Au delà de mes sentiments
OL
que. La coiffure aussi était splendide. Je forçai un sourire aux deux femmes pour ne pas injustement dénigrer leur travail. Elles ne m’ont rien fait. Je me retournai pour regarder une fois de plus mon reflet dans ce miroir gigantesq
finis avec l
a alors complètement dans la pièce. Une belle femme Ewondo (ethnie Cameroun) de 45 ans. Elle portait un tailleur-jupe mauve ainsi qu’un grand
la qu’elle m’appelle affectueusement) le grand
ent les seins nues et était vêtue uniquement d’un boxer; histoire d’être à mon aise. Elle m’aida à enfiler ma robe bustier couleur blanc cassé, presque belge. On ne parlait pas. Ah oui
: ma
urant): sn
. La voir pleurer me fend le cœur. Je donnerais tout pou
plait, tu sais que je n‘aime pas te
a ne devrait pas juste être un maria
lle me prit la tête en mettant ses
gard est gris alors que tu devrais être heureuse. Qu’est ce que cet homme t-a
pour tout dire, v
Murielle… M
appelait. Elle me fit
: J’
le ne l’avait pas fait, j’aurais tout dis mais c’Est trop risqué. Je resta
: en
que tu ne demandais pas l’identité de la
(pas la souris hein. Faut prononcer e
, depuis quand le bandi
: ah, c’est au
i et me fis une bis
rer tes fesses le jour de ton mariage.
ait tellement longtemps que je n’avais plus ris comme ça. Il finit d’arran
u t’apprête à épouser pour moi ne te mérite. Je ne saurais te dire exactement pourquoi, je le sais
dans cette chambre, en clignant les yeux pour ne pas pleu
tremblante) :
n’as pas besoin de me r
uvrit soudai
hein. Weeh les deux si, même le jour de son mariage tu ne p
mon
) : désolé ma
bise sur le fr
et s’assit à la même p
lors, on
:
) : hein? Parti
personne où tu vas. Je t’appellerais mais toi, tu ne dois jamais le faire. Vas à la maison, dans
me fais peur ma Laur
x pas que tu me vois
confiance et pa
xpliquer mais je me contentais de lui dire de me fa
ire trist
ste au moment où une de mes
c’est l’heure.
Après que les demoiselles d’honneurs soient passées, je suivis sur les premières notes de la marche nuptiale. Je regardais devant moi, plus précisément Mickey, je ne voulais pas LE regarder alors, je me conce
arriva à LA partir cruciale. Celle qui devait celer mon destin. Allez Laurie, encore un pe
out de suite, vous le devinerez) accepter vous de prendre po
ant) : oui
n avec
gars es
ouffées de chaleurs.
is et des applaudissement
us prendre monsieur **** (j’ai dit vous allez deviner aka) pour é
me ramena à la réalité. Je baissai mes yeux vers celles si. Elles étaient déjà rouges à cause de la pression qu’IL exerçait sur mes mains. Je levais mon regard vers lui. Il me regardait durement et les yeux menaçants. Je tournais mon regard vers Mickey qui étai
(bruit de coup) dégag
e à sacrifier ainsi ma vie. NON. J’entrai dans la voiture où il y avait Écrit ‘’ jeunes mariés’’ une fois sortit de la concession. Les gardes qu’il avait employés pour me surveiller essay
âce au gardien. J’atteignais à peine la véranda quand je me sentis propulsée vers l’arrièr
C’Est moi que tu veux humilier
ments de douleur et ses cris de rage me ramenaient à la réalité. J’attendais la fin. Que ce soit des coups ou de ma souffrance mais j’attendais la fin. On m’a toujours dit que rie
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