Un Amour a Trois
LL
rveillons
ur le côté. Une seule goutte de sueur glisse le long de son cou et roule vers le bas, s'arquant sur ses pectoraux forts et dans la poussière sombre de cheveux qui parsème sous sa clavicule. L'envie de se pencher et d
i, mais mon désir pour lui n'a pas diminué du tout
déplace sur le sable fin et blanc pour dégager les quelques centimètres qui nous séparent. "Vous l'avez remarqué cette fois, n'est-ce pas?" demande-t-il, sa voix encore plus basse, et il passe une large main le long de la colonne nue de ma colonne vertébrale avec des doigts légers comme l'air. Il se penche vers moi, dépose un baiser sur le dessus d'une épaule et laisse sa tête s'attarder près de la mien
u moment où nous avions commencé à sortir ensemble pendant notre dernière année d'université. En soirée, en plein cours, assis au réfectoire, ça n'avait pas d'importance, et ça n'a toujours pas d'importance. Il est
plage à quelques mètres de lui. Tout comme je peux sentir les yeux de James sur moi, son menton relevé pour observer la prog
emble avec James et Luke. "Nous sommes en public", je rappelle à James alors que ses doigts glissent plus bas, glissant le long de la coupe presque
la simple pensée de son goût salé et de son pur désespoir qui avait mis sa voix en lambeaux à partir du moment où j'avais attrapé la boucle de sa ceinture. "Et avec tout le monde juste en dessous de nous sur le pont", ajoute-t-il d'un ton moqueur et critique. Il glisse une jambe puissante sur les miennes et les poils fins et noirs qui tapissent sa jambe chatouillent mes mollets lisses. Ses hanches se pressent contre mon côté et je le sens grandir là, se raidissant alors qu'il se souvient sûrement des m
isir ou comme une réprimande. Il le prend certainement comme le précédent, évident dans un
mment tu m'as finalement pris si profondément dans ta gorge que tes yeux ont pleuré. Je lui ai raconté comment tu m'as dit de baiser ta jolie petite bouche, et comment tu as écarté tes jambes parfaites pour moi et que tu as eu trois doigts dans ta chatte avant même que je puisse te dire de le faire. Je lui ai dit que tu m'avais supplié de souffler ma charge dans ta bouche, que tu étais avide d'avaler chaque goutte, mais qu'il n'y avait rien de tel que de venir au plus profond de