Brisé à l'autel, renaître plus fort
ngèle M
ne brûlure vive a déchiré ma joue. Christine. Sa main, alimentée par une f
ux fous. « Tu essaies de l'empoisonner ! Él
e. Il a saisi mon poignet, le tordant douloureusement, me faisant lâcher
u la tête, n'est-ce pas ? Essayer de tuer un enfant, mon enfant, juste devant moi ? Comment as-tu pu tomber
il me couvrait d'affection, il murmurait : « Tu es si pure, Angèle. Si bonne. » Il m'avait mise sur un piédestal, et maintenant il prenait plaisir à m'en faire descendre, se délectant de l'idée q
Il ne m'avait jamais vraiment connue, pas la vraie moi, juste le reflet q
a tranché le broui
lle une ambulance !
garçon du doigt. Son petit corps commençait à conv
vait pas
net, ignorant la poigne mortelle de Bastien. Il a tiré en arrière, m
i-je hurlé, ma voix se brisant d'urge
, a réagi instinctivement. Il a levé le pied et a
poumons dans un sifflement douloureux. Ma tête a heurté le marbre avec un bruit sourd, et pen
vive dans mon flanc, dans ma tête. Les visages des invités se transformaient en taches flou
a poitrine haletante, les yeux brûlant t
ous prévenus ! » Il s'est tourné vers la foule, jouant la victime, le protecteur. « Sortez-la d'ici ! Appelez la s
as, a hoché la tête vigoureusement, le
jalouse, Bastien ! Ell
Il luttait toujours, son petit corps tressail
hurlant de protestation. La douleur dans mes côtes
ue. « Espèce d'imbécile arrogant et abs
njecteur qui était tom
'est de l'épinéphrine ! Je l'ai développée ! C'est une formulation améliorée pour
né, un sourire v
rifiée ? Qu'est-ce que tu connais au développement de médicaments ? Et qui transporte des
e du regard, ses yeu
e te fasse jeter dehors et arrêter pour tentative de meurtre. » Il s'est interposé entre moi et l'enfant, le prot
mais j'ai tenu bon, vacilla
rrivera pas à l'hôpital ! Chaque seconde qu
ric
s certainement pas ta place près de ma famille, à essayer d'empoisonner mon fils ! » Il a fait un autre pas vers moi, la main levée comme po
eux, arrogant et totalement aveugle. Il pensait que je mendiais encore son appr
chuchoté, un sourire glacial effleurant mes lèvres.
tite poitrine se soulevait et s'abaissait avec une lenteu
s protestaient. Christine a hurlé à nouveau, se jetant sur moi, mais j'étais concentrée. J'ai trouvé la cuisse du ga
t déployée. Le médicament a dé
souffle venant par halètements irréguliers, l'adrénaline commençant enfin à retomber. L'épuisement,