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Ingride la désemparée

Ingride la désemparée

Sophia Story

5.0
avis
19
Vues
5
Chapitres

Chers lecteurs, je vous présente deux livres qui vous plongera dans l'univers de la romance. Livre 1:  Ingride la désemparée Livre 2 :  Ma jupe n'est pas une raison Livre 1:  Ingride la désemparée Prologue C'est l'histoire de ingride une jeune dame et mère célibataire tourmentée par les coups de la vie. Quand on dit coups de la vie, dans son cas ce sont des histoires d'amour, des histoires de coeur... Une jeune femme bien casée, outillée intellectuellement... un bon boulot, une vie de rêve... Mais un problème s'oppose à son bonheur, elle ne trouve pas l'amour... Malgré ses multiples recherches, ses propositions et autres... Elle se fait avoir à tout bout de champ... Livre 2 :  Ma jupe n'est pas une raison Prologue *Ma jupe n'est pas une raison* vous plonge dans un univers érotique audacieux qui défie les conventions. Suivez le parcours d'une femme séduisante et indépendante qui découvre que sa jupe, symbole de sa féminité, est bien plus qu'un simple vêtement. À travers des rencontres torrides et des passions débridées, elle explore les limites de ses désirs et s'affranchit des jugements d'autrui. Chaque page est une invitation à la sensualité, où l'ardeur et la liberté se mêlent dans une danse enivrante. Préparez-vous à être transporté dans un monde où l'érotisme s'affiche sans complexe et où chaque secret dévoilé est une promesse de plaisir. --- Bonne lecture à vous

Chapitre 1 01

Je m'appelle Ingride Amang fille mbamoise, j'ai 30ans. Je suis la première fille à mes parents d'une fratrie de 2 enfants dont je suis l'aînée, notre famille est plutôt modeste. Ma petite soeur Ines, une boule d'énergie a 20ans...

J'ai rapidement fait mes etudes, mes parents étaient très strictes sur l'éducation et surtout sur tout ce qui concernait l'école...

J'ai eu une grande chance dans ma vie d'être toujours meilleure en tout, j'étais la plus brillante par rapport à ma petite soeur peut-être parcequ'on mettait plus l'oeil sur moi qu'elle, j'étais son aînée de 10ans donc je me devais d'être l'exemple.

J'ai eu mon baccalauréat très jeune à l'âge de 16ans. Après mon baccalauréat mes parents ont voulu que je fasse le concours de la faculté de médecine... À mes 28ans, j'étais déjà médecin généraliste... j'ai eu ma première voiture après ma formation qui m'avait été offerte par mes parents...

L'année d'après j'avais décidé de prendre un appartement et surtout que j'exercais déjà mon metier à plein temps...

On m'affecte dans un hôpital de la place, un très grand hôpital où je fais la rencontre du père de ma fille... je fais la rencontre de ce monsieur elegant et beau un jour lors d'une reunion avec le directeur de l'hôpital. C'était un lundi matin il avait annoncé la reunion avec tout le personnel de l'hôpital...

J'avoue qu'au lycée j'avais déjà eu à flirter avec mes camarades mais c'était pas aussi fort que la relation avec Eric...

Il était un bel homme, il etait grand de taille, costaud, j'en bavais.... c'était surprenant que ça soit ma premiere fois de le voir à l'hôpital... je ne l'avais jamais vu, il etait très beau, très soigné, ça se voyait qu'il ne souffrait pas... mes questionnements n'avaient pas trop mis long dans mon cerveau... le directeur de l'hôpital avait fait des presentations, tout de suite je m'étais rendue compte que je n'avais pas prêté attention sur les autres puisqu'il n'était pas le seul nouveau...

Directeur : Bonjour Madame $ Monsieur, comme vous pouvez le constater, le gouvernement nous a envoyé d'autres medecins, après les multiples affectations, ceux devant nous aujourd'hui, vont se joindre à nous pour continuer à faire ce dont nous sommes payés qui est de sauver des vies. Parmi eux, nous avons, les généralistes, les pédiatres, les dentistes, les ORL... Ensemble nous leur montrerons le fonctionnement de l'hôpital...

-merci monsieur(tous en coeur )

J'avais remarqué que le monsieur avait un regard sur moi, il me devorait du regard, ce qui ne me laissait pas indifférente. J'avais vraiment eu un gros pincement de coeur pour lui, il était trop mignon et sexy. Ce premier jour il avait un joli costume carrelé, avec une paire de tennis blanche, pour un médecin, s'en etait un peu de trop je trouvais., puisqu'on passait la journée entière soit en blouse, soit en tenue d'hôpital. Bon je peux aussi comprendre, puisque de mon côté c'était ça mon mood aussi , je tenais un peu trop à mon image , je devais d'être toujours fraîche tous les matins en sorts de chez moi. ça aussi , j'étais toujours pétillante du haut de mes talons, toujours stylée, toujours raffinée et surtout bien parfumée.

Ça faisait de moi un médecin très convoité. Il y'avait des patients qui venaient juste pour me voir, d'autres signaient sur moi pour que je leur fasse la consultation. Je peux me le permettre j'étais très belle, élégante et surtout intelligente avec un charisme d'enfer. Chaque semaine je devais avoir avoir une nouvelle coiffure.

Déjà à la base, j'aimais les mini coupe que je faisais avec mes cheveux. Mais parfois je pouvais me décider à faire des tresses africaines que j'aimais bien. Surtout les tresses en chignon qui mettaient mon visage en valeur, mes jolies lèvres rose que mes patients passaient leur temps à scanner...

Quanf je vois Eric, je ne pouvais pas quand même aller vers lui directement, j'avais quand même une fierté a conserver, et surtout quand j'étais à l'hôpital, on me voyait seulement quand j'avais du travail. Mais quand je n'avais pas de patient en ma charge je restais dans mon bureau. Même cette éventualité était très rare car j'avais toujours les rendez-vous programmés.

La semaine s'était écoulée , il n'était pas venu vers moi, on se voyait juste de loin et d'un signe de la main on se saluait en tant que collègue...

Deux semaines plutard, j'avais déjà perdu tout espoir envisageable vis à vis de lui, je m'étais même dite que sûrement il est en couple, un si beau garçon ne pouvait pas être libre. Sa voiture seule montrait qu'il ne souffrait pas, qu'il etait sûrement dans une famille aisée. Il avait une brabus jaune neuve... je l'observais de loin, mais je ne m'approchais pas, ma dignité avant tout...

comme je disais tantôt, deux semaines plutard, je faisais une ronde à l'hôpital, bah je ne sais pas trop ce que je cherchais, j'entend les pleurs d'une petite fille... je m'avance pour voir ce qui se passe

-Bonjour Dr Amang

-bonjour Dr heuuu pourquoi elle pleure la petite?

-tu connais les enfants, elle a peur des injections, on lui a dit qu'on ne va pas l'injecter, mais elle continue à pleurer

-je vois, sa maman est où?

-à la caisse...

Je venais d'apprendre là en le voyant qu'il etait l'un des pédiatres de l'hôpital. À cet instant toujours j'étais un peu impressionnée par quelque chose, comment il avait fait pour savoir que c'est moi Dr Amang? Et s'il fouillait un peu dans ma vie? Et si je lui plaisais?

J'étais tellement heureuse avant de m'en rendre compte que ma tenue de l'hôpital portait mon nom en gros caractère., ce qui m'avait complètement déstabilisé.

Je suis restée là, j'ai bercé un peu la petite fille pour qu'elle se calme un peu, on s'est mise à jouer jusqu'à ce qu'il me dise

-vous avez des enfants ?

-pourquoi?

-la petite a arrêté de pleurer soudainement depuis ton arrivée

-baahhh je suis médecin quand même

-et moi je suis?

- désolée. Je n'en sais rien, j'ai juste joué avec elle. Tu sais les enfants sont comme ça, parfois il faut jouer un peu pour les destresser...

-c'est pourquoi je demande si vous avez des enfants?

-c'est pas important Dr...

-Dr Eric Mouelle ( en me tendant la main )

-un douala... enchanté Dr Eric... bon je vais dans mon bureau, à plutard

- Aurevoir....

J'étais heureuse, en plus c'était un douala, une tribu que j'adorais, je voulais vraiment me marier avec eux. J aimais bien leur langue, leur culture, leur manière de faire des choses y compris leur manière de se vêtir. Pour moi, c'était les beaux et séduisants de mon pays... kendall-AMG

La semaine s'était écoulée , on se disait juste bonjour et puis chacun retrouvait son travail.

La semaine d'après, j'étais dans mon bureau j'avais vraiment pas envie de sortir pour la pause. Subitement on frappe à ma porte

-Oui entrez

-Bonjour Dr., il est 13h30 l'heure de la pause, puis-je vous inviter?

-Bonjour, désolée j'ai du boulot, je ne prendrai pas ma pause aujourd'hui. Désolée vraiment et merci beaucoup...

-la pause c'est juste 1h30, on y va, et puis vous revenez, ou bien dès qu'on revient je me propose à vous aider...

-et si le Directeur vous trouve dans mon bureau? Vous avez des explications à cela?

-d'accord, si je comprend bien, vous me devez alors un restaurant

-pas de soucis, même ci c'est ce soir pas de problème pourvu que je finisse ce que j'ai faire aujourd'hui

-wawouuu ce soir? Genre après le travail?

-eeuuuhhhh ....

-non c'est déjà enregistré, on se dit à ce soir alors... j'y vais

- eeuu... d'ac d'accord

J'étais quand même un peu choquée que ce soit moi l'auteur du rendez-vous, qu'est ce qu'il allait penser de moi? Je suis juste une simple fille sans valeur ? Et surtout que ça se voyait dans mes yeux qu'il me plaisait énormément afin je crois..

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Ahhh le Ghana je ne m'en lasse pas de le dire et le redire est un pays magnifique, je ne sais pas pour avant, pour nos ancêtres où bien pour nos parents enfin peu importe quand même aujourd'hui le Ghana est l'un des pays le plus mouvementé coté show, c'est devenu un Disney land pour adultes mdrr, et je peux vous dire un truc, ce qui se passe au Ghana reste bien évidemment au Ghana, ici c'est toujours la fiesta, chacun fait comme bon lui semble, tu porte ce que tu veux personne ne te critique et c'est exactement ce que j'aime ici , dans cette ville ont ne sais plus si ont est le jour où la nuit, et devinez quoi? On s'en fou mdr par ce qu'on est tout le temps entre soirées VIP, casino, boite etc.... qu'on soit une femme ou un homme on s'en fou le mieux est de se lâcher et vivre comme ont se sent. Moi c'est David Éva j'ai 23 ans je suis fille unique de ma mère mais j'ai des demis frères et des demis soeur, ma mère m'a eu avec un autre homme avant son mariage donc comprennez déjà que je connais pas du tout mon vrai père, il à complètement disparu de nos vies et tant mieux par ce que s'il était là devant moi j'allais pas lui faire de cadeau, ma mère disait tout le temps qu'elle allait me faire changer de noms par ce que je m'appelle exactement comme la mère de son nouveau mari, mdr elles ne s'entendent pas bien, mon beau père est en quelque sorte un fils à maman, ma mère disait qu'elle le surveillait comme du lait sur le feu, et même le jour de leur mariage elle a tout fait pour avoir une chambre qui est en collision avec leurs chambres, et dès qu'elle entendait des gémissements elle entrait brusquement dans leur chambre pour voir ce qui se passe 😂... Bref fini les grâce matinées, l'université commence demain et pour dire vrai je n'ai vraiment pas envie tellement c'était bien les vacances.... Je vous laisse découvrir la suite de mon histoire dans le tome 1 Je profite de l'occasion pour laisser aussi le tome 2 ici 👇 Bonne lecture à vous

Coup de coeur: Mon Histoire

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5.0

Ça fait combien de jours que je suis plus sorti? Aucune idée mais assez longtemps vu l'état pitoyable de ma chambre. Assiette sale versés de part dans la maison ; des habits sale et la télévision qui était toujours allumé sur une seule chaîne et que je prenais jamais la peine de regarder le tout accompagné d'une musique forte emplissant la chambre et d'une porte toujours fermé fuyant toute visite. Une douleur atroce m'empoigne le cœur. Je ne saurais vous décrire cette douleur mais j'ai atrocement mal et je sens que cette douleur sera inguérissable vu l'état des choses. Que dois-je faire ? Aucune idée mais plus j'y pense plus j'ai mal. Mounira ! Mounira ! Ce nom comment l'oublier après tant de bonheur vécu auprès d'elle ? Comment après avoir vécu un cour instant de bonheur. Que s'est-il passé? Comment suis je devenu son ennemi maintenant or elle ne jurait que par mon nom autrefois ? Comment ? Tant de questions que je me posait assis dans ma chambre. J'ai beau me convaincre qu'il existait plusieurs filles dehors, que je n'en manquerai de trouver plus belle qu'elle ; mais l'on ne connait que l'amour de sa vie une seule fois, oui son vrai amour n'apparaît qu'une seule fois et moi j'ai laissé filer le mien comme un sombre idiot ! Et j'ai grave déconner. Non! de quoi me reproches-t'on? Suis-je ce monstre que l'on accuse tant dans l'histoire ? Je refuse cette appellation!! Je suis juste un fautif de l'histoire. Je m'en fou du fait qu'on me traite d'orgueilleux , vantard, superstitieux, et arrogant d'ailleurs il fut un temps je m'en vantais de ces qualités. Les gens m'avaient dit combien de fois c'était mauvais bla bla...mais moi je trouve pas mal le fait que tu te sentes supérieur aux autres et de vouloir extendre ta domination. J'ai mal mais je suis trop orgueilleux pour le dire du moins le faire ressentir. C'est dès lors que je comprends que ces amis avaient raison en me disant cela, et j'aurais dû vraiment les écouter. Si seulement je savais. Mais vu l'état des choses trop tard pour faire marche arrière. Et ma fierté m'empêchait strictement. J'ai grave laa rage dès que je vois sa photo enfin nos photos lorsque nous étions encore ensemble. mais que faire ? Je suis trop orgueilleux peut-être pour me rabaisser et je crois c'est ça qui me ferait mourir de chagrin. «Un homme ça pleure pas njoya! » Allez soit courageux me chante Sans cesse ma conscience» Mais avant que vous donnez votre avis, il est important que je vous situe sur l'histoire, avant de me juger, il est important que je vous fasse part des détails de cette mélancolie que je vis actuellement. Ouais en ce temps j'étais en ma troisième année en classe de Terminale, c'est à dire que j'avais échoué le Baccalauréat deux fois et je tentais ainsi ma troisième chance en classe de Terminale (A4 Allemand) Je vivais en ce temps dans la ville de Foumban : la cité des arts une des grandes métropoles du Cameroun! Et je fréquentais le Lycée bilingue de Foumban, l'un des meilleurs lycées du pays sans doute. Mes parents avaient loués une chambre pour moi dans une cité non loin du lycée et mon cousin Farel venait d'arriver dans la ville et fut logé ainsi dans ma chambre. Ce qui fait que nous devons des meilleurs potes. Jamais l'un sans l'autre, des complices les plus proches pas comme ces ennemis ou bien des personnes froides que nous étions devenus. Maintenant même le mot ennemi ne signifie à nous décrire, tellement nous avons la haine pour chacun ! Et si nous faisons un retour dans l'histoire pour que vous soyez situés ? Alors suivez l'histoire de Coup de cœur ; une histoire peut-être vrai mais tellement incroyable. Je vous reviens pour que vous me faites part de vos avis !!

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