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Lizzie Yassini

Les livres d'Lizzie Yassini(7)

Marié par accident à un milliardaire

Marié par accident à un milliardaire

Nouvelle
5.0
Je sors une cigarette et la place entre mes lèvres. J’espère avoir apporté mon briquet, me dis-je en tâtant les poches de mon pantalon. Je le trouve au bout de quelques minutes lorsque mon irritation a déjà fait une montée fulgurante. Je porte le briquet à mes lèvres et protège mon bijou le plus précieux du vent qui souffle. Alors que la flamme allait embraser le bout de la cigarette pour délivrer mon être de ce supplice, quelqu’un me bouscule férocement, ce qui secoue mon précieux qui échoue lamentablement sur le sol. Comme si cela ne suffisait pas, je vois une semelle d’escarpins écraser l’objet de mes désirs du moment. Une veine se dessine immédiatement sur mon crâne.— Vous avez l’intention de vous excuser, j’espère ! dis-je d’une voix sonore sans lever les yeux sur l’individu à l’origine de mon mal de crâne soudain.— Pardon ? répond une voix féminine.Je lève enfin les yeux et me retrouve face à une fille à la gueule d’ange, mais dont l’apparence contraste fortement avec l’innocence qu’elle dégage. Je la détaille du regard. Elle est de taille moyenne, ni trop grosse, ni trop chétive. Des formes bien marquées qui ne sont en rien dissimulées par cette mini-jupe. Elle laisserait apparaître son dessous au moindre mouvement. Elle ne porte pas de T-shirt, du moins je le pense, puisqu’elle a cette sorte de bout de tissu autour de la poitrine qui couvre à peine sa paire de nichons. Son ventre est nu, elle est trop maquillée et ses talons aiguilles sont beaucoup trop hauts.Elle s’arrête et me donne toute son attention. Oh ! elle attend probablement que je me répète, ce que je déteste évidemment ! Surtout quand quelqu’un vient perturber ma tranquillité d’esprit. Je fais quelques pas de plus vers elle afin d’annuler les quelques mètres qui nous séparent. Ma taille d’un mètre quatre-vingt-sept la domine aisément. Je la fixe dans les yeux afin qu’elle puisse lire mon irritation.— Excusez-vous ! J’exige à quelques millimètres de son visage.Elle me dévisage, peu coopérative. Je rêve où elle ose me défier avec sa bouille de bébé ? J’ai l’impression d’avoir une mouche orgueilleuse devant la Majesté d’un lion. Et comme si son air hautain ne suffisait pas, elle esquisse un sourire narquois qui me délivre directement le « va te faire foutre » qui ne franchit pourtant pas la barrière de ses lèvres.— J’ai dit, excusez-vous ! répété-je en me rapprochant de plus belle.— NON ! souffle-t-elle tout simplement, me décontenançant au passage. L’homme qui me donnera des ordres n’a pas encore vu le jour, ajoute-t-elle effrontément.
Le sacrifice de l'amour

Le sacrifice de l'amour

Milliardaire
4.9
Dans le quartier résidentiel West Brunswick Il était dix heures du soir. J'ai ouvert la porte et je suis entrée dans une maison J'ai allumé les lumières Les lumières du lustre en cristal de la chambre d'amis ont projeté mon ombre sur les fenêtres du sol au plafond Cette maison serait mon domicile conjugal demain Et mon fiancé Perry Bart, directeur de département d'une entreprise, était beau et attentionné J'avais beaucoup de chance d'avoir rencontré un tel homme dans ma vie Selon les traditions du mariage , nous ne pouvions pas nous voir la nuit précédant le mariage Perry était dans notre domicile conjugal tandis que je vivais dans la maison de ma meilleure amie Liliana Avant d'aller me coucher, j'avais vérifié les choses dont j'aurais besoin le lendemain et j'avais découvert que j'avais oublié mon voile de mariée dans notre domicile conjugal J'étais donc rentrée discrètement dans cette maison sans appeler Perry à l'avance, juste pour le surprendre En pensant qu'après demain , Perry et moi réussissions à vivre heureux ensemble pour toujours , j'étais toute souriante J'ai mis mes pantoufles et je suis dirigé vers le salon En marchant, j'ai entendu des gémissements de plaisir d'une femme . J'étais choquée La porte de la chambre principale était entrouverte Et la voix féminine en est sortie Soudain, j'ai senti un feu furieux brûler en moi, et mes jambes étaient engourdies Mais je me suis quand même approchée involontairement Debout devant la porte, je pouvais clairement entendre les cris de jouissance à l'intérieur, ils devenaient de plus en plus clairs, et à chaque cri mon cœur se serrait fort La porte était à peine fermée J'ai poussé légèrement la porte et elle s'est ouverte J'ai vu des talons hauts, des sous vêtements et des bas d'une femme sur le sol Il était difficile éparpillé de ne pas imaginer des choses quand je voyais cela. J'ai supporté de force ma colère et ma panique et j'ai regardé vers le lit Un seul regard et le chagrin d'amour ont failli m'étouffe