Le Poids du Passé
tira immédiatement son attention : une armoire métallique fermée par un cadenas. Pourquoi
n. Son instinct lui disait qu'elle devait l'essayer. Avec un mélange d'appréhension et d
son échine. Les documents semblaient liés à des transactions financières, des projets technologiques, et... des rapports
ue ça ?** murmura-t-elle
tait un contrat. Un contrat impliquant une entreprise i
ière elle la fit sursauter. Elle se retourna brusquement
?** demanda-t-il calmement, mais ses
nt les documents contre
aleb ? Pourquoi as-tu ces
ses pas résonnant sur
èce où tu n'avais rien à faire,** dit-il
s explications ! Pourquoi tu as des dossiers sur ma vie perso
es pas d'elle, les m
savons tous les deux. Mais il y a des choses que tu n'es pas prête à comprendre.
un rire nerveux tei
ontinuer à jouer avec moi comme ça ? Dis-moi
a première fois, elle crut voir une l
i simple que tu le c
* insista-t-elle, sa vo
finit par déto
pas le bon
e avec incrédulité. **Et quand le sera-
a à côté de lui, descendant les esc
lle les examinait, plus elle se sentait prise au piège. Qui était réellement Caleb ? Pou
ement des informations sur son téléphone et découvrit que c'était une société multimilliardaire spécialisée dans la
n boucle dans sa tête, emp
découvrirait par elle-même. Elle savait maintenant qu'il y avait une pièce secrète dans l
: elle ne pouvait plus f
re les fenêtres sous l'effet du vent. Livia se tenait là, dans sa chambre, fixant le plafond, les bras croisés sous la tête. La lueur de la lun
es envahirent son esprit. Des souvenirs douloureux, des fragments de
Des petites bouilles, des sourires innocents, et des rires cristallins. Mais tout cela se dissolvait com
afond, et le bruit insistant des appareils connectés à un cœur qui battait trop lentement. Les machines
demoiselle. Il n'y a
ux, mais la pièce était plongée dans l'obscurité. Le rêve la hantait, lui bousillant le cœur. Ses triplés. Ses enfants. Combien de fois avait-elle pleuré leur perte ? Combien de fois
mbre l'enveloppant d'une froideur glaciale. Le vent soufflait à travers la fenêtre légèrement entrouverte, mais c'était la sen
tout cela derrière elle. Pas ta
chercha dans ses contacts le numéro de la maternité où elle avait accouché. Cela faisait des années qu'elle n'avait pas cherché à savoir c
ppel ». L'attente fut interminable, chaque sonnerie résonnan
e, bonsoir, que puis-
inspiration, tentant
a trois ans, à la clinique. J'ai perdu des triplés à ce moment-là, et je suis... j'ai
Il y eut un moment de silence, puis la
éférable que vous veniez sur place pour discuter de cela e