acquise. Dans ses pensées, un seul coup porté en une seconde suffirait à mettre au tapis ce gamin tout chétif. Ironiquement il n'a fallu qu'une fraction de seconde à Imperis pour tout écraser : son plan de victoire, son sourire ainsi que sa mùchoire avec un fulgurant retourné du pied gauche. Il l'avait stoppé net dans son élan coupant ainsi cours à ses bravades inutiles et avec, les cries insupportables de ses supporteurs. Son gros corps alla s'écrasé face contre terre plusieurs mettre en arriÚre. Plus tard il se releva avec grand peine animé d'une fureur alarmante. Avec l'échec cuisant de sa premiÚre stratégie (foncé tÚte baissé) il commença à réfléchir en tournant au tour de son adversaire tout en l'attaquant.

L'affrontement qui était censé se dérouler en massacre à sens unique avait subitement pris une tout autre tournure qui hélas n'était aucunement en accord avec celle imaginé par le sous-directeur Ivan Chenoli. Lui qui comptait se servir de deux cent quarante-sept (Imperis) pour mettre en valeur son nouveau champion afin d'organiser un choc entre ce dernier et son autre champion assistait impuissant à l'effondrement de son plan si fameux. Car voilà, Montkarlo Johref était bien parti pour se faire ridiculisé par un blanc bec. Pourtant l'ancien tueur à gage faisait tout son possible. Seulement niveau technique Imperis le surpassait largement, voir infiniment.

Toujours avec plus de facilité ce dernier esquivait ces attaques répété qui à la longue devenaient de plus en plus risible. Et cela l'énervait, encore et encore. Puis inévitablement Johref finit par craquer et lança dans un ultime effort son dernier assaut en hurlant de toutes ses forces.

- désolé mon pote, comme tu l'as si bien dit c'est une question de survie lui lança alors Imperis souriant.

Toujours avec autant de facilitĂ©, il le stoppa net avec un coup du pied droit encore plus rapide et plus dĂ©vastateur que le prĂ©cĂ©dent. Comme foudroyĂ©, le pauvre aspirant champion saliva abondamment avant de s'Ă©croulĂ© Ă  terre pour un bon moment. AprĂšs un bref instant de silence et d'Ă©tonnement, les clients acclamĂšrent sans gĂȘne le nouveau futur champion qu'ils avaient tous mĂ©prisĂ© dix minute au pare avant. Tant qu'il y avait de l'action et du sang ces derniers Ă©taient toujours satisfaits quelque soit l'issu du combat. Contrairement au sous-directeur du NIVEAU1 et son bras droit Crual, qui venaient d'assister Ă  l'effondrement de leur manigance.

La nuit de la victoire inattendue du gringalet, le perdant Montkarlo Johref reçut une visite qu'il craignait plus que tout. C'Ă©tait le gardien en chef du Niveau1 Crual le bourreau et deux de ses subordonnĂ©s. Joh qui avait jusque-lĂ  montrĂ© un visage de gros dur changea subitement de personnalitĂ©. Il trembla et sua Ă  grosse goutte car Ă©tant lui-mĂȘme un prĂ©dateur crains, dans cette prison et face Ă  cet homme ce n'Ă©tait qu'une proie comme un autre.

- alors trÚs cher Joh qu'est ce qui s'est passé ? Lui demanda Crual furieux.

Joh terrorisé, répondit : je, je...

- FERME-LA !!! Le coupa violemment Crual. Sais-tu combien de temps ça nous a pris Joh ?

- non, non ..., supplia Joh affolé et terrorisé.

- deux semaines, deux semaines Joh, ça nous a pris deux semaines.

- désolé ... je suis désolé, déclara-t-il maintenant en larme.

- chercher des prisonniers assez imposant, planifier le moindre détail de vos affrontements et faire en sorte que tu triomphes à chaque fois pour te faire gagner en popularité auprÚs de nos chers clients. Tout ça afin que tu puisses affronter Gil et perdre aprÚs un combat acharné. Les clients auraient adoré, et toi tu aurais continué à vivre la belle vie au sein du Niveau1. C'était parfait, ce plan était parfait. En contre parti on t'a demandé qu'une seule chose Joh, démolir jusqu'à la mort un petit minable. Et toi pour nous remerciés qu'est-ce-que tu fais ? Tu te fais ridiculiser par ce blanc bec!

- pardon, pardon, je suis désolé !

- tu es désolé, ah bon ?! Tu m'envoie ravi. Ah et puis tu sais quoi, j'aurais été trÚs frustré s'il t'avait tué. Mais malheureusement pour toi il t'a seulement assommé. Et donc je vais pouvoir te punir comme il faut.

Il s'adressa alors à ses subordonnés : Ogmor défait la nappe et quand à toi Stoss apporte-moi les outils.

Joh continua Ă  supplier et hurler de toute ses forces, pour la derniĂšre fois de sa vie. Ces cris de douleur dĂ©chirĂšrent le silence nocturne d'une prison faite de dĂ©sespoir, oĂč des hommes ayant autrefois ĂŽtĂ©s injustement la vie Ă  leurs semblables vivent au jour le jour au grĂ© de leur bourreau, qui d'un simple coup de tĂȘte peut dĂ©cider de mettre fin Ă  leurs misĂ©rables existences.

Alors cette nuit-là, Ivan Chenoli le sous-directeur du Niveau1 brula un dossier. C'était celui de l'ancien tueur à gage dont les cris résonnaient jusque dans son bureau. D'aprÚs lui, c'était une fin digne du déchet qu'il est et qu'il a été. Par contre pour les autres prisonniers du Niveau1, entendre ses hurlements ne faisait que les rappelés l'atroce souffrance qui les attendait tous au bout du chemin, quoi qu'ils fassent.

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