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Mon obsession au sexe m'as détruit

Mon obsession au sexe m'as détruit

Mael

5.0
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Chapitres

PROLOGUE Dans "Mon obsession au sexe m'a détruit", plongez dans l'univers tumultueux d'un jeune homme à la beauté saisissante et à l'intelligence brillante. En quête de plaisir et d'adrénaline, il se laisse emporter par une obsession dévorante pour le sexe, croyant que chaque rencontre éphémère lui apportera satisfaction et validation. Mais alors qu'il navigue dans un monde de passions intenses et de désillusions, il réalise que cette quête effrénée le pousse vers une spirale autodestructrice. Entre désirs inassouvis et révélations douloureuses, ce récit captivant explore les conséquences d'une obsession qui, au lieu de le libérer, menace de le détruire. Arrivera t-il à se libérer de cette chaîne ? Je vous invite à le découvrir dans les chapitre à venir les amis. Sur ce, bonne lecture à vous.

Chapitre 1 01

J'avais un brillant avenir. Lorsque je parle d'avenir brillant je mesure mes mots. Je devais avoir un nom dans ce pays. Pour ne pas dire dans ce continent. J'avais tout pour réussir. La nature m'avait été favorable en tout. J'étais un jeune très intelligent. J'étais cadre dans une entreprise en tant que professionnel de la logistique. C'était presque impossible de voir un jeune de cet âge dans cette position. Mais je l'avais fait et mes collègues me disaient souvent que j'allais aller très loin. Mais j'ai détruit ma vie. J'ai ruiné mon avenir. Tout ça à cause d'une seule chose : le sexe.

C'est quelque chose qu'on n'en parle pas. Ou peut-être juste brièvement. Mais c'est l'arme la plus mortelle qui puisse exister. Le zizi, cet appareil sensé être uniquement de reproduction que les hommes ont entre leur jambe, est l'un des seul Seigneur à avoir la puissance et la pleine capacité de te donner un avenir brillant ou de te réduire à néant.

Pourquoi je le dis ? parce que je me suis plié à la volonté de mon zizi et aujourd'hui je regrette amèrement mes actes et mes choix.

Parfois je me demande pourquoi Dieu le créateur nous a donné cette outil en y ajoutant du plaisir comme assaisonnement. Ça aurait été simplement un tuyau servant à uriner et à éjaculer pour faire des enfants et rien de plus. Le plaisir qu'il y a injecté, c'est ça le chemin de la perdition. Je suis perdu. Je suis perdu !

Tout commence dès mon plus bas âge.

J'étais un enfant brillant.

Mes parents étaient très négligents. Je le dis car je peux le confirmer que si je suis ce que je suis aujourd'hui c'est à cause d'eux. J'étais le 2ème fils de mes parents. Mon grand frère vivait avec notre grand-mère paternelle. Il était né 8 années avant moi. A ce moment, mes parents étaient dispersés, chacun vivant dans sa petite chambrette. Mon frère était comme on le dit souvent, le fruit de la désobéissance de mes parents. Ma mère était encore élève à l'époque et mon père jeune étudiant en Fac.

Les choses évoluèrent entre eux et ils décidèrent d'aménager ensemble dans un studio.

J'étais né la même année qu'ils avaient décidé de vivre ensemble. Ma mère m'avait raconté leurs débuts. Ils étaient jeunes. Moins de 30 ans tous les deux.

Dès l'âge de 3 ans, je voyais des choses sans comprendre. Et je peux dire que ma mémoire n'a jamais réussi à faire disparaitre ces scènes.

Certes je ne comprenais rien de tout ce qui se passait, parce que j'étais si petit, mais en grandissant, j'avais pu remémorer ces scènes et j'avais fini par comprendre des années après.

Je me souviens qu'il m'arrivait souvent de pleurer car je croyais que mon père faisait du mal à ma mère. Je croyais qu'il était un vieux monstre méchant qui aimait battre sur les femmes. Ma mère pleurait, du moins ce que je croyais dans mon petit cerveau de moineau. Elle criait, et elle tirait les draps.

J'avais grandi en voyant cela.

J'avais alors 4 ans. Je pouvais voir plus clairement et parler. Je pouvais écouter aussi. Ils faisaient toujours ça sans tenir compte de moi. C'est comme si je demeurais toujours bébé à leurs yeux. Comme si j'étais un moins que rien sans intelligence ni mémoire. Comme si au sorti de la porte j'allais tout oublier et mon cerveau allait appuyer sur Delete pour ne plus jamais y penser.

Parfois c'était au salon, je voyais ma mère se coucher là, et sucer ce que je pensais être le gros bonbon de mon père. Lorsque nos regards se croisaient, ma mère me faisait un clin d'œil et me demandait passivement de me concentrer sur mon repas sans les regarder.

J'entendais mon père dire

« Qu'est-ce qu'il en sait lui ? Il est très petit. Ne t'arrête pas mon bébé va y ».

Pour lui, je n'étais pas que petit, j'étais très petit. J'étais en dessous de la petitesse. Peut-être il avait raison. Qu'est-ce que j'en savais réellement ? Rien !

Ma mémoire elle, savait beaucoup et ne voulant pas m'offenser vu mon bas-âge, avait pris le soin de garder soigneusement ces scènes dans son coffre-fort pour me les présenter une fois adulte.

C'est en ça que la mémoire humaine se révèle merveilleuse. Elle a la capacité de sauvegarder des informations qu'elle juge très sensible pour toi et pour l'instant. Et un jour alors que tu seras à mesure de comprendre, elle ramènera ces informations dans ta mémoires et tu comprendras enfin.

Si vous voyez une personne assise seule en train de sourire, sachez que sa mémoire vient d'ouvrir l'un des coffres forts d'une informations longtemps gardée pour qu'elle la comprend finalement. A ce moment, c'est le rire qui exprime la comprendre et parfois l'excitation et l'émotion vive accompagnée d'une phrase : « waoouuuuuuh je comprends maintenant ce que ça voulait dire ». Justement c'est le moment pour toi de comprendre, avant, tu ne pouvais pas comprendre. Tu étais comme mon père le disait toujours, « très jeune pour comprendre ».

Mes parents étaient comme des pervers ! ce n'est pas de l'insulte mais des qualificatifs. Pour mes parents, j'étais toujours très petits malgré mes 4 ans. Plusieurs fois je voyais ma mère s'habiller. Je n'allais pas vers elle, mais elle me trouvait où j'étais et ne se gênait pas de me demander de sortir quand j'étais dans la chambre. Elle pommadait son corps sensuellement comme font les femmes, elle mettait son string rouge. Je me rappelle lui avoir même demandé un jour brusquement : « Mama c'est quoi ça ? c'est un caleçon ça ? »

Elle m'aurait tapé si ça avait été une autre femme. Ou peut-être avoir honte et me chasser. Ma mère avait souri.

--- Oui papou c'est ce qu'on appelle du String.

--- Mes pourquoi c'est la corde ? ce n'est pas comme nos caleçon ? qu'est-ce que sa cache mama ?

Je crois que cette question lui aurait permis de comprendre que je n'étais plus très petit comme elle pensait. Je n'arrivais pas à comprendre comment le caleçon sensé couvrir toutes les fesses étaient désormais qu'un fil qui divise les fesses.

Ma mère avait ri. Elle cherchait une réponse normale et sensée dans sa tête pour me la balancer. Surement elle n'en trouvait pas.

--- Papou tu ne peux pas comprendre maintenant d'accord ? mais quand tu seras grand tu verras ça sur les filles. Mais sache que c'est mon caleçon et j'aime ça comme ça. Quand une femme marche devant un homme avec ça, l'homme l'aime beaucoup. Il se sent excité

--- Mama c'est quoi exciter ?

Je n'avais que 4 ans. A leur yeux, j'étais très petit.

--- Papou tu vas grandir tu vas savoir. Maintenant laisse-moi m'habiller et sortir. J'ai un rendez-vous ?

Je m'étais tu. Elle continuait de s'habiller sans gêne. Quand elle se tournait pour poser ses huiles de beauté, je pouvais voir ses seins. Elle portait son soutien et ses mini habits et s'en allait. Je voyais tout. Mais j'étais petit.

Je me rappelle encore de ce jour où j'étais rentré de l'école. J'étais à la maternelle grande section. J'avais trouvé la porte du salon ouverte et la télé allumée. De la chambre sortait ce que j'appelais autrefois des pleurs. Ma mère criait.

J'avais filé dans la chambre comme un superhéros prêt à sauver ma mère dans sa situation de détresse. J'avais vu mes parents nus et mon père dans une position d'animal. J'avais remarqué que cette position était comme la position du bouc lorsqu'il veut croiser la chèvre.

J'étais resté là pendant 2mn au moins et aucun d'eux n'avait remarqué ma présence. J'avais couru frapper mon père.

--- Laisse mama. Ne lui fais plus de mal. Laisse mama tranquille

--- Hey papou tu es rentré ? Va au salon j'arrive. Papa ne me fait pas du mal. Va au salon.

Elle me l'avait lancé ainsi. J'étais retourné au salon un peu déçu. Celle que je voulais sauver de mon père venait de me chasser.

Ma mère était revenue quelque temps après avec un foulard attaché à la poitrine.

--- Papou tu rentres et tu ne m'appelles pas ?

--- je suis rentré il n'y avait personne et j'ai cru que papa te tapait. Je suis venu pour te sauver

--- oh c'est gentil Papou. Mais papa ne me tapait pas. C'est comme ça que les grands jouent souvent ensemble. Désolé mon bébé.

Mon père ne m'avait rien dit. D'ailleurs je croyais même dans mes bas âges que mon père ne m'aimait pas. Il n'avait presque jamais mon temps.

C'est dans cet environnement que j'avais grandi. Voyant tout sans pudeur, et sauvegardant dans ma mémoire, des informations qui furent plus tard la base de ma chute.

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