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Épreuve
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Elle se fait kidnappée et ses parents se font tués sous ses yeux...18 ans à peine. Saura t-elle faire face à ses hommes masqués qui veulent à tout prix detruire son âme d'innocente. L'apparition soudaine de ce commissaire dans sa vie constituera t-elle une bénédiction ?

Chapitre 1 L’homme en costume

Elle sortait d'une fête chez son petit ami Lucio, et venait d'avoir 18 ans, ses parents lui donnaient une certaine liberté et lui faisaient confiance, une confiance qu’elle ne voulait pas trahir.

Ils lui ont donné la plus grande éducation qui soit, elle voulait continuer à étudier afin de leur offrir une vie meilleure, car , elle croyait en ses rêves...

Il faisait sombre, Lucio n'avait pas pu la raccompagner, elle était loin d'avoir peur dans un quartier où elle avait grandi mais ça arrivait que des petits voyous passaient dans le coin.

Ses parents étaient certainement endormi à cette heure...presque minuit.

Arrivée devant la maison, lorsqu'elle poussa la porte son coeur fit un bond dans sa poitrine en voyant un homme en costume qui portait un masque, pistolet en main. Tout lui paraissait étrange d’un coup, son instinct de survie lui intima de s'enfuir lorsqu'un autre homme l'immobilisa tenant ses poignets derrière son dos.

-Lâchez moi ! Se débattit- elle. Mais qui êtes vous ? Papa ! Maman ! Cria t-elle sans comprendre ce qui se passait.

-Oh la petite fille à son papa! Se moqua l'un d'entre eux. Ils étaient six et tous portaient le même masque. Celui assis sur le fauteuil de son père semblait être le chef.

-Lâchez moi! se débattant de toutes ses forces. L'homme en costume se leva, le pistolet toujours à porter de main, s'approcha d'elle.

-Ferme la fit- il sur un ton calme.

-Au secours papa ! Au s... Elle reçut une telle gifle que son nez saigna.

-Ici je suis le patron je t'ordonne de te taire alors tu te tais! Elle se tut rapidement, tremblant de tous ses membres, voulant se réveiller de ce cauchemar.

Il fit signe à l'homme qui lui tenait les mains. Celui-ci la fit avancer vers la chambre de ses parents, son coeur se serra quand elle les vit chacun sur une chaise, attachés, les mains derrière le dos, leurs bouches bâillonnés. En la voyant, ils essayaient tant bien que mal de parler, ils se débattaient en vain.

-Oh mon Dieu ! Lâcha la jeune fille laissant échapper une larme.

-Ils sont si mignons ensembles n'est-ce pas ? Susurra l'homme en costume. Il pointa son arme vers la mère de la jeune fille ensuite vers son père.

-Je vous en supplie ! S'il vous plaît arrêtez ! Elle se débattait mais l'homme était plus fort qu'elle, réussissant à se dégager et sauta sur le dos de l'homme en costume lui pressant le cou en criant.

-Laissez les sales brutes ! mais l'autre homme la rattrapa tout de suite la tenant fermement cette fois, dans la même position.

L'homme en costume éclata de rire.

-Votre fille est une satanée tigresse ria t-il à l'adresse des parents. Toi Pablo tiens la fermement imbecile.

Ces hommes gagnaient leur vie à la recherche de jeunes femmes inoffensives, dont les parents étaient soient morts, soient pauvres. D’abord, ils offraient aux parents un bon paquet de fric pour emmener leur fille avec eux, par contre s’ils refusent, ils sont tués.

Ces filles, seraient alors obligées de se prostituer et si elles résistent, elles le payent cher.

Carina ne savait plus quoi faire la peur l'envahit entièrement. Son père se débattait de plus belle sur sa chaise.

L'homme pointa son pistolet vers la mère de la jeune fille, un coup partit, sa tête se renversa en arrière, la jeune fille poussa un cri...regardant sa mère se vider de son sang.

-Oh mon Dieu ! Qu'avez-vous fait ! Vous...l'avez tué ! S'écria t-elle les larmes aux yeux, se débattant de toutes ses forces, ce que fit également son père qui réussi à se détacher les mains et enlever son bâillon de la bouche voulant bondir sur l'homme mais un autre coup partit, son père gisait au sol et était encore vivant, il l'avait touché à l'épaule droit.

-Carina… barres toi cria t-il alors qu'il était au sol.

-Et comment va t-elle se barrer hein ! Imbécile.

Sur ce, il reçu une autre balle à la tête qui, l'assomma pour de bon.

Ses parents n'y étaient plus, elle ne voulait qu'une chose ,disparaître, se réveiller de ce cauchemar, l'homme se tournait vers elle l'air amusé.

-Ne pleure pas ma petite poupée sourit- il en lui carrssant le visage avec le pistolet.

Elle ne disait plus rien, le regard dans le vide son coeur battait à tout rompre, il lui toucha le visage pour y essuyer les gouttes de sang du nez et le lécha elle eut une soudaine envie de vomir, la vue de tous ce sang lui donnait la nausée et elle réussit tant bien que mal à vomir, sur les chaussures de l'homme en costume, il ne semblait pas être en colère et lui sourit.

-Tu ne sais vraiment pas à qui tu as à faire ma belle. S'enquit-il en lui donnant un baiser sur le front, elle voulue se jeter sur lui mais Pablo la retint fermement.

-Attache la et amène la dans la voiture. Ordonna t-il en sortant de la pièce.

Pablo la lâcha un instant pour prendre les menottes accrochées à son Jean, Carina profita de ce moment pour lui donner un coup de genou aux testicules celui-ci se tordit de douleur, elle sortit en courant ...avant même d'atteindre la porte, un coup l'assomma et elle tomba à même le sol.

Lorsque Carina ouvrit les yeux, elle n'arrivait pas à fixer la lumière qui se trouvait en face d'elle sa tête lui faisait atrocement mal ,essayant de se rappeler les événements qui s'étaient déroulés, ses parents...elle aurait voulu que ce soit un cauchemar mais c'était la pure réalité.

Elle avait mal aux poignets qui étaient attachés au dessus de sa tête à un crochet au plafond, ses pieds touchaient à peine le sol ,elle ouvrit les yeux se rendant compte qu'elle n'était pas seule, un homme ,le même homme en costume qui avait assassiné ses pauvres parents toujours le visage masqué.

Il était assis en face d'elle la fixant d'un regard qu'elle ne saurait interpréter.

-Alors ma belle Carina enfin réveillée. Sourit-il l'air d'un psychopathe. Comme elle ne disait rien il continua : - je m'appelle...on m'appelle Tchino, je sais absolument tout de toi ma chérie, Carina Ana Ritz, 18 ans en terminale, des amis... tu n'en manques pas ! Et ton copain...

-Je...j'en ai pas. Balbutia t-elle, ayant peur pour Lucio, elle l'aimait tant qu'elle ne voulait que rien ne lui arrive, ces gens étaient capables de tout...

Tchino sourit.

-Tu revenais d'une fête de chez lui hier soir, il s'appelle Lucio Rayens, 20 ans, il habite central park et...ta meilleure amie Stacie...

-Je vous en supplie lâcha t-elle, comment pouvait- il connaître toutes ces choses sur elle ? Elle se sentait prise au piège, c'était sûrement un cauchemar, ne cessait-elle de se répéter.

-Ne leur faites aucun mal s'il vous plaît . Supplia t-elle

-Tu ne m'as pas laissé terminer et ce sera la dernière fois que tu m'interromps quand je parle, c'est compris ! Elle acquiesça tremblante de peur.

-Stacie Caper continuait-il se croisant les jambes. Elle est déjà ici.

-Quoi ? S'exclama t-elle. Il allait se lever lorsqu'elle demanda : -pourquoi sommes nous ici ? ...pourquoi faites-vous ça ?

-Les questions ici c'est moi qui les pose. Sur ce, il sortit.

-S’il vous plaît qu'est-ce que j'ai fait ?

Il était déjà parti, un autre homme fit son apparition un masque sur le visage, il portait un plateau qui contenait un verre d'eau et du pain qui semblait sec. -ouvre la bouche. Elle n'en fit rien. -ouvre la bouche ! Répéta t-il

-Allez tous vous faire foutre. Elle reçut une gifle.

-Sale pute ! Il prit le pain et força l'entrée de sa bouche. Avale ! Elle le cracha sur son visage, la colère s'empara vivement de lui elle reçu une autre gifle et un coup de point au ventre.

-Chienne! petite garce! Lança celui-ci dans une colère noire. Il allait la frapper encore quand Tchino reapparut.

-Que se passe-t-il ici ?

-Regarde ce qu'elle m'a fait, cette chienne ! Fit celui-ci énervé voulant encore la frapper.

- Hé Steve calme toi stop. S'enquit Tchino toujours d'une voix posée. Carina le fixait il avait les yeux très noirs et une bouche très fine...elle ne pouvait voir que sa bouche et ses yeux... des yeux qu'elle n’oubliera jamais. Steve réussit à se calmer.

-Toi tu baisses les yeux devant moi il va falloir te comporter plus sagement ma chérie...tu as encore bien des choses à apprendre. Il lui caressa le menton ,celle-ci se dégagea.

Effectivement tu as encore bien des choses à apprendre...file moi la bouffe ! Steve lui passa l'assiette. -ouvre la bouche ! Elle resta immobile à le fixer.

-Je suis très gentil avec toi ne m'oblige pas à me mettre en colère ma poupée.

-Laissez moi tranquille je n'ai pas faim.

-Je ne compte pas te laisser crever de faim, bien que tu le mérite mais c'est encore trop tôt...aller ouvre la.

Comme elle s'entêtait à garder la bouche fermée, elle reçu un autre coup de poing au ventre ,la douleur était atroce... -ouvre la!

Elle s'exécuta ne voulant plus l'énerver ,le pain était sec mais l'avala quand même. -c'est bien! Fit- il comme s'il complimentait son chien.

Elle avait terminé, Tchino lui mit le verre d'eau à la bouche qu'elle avala d'un trait.

-Pourquoi ? Qu'attendez-vous de moi ?

-Tu le sauras très bientôt...quand tu désobéis tu as droit alors à une punition, un jeu d'enfant.

Il lui fit un clin d'œil. Je te pardonne pour tout à l'heure mais la prochaine fois tu souffriras. Il sortit suivit de Steve. Elle ne savait ni où elle était ni pourquoi. Quelle heure il devrait être? dans la pièce où elle se trouvait il n'y avait même pas une fenêtre, seule une lumière se trouvait en face d'elle, la pièce était vide il n'y avait qu'une chaise, ses bras lui faisaient souffrir, ses pensées s'arrêtaient sur Stacie, qu'est-ce qu'on était en train de lui faire ?

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