Élue: Tome I
pit
rr
nt, j'avais si mal. Je me dirigeai, un bras serré autour de mon buste, vers la cuisine
te sens ? d
p mal, ré
pouvais prendre
squ'on prenait des médicaments. Il croyait sincèrement que les raclé
'habitud
rme, je posai ma tête sur
c vous, je le ferais mais cet
qu'il ferait quelque chose de sa v
ignée de céréales et la versai dans ma tasse, je mangeai
n verre de jus d'ora
reste assez pour un verre. Tu connais A
luai ma famille et sortis. J'avançais calmement, je croisais quelques personnes qui m'observèrent avec pitié, je les saluais doucement. Je continuais d'avancer, il faisait un peu froid, je passais devant la boulangerie et regagnais le bout de la rue. Je
r, bredou
Ever, répo
é ! s'écr
représentants masculins en qui j'avais une totale confiance, mes frères. Je restais sur mes gardes avec les autres, je n'avais jamais eu de petit copain et ça ne m'avait jamais tentée, comment croire aux hommes quand on avait un père c
mme à son habitude, me passa du fond de teint sur le visage et dans le cou afin d'apaise
me rendait maladroite, je fis tomber trois plateaux et des verres au bar. À midi, je regagnai la salle des employés avec tristesse, j'étais adroite d'habitude mais aujourd'hui j'étais une catastrophe. Je
mais je vois bien que tu as du ma
evais
m'habitue, répliqu
te gêne, je suis désolée mais je pense que le mieux serait que tu t
, balbu
semaines, dis à ta maman de m'apporter l'arrêt maladie, d'acco
itié alors si j'osais me plaindre ou supplier quelqu'un, ce serait pire. Puis je la compr
saluant tout le monde. Je marchais en direction de la maison, j'étais triste et furieuse. Triste car je serais coincée à la maison pendant trois s