Strangers
jambes annonçaient l'approche d'un été attendu comme toutes les années, avec impatience. Neuf mois de torture, assise derrière un bureau qui n'était même pas le mien, il avait fallu s'
emanda ma mère en déposant deux verre
e sur mes jambes. Je me penchais pour attraper le verre déposé à mo
n frère pour un tournoi, il
ire à son tour puis d'ouvrir son
ais été pour elle. Tout ce qui touchait à Jane se transformait en source de bonheur, un vrai rayon de soleil qui rendai
e plus mon chargeur.
me rappeler qu'il est né avant moi et à venir squatter ma chambre car d'après lui, mon matelas est meilleur que le sien. C'es
hargeur chéri
quelque chose, toujours demande
on chargeur ? me demanda-t-il
ers lui quelques seco
ssantes et mon génie incontesté, je suppose qu'il doit être
a pour dire "pas bête" ava
lit dans ta chambre, dit
, lui répondis-je en
mais je savais qu'e
tard chargeur en main et ébouriffa mes
e merde, ca
a ma mère, fauss
s amis sur la crique pour célébrer la fin des études. Ce que j'entendais moi c'était: " Je vais rejo
a dans l'allée et le voilà
*
qu'offrait le soleil. Les yeux clos et le corps détendu, je laissai mon esprit s'abandonner à tout un tas de choses a
aux régionales. On se rejoi
t que je réponde. L'ennui quand vous êtes occupé à ne rien faire pendant un long m
ial ! Oui,
ongtemps et j'éteignis mon téléphone avant de m
nséparables depuis. Notre trio était formé depuis bien longtemps déjà et notre
r un appel d'offre assez important et je dois le pe
ord. Et
cette semaine. Quand tu re
d'ac
a maison n'était pas climatisée, je pense hon
tique qui retenait mes cheveux en chignon et les laissai tomber sur mes épaules. Le miroir me tint têt
*
ues de Jane et je vins m'ass
cée pour déjeuner, histoire de bien commencer la semaine. On se racontait nos week
st pas là ?
e sais pas
Me
la seule personne que je connaissais qui s'entendait avec son frère. Elle et lui s'aimaient inconditionnellement et j
dit-elle en fin
et'
ochai de ne pas m'être plus habillée. En arrivant au lycée la sonnerie retentit annonçant le début de la journée. La masse d'
à ? demandai-
Ma
upe
regard et débutai une excursion à travers la foule pour atteindre les es
venir deux minute
ns moi, ce qu'elle fit après m'a
la chaise face à moi, une autre fille de mon âge bougeait nerveusement la jambe. Elle abordait une expression entre l'agacement et la nervosité. Ses cheveux foncés étaient relevés en chignon, dégagea
temps ils vont encore
ute sympathie du premier abord. Je n'avais jamais vu que
ngtemps
e et sa jambe rep
? demandai-j
garda à droite et à
je suis convo
nt, t'as
rappé qu
-je, ça s
l'avait
é c'est que personne ne méritait d'être malmené, même pas la pire de
bien. N'aggrave juste pas ton cas en t'éne
e le coin attente. Elle se recula sur
obablemen
es silencieusement
Ca
Em
clair. La po
? Viens
rveillant. Quand je sortirai, elle ne sera probablement plus là mais q