Theron Blackwood
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Livre et Histoire de Theron Blackwood
Innocence brûlée : l'ascension d'une fille adoptive trahie
Horreur Quand l'inondation a englouti notre maison, mon frère et mon mari ont tous deux choisi de sauver Cathryn Andrews.
C'était la fille de notre famille perdue pendant de longues années et retrouvée tout récemment.
Ma jambe droite a été fracturée après son choc intentionnel et brutal.
Pendant qu'on me secourait, j'ai vu Cathryn sangloter dans les bras de mon mari.
« Harlee n'arrête pas de me pousser, elle essaie de me noyer dans le flot. »
Quand ils ont entendu ça, mon mari et mon frère m'ont regardée d'un air sombre sur la civière.
« Harlee, tu as volé la vie de Cathryn pendant tant d'années, et maintenant tu veux encore lui faire du mal ! »
Mon frère, Kaiden Foster, s'est moqué de moi, tandis que mon mari, Jared Reed, protégeait tendrement Cathryn dans ses bras.
Ils ont échangé deux mots, ont ramassé des pierres à côté et se sont approchés de moi. « Il semble que nous t'ayons trop gâtée au fil des années, Harlee. Peut-être que ça te fera réfléchir. »
Leurs visages menaçants m'étaient inconnus.
J'ai lutté désespérément, mais on m'a clouée au sol.
Quand je les ai vus lever les pierres, prêtes à m'écraser la jambe, j'ai fermé les yeux.
Je devais partir ! Vous aimerez peut-être
Le Lion de mon Mari a Mangé mon Fils
Haven Moss Mon mari est un dresseur d'animaux de renommée mondiale qui dirige un célèbre parc animalier exotique. Même les bêtes les plus féroces deviennent aussi dociles que des chatons en sa présence.
Mais le jour où il a emmené notre fils visiter le parc animalier, son lion préféré s'est soudainement échappé de sa cage et a avalé notre enfant tout entier.
À la morgue, je me suis accrochée au corps mutilé de mon fils, pleurant jusqu'à m'évanouir, tandis qu'il se précipitait au zoo le soir même pour calmer le lion effrayé.
« Le jeune lion est généralement très bien élevé ; c'était un accident. »
« Chacun a son destin. Je suis également désolé, mais la personne est partie, et nous devons aller de l'avant. »
Jusqu'à ce que je voie sur les images de vidéosurveillance qu'il serrait dans ses bras la nouvelle gardienne et lui murmurait :
« Chérie, ce n'est pas ta faute si tu n'as pas signalé à temps la cage endommagée. Tout le monde au zoo risque de se blesser ; c'est juste de la malchance, année après année. »
À ce moment-là, mon sang s'est glacé.
Il s'est avéré que celui qui avait tué mon fils était le père qu'il admirait le plus.
J'ai éteint les caméras de surveillance et j'ai donné gratuitement le petit lion, dont mon mari était si fier, au zoo national.
Puis j'ai envoyé la photo de mon fils à tous mes frères de la pègre :
« Faites payer le prix à cet homme et à cette femme. » L'Affaire Darlene : Scandale au CROUS
Gavin Ma colocataire, Darlene, menait une vie privée chaotique qui ne m'affectait pas vraiment, jusqu'à ce matin.
L'université a annoncé un dépistage obligatoire des IST, et son visage a viré au blanc.
Puis elle a disparu pendant trois jours, ignorant tous ses cours, avant de revenir la nuit.
Je l'ai surprise à toucher ma bouteille d'eau réutilisable, le sourire étrange, le cou couvert d'étranges marques rouges.
Un sentiment de dégoût profond m'a envahie, j'ai jeté ma propre bouteille, horrifiée par l'idée qu'elle ait pu contaminer mon eau.
Son comportement, les taches sur sa peau, mon intuition me criaient qu'elle avait attrapé quelque chose.
Les soupçons devinrent une certitude menaçante.
J'ai tendu un piège pour la faire passer au dépistage, elle a paniqué et a sauté du deuxième étage, filmée sous tous les angles.
La photo est devenue virale, détruisant sa réputation en un instant.
Mais le lendemain, la vengeance de Darlene a frappé plus fort : une convocation disciplinaire pour harcèlement, signée par le Professeur Palmer.
Mon avenir était menacé, et je me suis souvenue d'une scène humiliante, Darlene essayant de me prendre en photo en soutien-gorge pour lui.
Palmer était son protecteur, son allié dans la corruption, validant ses semestres malgré ses absences.
Il a orchestré une humiliation publique en plein cours magistral, la faisant apparaître "saine" avec un faux rapport médical, faisant de moi la harceleuse.
Je me suis retrouvée acculée, une risée pour tout le monde, la justice piétinée.
J'ai souri, sentant la rage bouillir et une idée folle germer.
Ils voulaient faire du bruit ? J'allais faire un vacarme assourdissant.
J'ai feint la repentance, jouant la victime, pour mieux les laisser s'enfoncer.
J'ai enregistré Palmer et Darlene en plein acte dans son bureau, puis j'ai filmé la scène par la fenêtre.
Mon plan de vengeance, conçu avec une froide précision, était en marche. L'épouse et la bête: une tragédie
Gavin Ma femme, Sophie, tenait notre petit Loulou de Poméranie, Flocon, et le regardait avec une haine pure, son visage se tordant de dégoût.
« Tais-toi, sale bête. »
Sa voix était aussi glaciale que le marbre du manoir. Puis, sous mes yeux horrifiés, elle a levé son pied, armé d' un stiletto, et l' a abattu sur le corps de notre pauvre chien. Un cri strident, un son d' os brisés, puis le silence.
Avant que je ne puisse réagir, les gardes du corps de Sophie m' ont traîné. Alors que j' étais enfermé dans la cave, ses deux chiens, des Dogues de Bordeaux massifs, sont apparus de l' ombre, leurs crocs luisants de bave.
J' ai entendu la voix de Sophie de l' autre côté de la porte. « Tu aimes tant les chiens, n' est-ce pas, mon chéri ? Eh bien, tu vas en avoir assez. »
Puis, l' horreur. Des morsures partout, mes cris d' agonie ignorés. J' ai été dévoré, et mon fantôme, désormais invisible, a été forcé de regarder Sophie annoncer ma disparition comme une simple fugue.
Elle a accusé Marc, son amour d' enfance prétendument fragile, de « déni obstiné », d' une manipulation grossière de ma part.
Devenu un esprit errant dans ma propre maison, je l' ai vue déformer la réalité, me dépeignant comme un monstre, tandis qu' elle planifiait de s' emparer de mon héritage et de mon chenil. Le plus choquant, c' est qu' elle s' apprêtait à tuer d' autres de mes chiens pour « soigner » le faux mal de Marc. Comment a-t-elle pu devenir cette bête ?
Mon grand-père, Gérard Dubois, est arrivé, ce grand dresseur, un homme qui lisait les chiens comme des livres. Il a décelé la vérité dans les yeux des molosses de Sophie, révélant la monstruosité de la situation.
Il l' a regardée de haut, sans la moindre pitié: « Débarrassez-moi de ce vieillard sénile. »
Chassé, mais avec un regard de promesse froide, il s' est juré de me venger.
Le déni de Sophie s' est enfin brisé devant mon corps mutilé. Son monde s' est effondré quand elle a découvert que Marc l' avait trahie. Sa folie a alors atteint son paroxysme.
Je l' ai vue, tenant un couteau, son visage maculé de sang, vider Marc de son cœur, puis faire de même avec sa complice. La folie succède à la folie, et je sens l' écho de mon propre supplice dans la violence qu' elle déchaîne.
Elle voulait se « faire pardonner » auprès de mon grand-père, lui apporter ces cœurs comme des trophées morbides.
Je l' ai observée, incapable de détourner les yeux alors que la batte de baseball s' abattait sur elle, brisant ses os un par un. Mon grand-père, le « meilleur dresseur », la réduisant à l' état de bête qu' elle méprisait tant.
Le poids de ma rage et de ma douleur s' est dissipé. J' étais enfin libéré. Le Parfum du Sang et de la Vengeance
Gavin Enceinte de neuf mois, j'attendais avec impatience la naissance de notre enfant, espérant qu'il ranimerait la flamme de notre foyer avec Robert.
La veille de mon accouchement, alors que je pensais mon mari en voyage, j'ai été brutalement arrachée de mon lit, les pieds nus dans la boue d'une forêt sinistre.
Un collier électrique autour du cou, vêtue d'une simple chemise de nuit, j'ai été forcée de participer à un "jeu" macabre orchestré par Robert et sa maîtresse, Sariah, sous les yeux des caméras.
J'ai hurlé son nom, mais il a ordonné que je sois électrocutée, me forçant à accoucher dans la douleur la plus atroce au milieu de ce spectacle inhumain.
Ma petite fille, notre enfant, a été étouffée sous mes yeux après sa naissance, un silence assourdissant remplaçant son premier vagissement, avant que mon monde ne bascule dans le noir.
Plus tard, je me suis réveillée de mon coma grâce à la tentative de Sariah de me débrancher, mais ce n'était plus la même femme qui ouvrait les yeux.
Mon bourreau et ma quasi-assassine étaient face à moi, et la haine glaciale que je leur portais s'est transformée en un désir silencieux et inébranlable de justice, scellant le destin de ceux qui avaient anéanti ma vie. El cùcùy ou l'esprit vengeur
Moya Aviez-vous déjà entendu l'histoire de "El cùcùy", la créature du folklore hispanique qui punirait les petits enfants enfants désobéissants ?
Et bien ce livre vous parle l'autre face de l'histoire. Celle réinventée rien que pour vous, dans le but de vous faire voyager à travers l'imaginaire.
La legende raconte que si deux âmes peinées, blessées et meurtries accomplissent ensemble un rituel sacré, à la pleine lune, El cùcùy sortirait des profodeurs de l'enfer, les yeux rouges comme du sang, les griffes longues, affilés comme des couteaux, l'haleine puante la chaire fraîche, les dents pointures et acérées commes des lames de rasoir, pour venger ces personnes.
Ce rituel à été accompli par Rafaël et Julia qui souffraient de la perte que leur avait causé l'évolution rapide de la délinquence à Big city. Ce qu'ils ignoraient c'est que rien ne s'obtient gratuitement ici bas. Pour chaque acte posé, un prix à payer. Sympathiser avec une force du mal revient à tenir une épée à double tranchant.
Prenez garde! Prenez garde chers visiteurs! Car dans la nuit noire, El cùcùy arpente les rues de Big city, à la recherche d'un malfecteur sur qui déverser toute sa soif de vengeance. Cruauté Maternelle, Vengeance Paternelle
Gavin Mon cœur a bondi de fierté en apprenant que Léa, ma fille talentueuse, était sélectionnée pour Venise.
Mais l'appel à mon ex-femme Sophie a brisé ce rêve en éclats: elle m'a avoué avoir enfermé Léa dans un entrepôt isolé.
Quand je suis arrivé, c'était l'horreur: Sophie, son nouveau compagnon Marc, et même Chloé, sa nièce choyée, la regardaient trembler de froid, bâillonnée avec un morceau de pain.
Impardonnable. Incompréhensible. Comment une mère peut-elle faire ça? Pourquoi tant de cruauté ?
J'ai tenté d'appeler à l'aide, mais Marc, ce manipulateur, a étouffé l'affaire, laissant ma fille mourir dans le noir.
À mon réveil, l' entrepôt était baigné dans une lumière crue : Léa ne respirait plus. Son visage bleu, et dans sa bouche… le morceau de pain.
Ce n'était pas un accident. C'était un acte de barbarie calculé, délibéré.
Le monde s'est effondré, mais au fond de mon désespoir, une étincelle s'est allumée.
Je me suis relevé, non pour me lamenter, mais pour exiger justice.
Je ferais payer ceux qui m'ont pris ma fille. Ma vengeance ne ferait que commencer. Le garage recelait ses secrets
Gavin Six mois après notre mariage, mon mari, Adam, a décrété que le garage était sa zone interdite. Il appelait ça son « espace de création », mais c'était ma maison, achetée avec l'héritage de ma grand-mère, et sa froideur soudaine était une véritable agression.
Bientôt, le secret est devenu une prison. Il a commencé à me menotter au lit la nuit, m'enchaînant comme une bête pour pouvoir se faufiler jusqu'à son précieux garage pendant que je dormais.
Quand je l'ai confronté, il a pisté mon téléphone, m'a frappée en plein visage et a menacé de prendre la moitié de ma maison si je divorçais. C'était un monstre avec le visage de mon mari, et j'étais piégée avec lui.
Une nuit, après avoir crocheté la serrure, je suis descendue sur la pointe des pieds et j'ai entendu des voix. C'était Adam et son frère, un fugitif qui avait tué une famille entière dans un accident avec délit de fuite. J'ai entendu son frère menacer de « s'occuper » de moi.
Le lendemain matin, j'ai souri et j'ai préparé à mon mari son petit-déjeuner préféré. Mais en lui servant ses pancakes, j'ai ajouté un ingrédient spécial : un laxatif surpuissant, assez pour l'envoyer directement aux urgences. Il pensait m'avoir coincée. Il n'avait aucune idée que j'étais sur le point de réduire son monde en cendres.