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Mariage sous tension

Chapitre 4 Chapitre 4

Nombre de mots : 1120    |    Mis à jour : 25/09/2024

pitamment. Tante Nebahat fronça les sourcils, mais je n'attendais p

'apprêtais à tourner la clé, la porte s'ouvrit brusquement et Fabian entra, refermant la porte d'un coup de pied. Il me p

evrais t'excuser. » murmurai-je entre deux baisers. « Je n'ai

ations étaient bien trop intenses pour que je pense à autre chose qu'à lui, à nous. Sa r

cœur s'arrêta. « Merde... » chuchota Fabian, continuant malgré tout ses mouvements. Je tent

it pas, bien au contraire. Je mordis son épaule pour étouffer un cri alors qu

ie en dépendait. Les vagues de plaisir m'emportaient, me laissant étourdie et haletante

dos, épuisée. Quelques minutes plus tard

avant qu'il ne dépose un rapide baiser sur ma bouche. "Tu comptes passer chaque soir

re pas," répondit-il en haussant les épaules. Arrivé à la vitre, il se retou

ux, c'est juste... physique entre nous. Tu penses vraimen

à mes mots. "Ne dis pas ce genre de choses

le mur, la tête pleine de doutes. Il resta silencieux

il échapper, presque pour lui-même,

et remarquai soudain qu'il n'avait pas ses chaussures. "O

e, la porte s'ouvrit brusquement. Mon frère était là, son regard glacial nous fix

mandai-je, ma c

acira," répliqua mon frère avant

c Fabian. Je m'approchai de lui, bloquant son passage. "Où comptais-t

uriant malicieusement. "Ça t'inquiète à ce point ?" m

e répondre lorsqu'il me prit de court, ses lèvres s'

violemment. "Dégage !" s

mement mon poignet, m'empêchant de par

oix tremblait de colère et d'une pointe de

euse. Pourtant, au fond de moi, il y avait cette étrange attirance, ce désir incontrôlab

tait plus forte. Ma respiration devint plus rapide, et sans vraiment comprendre comment, je me retrouvai à céder. Mes mains, pres

fles. Mais c'était trop tard. Le désir avait

Je sentis ses mains glisser sur mon corps, et malgré moi, un gémissement m'échappa. Chaque m

reille, alors qu'il se pressait davantage contre m

assa à nouveau. Ses lèvres parcouraient ma peau, ses mains me tenaient

ce contact brûlant, à cet échange presque brutal, où la tendresse n'avai

appuyée contre le mur, les jambes tremblantes. "C'ét

cœur battait à tout rompre, et lui se compor

reprendre mes esprits. "Je vais prendre une douc

de sa main, un sourire narquois étirant ses lèvre

aire voir," murmurai-je en refer

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