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Stella, une jeune infirmière de 25 ans, prend enfin des vacances après plusieurs années à travailler d'arrache-pied pour se permettre une semaine loin de tout. Elle qui adorait le camping dans sa jeunesse, c'est tout naturel qu'elle se prenne donc un petit chalet dans la forêt pour une semaine. Mais un soir des coups de feux vont tout basculer à sa petite vie et surtout l'apparition d'un homme blesser dans son chalet. Que va faire Stella ? Qui est cet homme ?

Chapitre 1 Chapitre 1

Je les fait.

Tout est au point pour que je passe une semaine géniale.

De la bouffe plein les placards, des livres, mon enceinte Bluetooth et mes pyjamas plaides. Et un chalet de loué.

Après avoir économiser quatre putains d'années, je suis fière de me louer ce chalet dans la forêt avec tout le confort nécessaire pour une fille. Clés en main, je sors de ma voiture que je viens de garer devant le chalet puis soulève ma valise jusqu'à la porte. Je sautillerais bien de joie mais avec la valise dans une main et les clés dans l'autre, je me dis que cela attendra. J'ouvre la porte avec un gros sourire de gosse puis passe le seuil en regardant tous les détails que j'avais vu en photo.

Ouais, une belle baie vitrée qui donne sur le salon avec un beau canapé en U devant une cheminer. Des tapis aux sols pour se trimballer pied nue sans problème. Une cuisine équipée ouverte au salon avec un belle îlot centrale pour avoir de la place pour manger et pour cuisiner en prenant de la place mais large quoi. Un coin buanderie est installer dans un cagibi avec une étagère à provision. En revenant au salon j'enlève mes chaussures et mes chaussettes et sautille en sentant la chaleur des tapis sous mes pieds puis fais ma danse de la joie. Je monte à l'étage et pose la valise dans une des deux chambres disponibles. Je visite la salle de bain dans le couloir avec la belle baignoire à pied qui me fait carrément de l'œil.

Par pur professionnalisme je regarde dans le placard à la recherche d'une trousse de soin. On ne sait jamais, seul dans une forêt, je dois être prête à toute situation. Bon je vais commencer par ranger mes affaires comme ça je pourrais faire un petit tour dehors avant de rentré pour faire à manger. Trois aller et retour dans la salle de bain et tout est ranger. Je descends les escaliers avec mon enceinte que je pose dans la cuisine puis remet mes chaussettes et mes chaussures en mettant ensuite ma veste puis sortie dehors.

Je ne vais pas aller très loin, rassurez-vous mais je veux réaliser que je suis dans une forêt toute seule et donc je me pose sur une grosse pierre. Je vérifie que le chalet est à porter de vu derrière moi et me concentre sur le devant. Le vent frais dans mes cheveux, le silence de circulation qu'on retrouve en ville et qu'il n'y a pas ici. Le chant des oiseaux, le bruit des feuilles qui vole. Tout cela me détend et j'inspire un bon bol d'air. Je tousse un peu ayant trop d'air d'un coup.

Merci mon asthme. Trop sympa de gâcher mon moment. Comme si mon diabète ne suffisait pas.

Une penser pour mes collègues se fait. C'est eux qui mon pousser à prendre des vacances, après avoir étais agresser par un patient alcoolisé, il y a 3 semaines, je m'en suis sortie sans trop de bobo mais j'ai fait pas mal de cauchemar et bien que je vais mieux, me faire changer de lieux ne pouvait que mettre bénéfique. J'ai une super équipe avec qui je travaille et avec qui je m'entend hyper bien à telle point que nous nous sommes arranger d'être trois ou plus si nous avons de la chance dans les mêmes services. Vu que le chef de service est un ami. Nous arrivons à avoir des moments entre nous hors de l'hôpital pour sortir de se lieux. J'aime mon travail de tout mon cœur mais je n'avais pas conscience que j'avais passé les 4 dernières années à travailler et rentré chez moi la plupart du temps.

Nelly, Carla et Cindy sont mes acolytes, nous sommes chacune dans des domaines différents ce qui nous permet plus facilement d'être ensemble pendant nos services. On se rejoint en salle de pause commune ou plus fréquemment à la cafétéria pour dévaliser les pâtisseries mais les moments que chacune d'entre nous attende est d'aller en néonatalogie pour câliner les petits bébés et ceux abandonner encore plus.

Que j'aime mon métier. Il n'y a pas plus beaux métiers aux mondes que de sauver des vies et d'en voir naître. Même si le cas inverse arrive. Je suis spécialisé dans la pédiatrie, grands et jeunes enfants sont mon dada. Et bien que certains soit des têtes brûler, il suffit d'un peu de patience et de fermeté dans certain cas. J'adore ravoir des nouvelles de mes patients après une longue hospitalisation où après avoir aidez à une naissance. Ça fait toujours plaisir et chaud au cœur.

Je me souviendrai toujours de cette maman qui est sortie de sa chambre les seins à l'air parce que son bébé ses étouffer en tétant et elle est sortie affoler pour nous appeler sans se préoccuper d'elle un seul instant. La petite fille qui après avoir repris des couleurs ses calmer que quand sa maman l'a prise à bras pour la câliner. Un très beau moment j'ai vécu ce soir-là.

C'est avec un sourire aux lèvres que je descends de mon perchoir pour rentrer. Sifflotant une mélodie, je ne voie pas tout de suite mais quelqu'un me suit. En me tournant après avoir entendu une branche craquer, je fonds en voyant un petit louveteau.

Je me retiens de crier de joie et me baisse en tendant la main.

- Coucou petit loup.

Il ne bouge plus mais sa tête s'avance jusqu'à ma main pour la renifler. Sa petite truffe mouiller me chatouille et je me retiens de rire

- Tu es trop mignon, dis-je d'une voix aiguë.

Le petit arrête de renifler et me regarde la tête pencher. Ouais j'ai l'air d'une folle je crois.

Le pauvre.

Je me relève puis recule vers la porte pour le rassurer.

- Si tu m'attends une minute, je reviens avec quelque chose à manger.

Vu qu'il ne bouge pas, je rentre en vitesse puis vais dans la cuisine, ouvrir le frigo afin de choper une tranche de jambon et ressort doucement. Le petit loup recule mais ne part pas. Je me demande où est sa mère ? Normalement les loups sont très protecteurs avec leurs petits. Je déchire un bout de jambon et le pose sur une petite pierre assez plate. Je recule pour qu'il s'avance et après avoir renifler le jambon, le mange je voie bien ses petites dents pointues pour son jeune âge. Je déchire un autre bout et lui donne puis un autres et un autre et arrive le dernier bout.

- Voilà tu as tout manger.

A ce moment-là un hurlement se fait et le petit relève la tête et les oreilles puis s'enfuit à toute vitesse. Sa maman l'appelle je pense. Rassurer je rentre en fermant à double tour puis vais dans la cuisine pour me faire des pâtes bolognaises, un de mes plats préférés et après j'irais me blottir sur le canapé avec un bon livre et la cheminer en marche.

Sauf que la préparation de la nourriture se fais en musique chez moi.

Donc que la musique fut.

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